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3,45

sur 5957 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
un livre qui montre bien la vertue et le vice qui regnait à la cour du roi avec une certaine realite des choses!!! un dilemme amoureux tres bien mener jusqu'a la fin!!!
bonne lecture!!
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Mme de la Fayette n'a pas un style d'écriture "d'actualité" ainsi je pense qu'il n'est pas accessible à tout le monde (sauf s'il existe des versions modernisées ?) Mais malgré le style un peu difficile, on se laisse emporter par la passion de Mme de Clèves, et j'ai dévoré ce livre ! Une histoire magnifique et hors du commun.
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Je vois une chose que je ne comprendrai jamais. La passion irrésolue. Puis je lis la sainteté de la princesse. Alors je m'appuie, je me défile. Pour comprendre l'enjeu, d'une lettre. Elle vient temporiser mon intellect du livre dans son ensemble. le bijou du monde contemporain, n'est plus cette fois, un lys, mais une jonquille. Il n'y a alors plus de vallée, mais un long corridor, celui de l'infante justesse, d'une noble indomptée qui se faufile entres les jugements des uns, pour épouser la suite de Dieu. Pourquoi est-elle si sereine ? Une certaine impression dont ma lecture me laisse perplexe domine ma pensée sans me laisser parler. Juste avant, j'étais ignorant. Maintenant que j'ai en tête l'histoire de la femme la plus féconde du monde, j'en reviens à mes propres déboires, sans couvert de la modernité de ma tendre époque, le XXIe siècle. La lumière d'un bonheur autochtone rongé sur les étalages d'une braderie, avec de petits éléphants en marbres, des liqueurs bleues marine, jaunes de citronnelle, verte de diamant. Jusqu'alors c'était un défilé de sensations poétiques. Mais pour une histoire qui se complexifie dans le regard public du XVIIe siècle, j'entrevois, car ma vue est toujours aveugle, sur ce que peut projeter les rayons de la lumière haute, une pesanteur, par rapport à l'élément de songe féminin, dans son plus bel appareil, rêve éphémère que m'offre une vue reposante d'une prise de conscience singulière. J'avais maintenu un rythme de lecture assez tumultueux, en outrageant la fin complète où j'ai pu m'arrêter sur les dernières phrases, dans un silence de neige, blanc de pureté joyeuse et non d'individualité. Être une femme dans un monde de femmes. Avoir des espérances masculines ou féminines n'est pour ce que j'ai pu disposer dans mon esprit, sans l'ombre d'un choix dans la lecture du texte, revient à une diligence. Aux chevaux calmes et sereins qui rentrent dans les coulisses de la pénombre. Un service n'est jamais rendu dans le monde des rois et des reines que contre une autre offre, si l'on en prend au pied de la lettre le monde de cour comme une sphère de justesse, sans égal, au reste de la foule d'individus. Aimer. L'être aimé. Soi-même et le désordre de la séduction. Madame de Montmorency en sera assurément une statuette pleine d'effigie, petit dans son sacrement, très grande statue dans l'office sacré. Alors pourquoi le temps d'une vie brève est-il la fin, n'y aura-t-il pas, un après Clèves, une Mélisande, une Sémiramis, une Jane Austen, une Mary Wortley Montagu, toutes mystérieuses par le devenir en fleurs de leur postérité, toujours synonyme de printemps, de lentes évolutions dans les mentalités.
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La Princesse de Clèves est selon moi un roman "psychologique" incisif qui questionne la question de l'amour à travers les émotions et sentiments des personnages. Très intéressant et intelligent ! Un grand classique à lire. Les passions peuvent me conduire mais elles ne sauraient m'aveugler.
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Quelle histoire !!! Un livre bourré de passion charnelle et interdite, de sentiments violents et envahissants. Certes la pudeur et les enfantillages de ce roman sont un peu vieux jeu, mais le désir y est si bien décrit. Un roman qui ouvre l'appétit ..
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Roman d'amour entre nobles au XVIIième siècle. Ils se croisent sans cesse, sans jamais se rencontrer. Tout ce qui pourrait leur permettre de le faire est autant espéré que redouté. Elle, ne veut pas tromper son mari et lui, ne veut pas la contraindre à le faire. Amour contrarié non par d'autres, mais par les amants eux-mêmes.

Une analyse minutieuse et très sensible des sentiments, agrémentée de tournures de phrase pittoresques de cette époque.

Où j'ai appris le mot « vidame » : c'est un titre de noblesse de l'ancien régime (vice-dominus : « vice-seigneur »). le vidame de Chartres est l'oncle de Madame de Clèves.
Lien : https://perso.cm63.fr/node/320
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j'ai dû lire ce livre pour le lycée et contrairement à mes attentes, il m'a beaucoup plu
la fin est frustrante qd mm
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Un alléchant court roman bien français, au romantisme désabusé, à la noblesse idéalisée, et à la moralité bien ficelée. La princesse de Clèves est un peu toutes les femmes.
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