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Quel roman étrange.. Glacial et pourtant tellement plein d'émotions!

On y apprend l'histoire d'Agnes Magnusdottir, la dernière condamnée à mort d'Islande. Agnes est condamnée avec deux autres compères pour le meurtre de Nathan - son amant - et de l'un de ses amis. En Islande, malheureusement, il n'y a pas de prisons. Les autorités décident donc d'envoyer ces trois criminels dans des fermes où vivent des officiers de police.

C'est comme ça qu'Agnes se retrouve dans une famille des plus normales, à travailler à leurs côtés comme une quelconque servante, dans l'attente de son exécution. Ceux-ci lui vouent, au début, une haine farouche.. par peur, plus que par méchanceté. Mais le temps passe et tous apprennent à connaître Agnes. Une Agnes qui raconte sa vie, petit bout par petit bout, à un jeune prête ainsi qu'à sa famille d'accueil, qui laisse toujours traîner une oreille lorsqu'elle livre ses souvenirs.. Les souvenirs d'une vie difficile, une succession d'abandons et de coeurs brisés..

Je ne savais pas à quoi m'attendre avec ce roman et il est aussi étrange que je m'y attendais. le plus bizarre reste cette narration multiple: une narration personnelle, menée par le je d'Agnes, comme si elle parlait au lecteur. le reste est une troisième personne impersonnelle qui nous décrit les scènes plus froidement. À côté, certains écrits traduits, des écrits qui existent réellement.. Car c'est ça le plus dramatique: c'est que cette histoire est vraie! Oh bien sûr certaines parties sont romancées ou imaginées mais les faits sont là. L'auteure nous parle à la fin de ses années de recherches, de fouilles dans de vieilles archives, tout ça pour nous montrer une autre facette de cette héroïne bouleversante.

Car on ne peut qu'être ému de la vie d'Agnes et de toutes les tragédies auxquelles elle a fait face. Plus les pages se tournent et plus on s'attache à elle, plus on a peur de lui dire aurevoir. Elle nous livre ses secrets, ses déceptions, ses peines.. ses amours. Tout ce qui la conduira à ce jour fatal où l'homme qu'elle aime trouvera la mort.

Dramatique, émouvant mais aussi.. haletant. On se laisse emporter et on veut savoir, encore et encore! Comment en est-elle arrivée là? Que s'est-il passé? Comment sont-ils morts? Pourquoi? Tant de questions qui nous poussent à avancer de plus en plus vite, qui rend la fin du récit tendue, pressée. Et puis..

Et puis voilà, pas besoin d'en dire plus. Une histoire qui mérite à être connue par ici. Des émotions à fleur de peau, un froid glacial, des fermes sales et abandonnées.. Une ambiance qui marque. À lire!

(Et pour la petite info, une adaptation est prévue avec Jennifer Lawrence, ça promet.)
Lien : http://mamantitou.blogspot.b..
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Inspiré de faits réels, « A la grâce des hommes » est un roman historique relatant le destin tragique d'Agnes Magnúsdóttir qui fut la dernière femme à être publiquement exécutée en Islande en 1830 après avoir été accusée du meurtre de deux hommes. Si le cas d'Agnes est méconnu en France, l'affaire fit en revanche grand bruit en Islande. Natan Ketilsson, l'une des deux victimes, était un personnage public qui entretenait d'étroites relations avec de nombreux poètes et libres penseurs.

Le roman de Hannah Kent s'ouvre sur l'annonce d'une décision pour le moins effarante pour le lecteur de notre époque. Ayant choisi d'exécuter Agnes dans le canton où le crime a été commis, et ne disposant d'aucun édifice public susceptible d'accueillir les prisonniers, les autorités décident de loger les condamnés dans les fermes du canton « auprès de bons chrétiens susceptibles de leur inspirer du repentir, et pour lesquels ils travailleront en attendant leur exécution ». Jon Jonsson et sa famille se voient donc désigner pour loger la criminelle. Une décision qui, loin de ravir les principaux intéressés, engendre bientôt des tensions au sein du foyer et de la communauté locale.
Précédée par sa réputation de meurtrière, Agnes inspire une véritable terreur chez ses logeurs et nous intrigue avant même son arrivée dans son lieu de détention. Pourtant, la jeune femme qui franchit le seuil de la ferme n'a rien d'un monstre sanguinaire. Sale, chétive, très affaiblie par les mauvais traitements dont elle a fait l'objet, la criminelle offre un tableau déconcertant à la famille qui l'accueille.
Kent brosse habilement le portrait de cette famille ordinaire confrontée malgré elle à des évènements exceptionnels. L'auteure croque avec beaucoup de justesse les réactions inspirées par une telle situation, témoignant d'un talent certain à saisir les comportements humains.

