Un rappel historique bienvenu pour comprendre ce qui unit et sépare ces frères que sont les ukrainiens et les russes. La traduction par un chercheur du CNRS est un gage de sérieux dans un contexte polémique où on entend tout et n'importe quoi. La première publication date de 2017 avant le début de la guerre actuelle.
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Désimpérialiser les études russes et soviétiques par l'histoire : c'est l'objectif d'Andreas Kappeler qui offre un remède à deux maux actuellement répandus en Europe, l'ignorance du passé ukrainien, et l'emprise du récit national-impérial répandu par l'actuel pouvoir russe.
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