Les détails de la vie d'Agnes, de son enfance difficile à la nuit du drame, nous sont narrés à travers ses souvenirs et ses discussions avec Thorvadur Jonsson, le sous-révérend choisi par la jeune femme pour être son directeur de conscience. Durant ces longs mois d'attente, l'inexpérimenté révérend Tóti tient davantage le rôle d'auditeur des monologues d'Agnes que de guide spirituel. La sincérité et la dignité avec lesquelles la condamnée se livre imprègnent son récit d'une force tranquille qui berce le lecteur page après page.
Au fil des mois, le lecteur assiste ainsi à la lente métamorphose d'Agnes aux yeux de ses détenteurs. La crainte des premiers jours laisse peu à peu place à la curiosité, et les habitants de la ferme réalisent progressivement que la vérité est beaucoup plus complexe que la version officielle. Loin de la victime innocente à laquelle on veut bien faire croire, Natan Ketilsson apparaît comme un personnage trouble, manipulateur, aussi adulé que détesté dans la communauté. Tandis que se dessinent peu à peu les contours du drame qui se prépare, la date fatidique de l'exécution d'Agnes se fait elle aussi de plus en plus imminente. La superposition de ces deux évènements engendre une montée en puissance en rythme et en tension. L'atmosphère déjà oppressante devient suffocante pour le lecteur qui retient son souffle jusqu'à la dernière page.

Kent a construit son roman sur la base de documents réels, incluant des correspondances, des notes publiques ainsi que des poèmes datant de l'époque des faits. L'auteure émaille son récit des traductions de certains de ces documents. le style froid et formel de ces encarts tranche avec la narration éthérée où se mêlent les descriptions des paysages d'Islande à l'atmosphère ouatée des confidences. La narration passe alternativement de la première à la troisième personne dans un mouvement de perspective habilement mené par l'auteure et rappelant certains procédés cinématographiques. L'écriture de Kent est ainsi très visuelle et nous catapulte immédiatement dans la ferme de Kornsa où l'étendue des paysages nordiques offre un contraste saisissant avec la promiscuité dans laquelle vivent les personnages. Entre immensité et confinement, violence et poésie, amour et haine, le roman de Kent est un jeu de clair-obscur permanent. Grâce à un talent de conteuse hors pair, l'auteure restitue avec brio la beauté sauvage des paysages d'Islande ainsi que le froid mordant du blizzard. Mais au-delà de l'aspect purement esthétique du récit et à l'image du climat impitoyable, elle nous dépeint surtout les contours d'une société féroce, minée par les inégalités et qui entend faire d'Agnes un exemple.

Avec « A la grâce des hommes », Hannah Kent réussit ainsi la délicate prouesse d'extraire d'une sordide histoire de meurtre le récit bouleversant d'une femme qui n'aura eu de cesse de se faire rejeter par tous les gens qu'elle a aimés. Sans attaches, ne pouvant compter que sur elle-même, la force avec laquelle Agnes persiste à affronter les épreuves est aussi admirable que poignante.
Sans jamais sombrer dans la caricature ni verser dans le larmoyant, Hannah Kent nous offre ainsi un roman pudique et d'une grande sincérité, qui n'a d'autre prétention que celle de restituer au personnage d'Agnes Magnúsdóttir la part d'humanité dont elle a longtemps été privée.
Un portrait absolument saisissant d'une femme au destin hors du commun, et dont l'histoire hante durablement le lecteur, longtemps après avoir tourné la dernière page.

Lien : http://afleurdemots.comli.co..
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en Islande dans les années 1800, Agnès a été condamnée pour meurtre et doit être exécutée (l'autrice s'est inspirée de l'histoire de la dernière condamnée à mort en Islande).
Dans l'attente de son exécution, elle va être placée dans une famille de fermier chargée de la surveiller et de l'entretenir.
Après la peur, ils vont apprendre à la connaitre...
Parallèlement, Agnès doit gagner son chemin vers Dieu avant sa mort et va raconter l'histoire et son histoire à un apprenti révérend.
La construction du roman est intéressante. On alterne des correspondances et des extraits des minutes du procès avec la vie de tous les jours d'Agnès et son récit de sa vie.
Mais de fait, cela fait parfois de longs monologues et à mon avis quelques longueurs, raison pour laquelle ce n'est pas un coup de coeur.
Néanmoins, un roman qui m'a intéressé, interpelé, provoqué des émotions.
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Dire que j'ai aimé ce livre est un peu fade. Tout m'a plu, les descriptions de la vie en Islande dans les années 1820, une vie rude qui enferme les gens dans leur survie, L'emprise de la religion et de l'état et l'histoire de cette femme qui attend sa condamnation à mort en travaillant dans une ferme. Hannah Kent nous distille par touches ce qu'a été la vie d'Agnès, et petit à petit avec Magret et sa famille on devient son amie. On aimerait tant faire quelque chose pour l'aider.
J'ai fermé ce livre bouleversé.
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Islande, 1829, Agnes Magnúsdóttir, servante, est condamnée à mort pour le meurtre de deux hommes dont son amant.

Peu avant son exécution, elle est laissée au soin d'une famille qui devra assurer sa garde avant sa rencontre avec le bourreau.

Ce sont ses derniers moments qui nous sont ici narrés.

Premier roman d'Hannah Kent, le récit entraîne le lecteur dans une époque et un lieu peu connus : l'Islande du 19ème siècle. L'immersion est totale dans cet univers rugueux et difficile.

Le rythme est lent, les rebondissements ne se multiplient pas et pourtant aucun ennui à l'horizon. Au contraire, Hannah Kent tisse une toile, ouvre une fenêtre sur une période aujourd'hui révolue.

Les personnages sont peu développés à l'exception d'Agnes. Ce parti pris met la jeune femme au centre du récit.

Son passé se dévoile par bribes, nous aidant à comprendre sa solitude, sa soif de relations humaines, ses déceptions traçant ainsi un chemin la conduisant inéluctablement à l'échafaud.

À l'image de « Dans la vallée », j'ai vibré tout au long de ce roman, encore inspiré d'une histoire vraie, je me suis coupée du monde le temps de ma lecture.

Vivement le troisième roman de cette brillante auteure australienne.
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Voilà un roman qui m'a transportée sans coup férir dans l'Islande du XIXe siècle, dans une vallée dure aux habitants, pauvres et sous l'influence implacable de la religion protestante.

Le personnage principal, Agnès Magnúsdóttir, est une jeune femme de 28 ans, condamnée à mort pour le meurtre de son amant. Un autre homme, Fridrik est également condamné et une servante graciée.

Plutôt que de laisser Agnès en prison, le commissaire de police décide de la confier à une famille de fermiers, laquelle n'a guère le choix et est obligée d'accepter, à contrecoeur. Un pasteur devra la rencontrer tous les jours pour l'inciter à prier et à se repentir en attendant son exécution.

Margret, Jon et leurs deux filles sont horrifiés à l'idée de recevoir une telle meurtrière, ils s'en font une idée quasi-démoniaque. Bien sûr, les choses ne se passeront pas tout-à-fait comme prévu. Passées les premières préventions, des liens se crééront, une forme de compréhension se fera jour et il s'avèrera qu'Agnès n'est peut-être pas la sorcière annoncée. Quant au pasteur chargé du suivi d'Agnès, il est jeune et inexpérimenté et la mission qui lui incombe le bouleversera durablement.

Ce que j'ai préféré dans ce roman, c'est la description de la vie quotidienne des fermiers à cette époque. L'image du badstofa où la famille vit et dort dans une pièce unique me restera en mémoire. Aucune intimité, des atmosphères enfumées et insalubres, un travail de bête et aucune perspective d'en sortir un jour. Ne parlons même pas du climat, terriblement difficile dans ces contrées. Bienheureux sont ceux qui mangent à leur faim.

L'évolution d'Agnès est intéressante à plus d'un titre. Elle est victime deux fois, en tant que pauvre, née avec la mauvaise mère, et femme dans une société où elles ne sont rien. Tous les rouages se sont mis en place pour sa perdition.

Une lecture captivante, que je conseille vivement.
Lien : http://legoutdeslivres.canal..
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J'ai beaucoup aimé le second roman de Hannah Kent « Dans la vallée » alors j'ai souhaité lire le premier. J'aime l'atmosphère des lieux, l'époque et l'histoire est très émouvante. On sent chez Hanna Kent un indéniable talent de conteuse. On pourrait raconter ce genre de récit à la veillée devant un feu de bois et frémir de peur à l'idée de ce qu'endure Agnes. Une atmosphère très intimiste liée à la rudesse climatique du pays.
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Avec cette lecture, je me suis littéralement retrouvée plongée dans une maison reculée du nord de l'Islande en plein 19e siècle, où l'on se chauffe au feu de tourbe et l'on s'éclaire à la bougie de graisse de phoque.

L'atmosphère y est opaque, gluante et humide, l'extérieur de la maison froid et venteux. Malgré tout, les paysans tirent de la terre le meilleur d'elle.

Petit à petit se noue une relation d'amitié entre les membres de la famille et Agnes, la condamnée à mort. Plus qu'à son confesseur, c'est à la famille qui l'accueille qu'elle va raconter ce qui s'est passé le jour du drame.

Si j'ai été quelque peu déçue par la psychologie des personnages tracée à gros traits, j'ai en revanche beaucoup aimé l'atmosphère du roman.

L'histoire est plus convenue, également, entre la méchante qui est en fait une gentille ; les justiciers qui sont des méchants ; la méchante famille qui se prend d'amitié pour la condamnée, et le confesseur qui tombe malade de la confession de sa patiente.

L'image que je retiendrai :

Celle des badstofas : les salles communes dans les fermes traditionnelles islandaises où la vie se déroule, la nuit aussi, car on y dort.
Lien : http://motamots.canalblog.co..
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Quel roman magnifique, attachant, inoubliable...
Je ne pouvais plus le lâcher. Je me retiens de l'acheter en VO pour le déguster à nouveau.
Le lecteur est plongé dans l'Islande rurale et pauvre des années 1820/1830, encore sous tutelle du royaume du Danemark. Et soudain, dès les premières pages, nous habitons nous aussi cette chaumière vétuste qui laisse passer les courants d'air, où l'humidité est omniprésente en hiver, avec du givre sur les couvertures au réveil, tandis qu'en été, la tourbe qui recouvre les murs s'effrite créant une poussière irrespirable et nocive. Et nous dînons comme la famille d'une bien frugale soupe de lichen préparée par Agnes...

Agnes Magnúsdóttir est accusée, avec deux autres "comparses", du meurtre de son ancien maître et amant, Nathan, herboriste et fermier à la renommée défaillante.
Elle est transférée dans une ferme isolée pour aider comme domestique en attendant son exécution. Accueillie avec crainte et dégoût par la famille, sa nature besogneuse, son dévouement et sa situation inconfortable lui gagnent peu à peu l'amitié de la famille. Agnes se dévoile en effet lentement au fil des pages, livre ses pensées, les souvenirs de son enfance peu heureuse (orpheline abandonnée par sa mère, errant ensuite de ferme en ferme pour proposer ses services), et son angoisse de mourir pour une cause qu'elle estime injuste.

Agnes est-elle le monstre que les juges et la police décrivent ? Une femme instruite (elle s'est repue des "sagas", les contes traditionnels nordiques, a appris à lire et ... à penser, et même envisagé de progresser dans l'échelle sociale, guignant un poste d'intendante : un signe ô combien suspect pour une femme de basse condition à cette époque).
Merci aux Editeurs et à Babelio de me l'avoir fait découvrir.
Lien : http://coquelicoquillages.bl..
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Un très bon moment de lecture !
Le sujet de ce roman basé sur des faits réels, n'est pourtant pas des plus joyeux. C'est donc tout au style de l'auteur que je dois d'avoir savourer chaque page que j'ai tourné en suivant les derniers jours d'Agnes. En effet, le talent d'Hanna KENT, ne fait aucun doute, le travail de recherche et de documentation est remarquable.

Les personnages qui composent ce roman sous la plume de ce fabuleux auteur, prennent vie dans notre esprit. Inutile de vous dire que j'ai été tout on long du livre perturbé par cette question : «Quel est la part de vérité dans ce qui est écrit ? » Il faut attendre la fin du livre et les précisions de Hannah KENT pour bien se rendre compte de la part de fiction qui compose l'oeuvre.
A aucun moment durant la lecture je ne me suis ennuyer, malgré les nombreux personnages, je n'en vois presque qu'aucun qui n'est pas contribuer fortement à consolider l'histoire. L'écriture est pleine de sensibilité, douce, généreuse, avec le recul il me parait évident que c'est une femme qui en ait à l'origine. le titre du livre "A la grâce des hommes" correspond très bien à l'oeuvre, car c'est avec grâce que nous ait conté ce triste événement.

Si le sujet du livre peut porter à débat sur la peine de mort, qu'on s'en serve d'une certaine manière pour vendre des livres, est-ce la bonne question ? Si l'auteur à travers ce livre, permet de faire réfléchir le lecture sur la légitimité de celle-ci et sur les jugements expéditifs je dis OUI ! Car au final, c'est bien le talent de l'auteur du livre qui fera vendre les livres et non pas le sujet. Il est donc normal, que celui-ci soit rétribué. Quand bien même, seul le sujet ferait vendre le livre, c'est un moyen de plus de porter l'attention d'un plus grand nombre sur un sujet donné et donc d'ouvrir un débat.

Un autre message est celui de la recherche de la vérité. La famille d'accueil d'Agnes nous en donne l'exemple. Leur jugement hâtif et malheureusement faussé, se verra au fil des jours et des mois modifier par l'écoute de vérité. Quel beau message d'espoir et de tolérance.

N'oublions pas le travail de traduction de Karine REIGNER-GUERRE car si l'auteur est brillant, son travail ne semble pas avoir dénaturé l'oeuvre originale et semble la retranscrire fidèlement.

Merci donc à Babelio et aux éditions Presses de la Cité pour cette découverte.
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