Des ailes d'argent

J'avais été assez "accro" à la série "Fjällbacka" parce que Camilla Läckberg représentait la littérature féminine scandinave. de plus, elle a du talent pour tenir les lecteurs en haleine même si le style est assez basique. le premier tome de sa nouvelle série "la cage dorée" m'avait plutôt déçue, car je ne ressens pas aucunement le féminisme à travers le comportement très masculin d'agir de son héroïne. Je m'étais dit : ça y est la veine Camilla Lâckberg est usée, c'est le dernier livre d'elle que je lis. Ben voilà, une amie m'a prêté "Des ailes d'argent". Alors là, c'est trop. Un mélange de porno et de gore, avec une partie misérabilisme. On n'arrive même pas à ressentir d'empathie pour les personnages qui le mériteraient.

On ne m'y reprendra plus !
Bof, bof Camilla a viré sa cuti. Elle fait maintenant dans le "mommy porn" ! Je ne retrouve pas l'ambiance de ses premiers romans. J'ai lu toute la saga de Patrick et d'Erika avec beaucoup de plaisir. Je suis déçue et j'ai du mal à comprendre qu'Actes Sud ait publié ce roman. Déjà déçue par le précédent je crois que c'est encore pire avec celui-ci. Je ne lirai pas le 3ème volet !

Hyper déçue du 2e roman de cette trilogie que je l'ai abandonné. Cela confirme bien après avoir lu le 1er, que Je n'aime pas du tout le nouveau style de Camilla Lackberg. le luxe, le sexe, les fringues ... trop peu pour moi. Je ne lirai pas le 3e s'il y a.

Bof! bof! bof! bof! qu'est-il arrivé à l'autrice pour nous offrir cette prose mièvre d'un manichéisme terrible, ne dressant que des portraits d'hommes absolument négatifs! J'avoue avoir éprouvé quelque sympathie pour le personnage de Faye dans "la cage dorée" et pour les femmes malmenées dans leur ensemble. Mais, là j'ai trouvé Faye carrément détestable, imbue d'elle même, picolant du champagne ou des grands vins à tout bout de champs! Des portraits de femmes, toutes sur le même modèle, belles, sexy, intelligentes et .... riches! On est bien loin du réel problème des violences faites au fait. Bref! un livre bien médiocre!

Très très déçue par cette suite de la cage dorée. J'ai eu l'impression d'être prisonnière de pubs pour des marques de luxe, je me demande si le livre a été sponsorisé par Chanel, Hugo Boss... L'intrigue (aussi bien celle du présent que du passé) est cousue de fil blanc, l'ambiance est glauque, on ne croit pas une seconde aux alliances entre les 3 femmes, et après avoir trainé en longueur, l'affaire est est bouclée en quelques pages. L'héroïne est aussi antipathique que ses homologues masculins. le commentaire de l'éditeur " La reine du polar... délivre un message ouvertement féministe" est complètement à côté de la plaque.
J'ai lu tous les ouvrages de Camilla Lackberg, je ne les ai pas tous aimés car le schéma est trop souvent identique et il y a parfois de la complaisance pour la violence et le voyeurisme mais celui-ci est carrément raté et je regrette mon achat.

Rhalala... quelle déception. Un ramassis de clichés has been sur le sexisme, le rapport avec les hommes, avec les femmes.
Camilla ne fait plus d'efforts et a définitivement quitté la sphère du réel ; elle surfe seulement sur la vague néo-féministe où les femmes ont toujours raison et les hommes, toujours tort.
Le personnage principal est antipathique à souhaits, malgré tous ses malheurs.
Bye bye Camilla.

j'avais pas aimé la cage dorée une histoire brouillonne et peu crédible.
Donc je ai été moins déçu par les ailes d'argent qui est du même tonneau une histoire sur sa société qui est en danger mais Faye passe son temps à boire dans des palaces avec ses copines à draguer alors qu'elle a un très mauvais souvenir.
Sa fille reste en Italie, elle lui manque mais pas trop.
C'est plan plan pas de scénario quelques plans fesses pour les amateurs
A éviter!
pendant le confinement, c'est double peine !!
une chose est sure le 3 éme tome ce sera sans moi

Quelle déception!! J'adorais Camilla mais là c'est la douche froide.
Aucune intrigue… la seule histoire c'est qu'une personne (prévisible) est en train de racheter la boite , et le reste est une évidence . Des placements de pub sans arrêt , impossible de mettre un mot sans une marque.
Les hommes sont tous des monstres et les femmes sont des victimes vengeresses.
Et des scènes de sexe bien pornos

Faye mène la belle vie à l'étranger. Sa société Revenge est plus florissante que jamais et son ex-mari infidèle se trouve derrière les barreaux. Mais au moment où elle pense que tout est rentré dans l'ordre, sa petite bulle de bonheur est de nouveau menacée. Revenge est sur le point de s'implanter aux États-Unis lorsqu'elle découvre que de nombreuses actions sont vendues dans son dos, mettant en péril l'existence même de l'entreprise. Contrainte de retourner à Stockholm, Faye risque de voir l'oeuvre de sa vie s'effondrer. Et pour couronner le tout, les fantômes inexorables de son passé semblent encore loin d'avoir étanché leur soif de sang. Avec l'aide d'une poignée de femmes triées sur le volet, elle va désespérément tenter de sauver ce qui lui appartient - et la vie de ceux qu'elle aime.

Après "Cage dorée", voilà le 2ème opus de Camilla Läckberg. Je ne vais pas aller par quatre chemins mais je n'ai pas vraiment apprécié le 1er volume et encore moins "Des ailes d'argent".
Autant l'auteure est excellente dans ses polars, autant là, je ne reconnais pas la plume de l'auteur.
La fin de ce livre semble être une ouverture à un 3ème opus. Mais là, ça sera sans moi...

J'aurais dû contrôler : ce bouquin fait partie de la série « Faye » (j'avais détesté « La cage dorée ») et non de la série « Erica Falk » que j'avais appréciée au travers de plusieurs titres. Ici, le sommet du ridicule me semble atteint, mais j'ai pris le parti d'en rire, et de le raconter !
de nombreux polars déçoivent à cause d'une fin invraisemblable, saugrenue. Cette fois, c'est dès le début que l'on est confronté à une situation rocambolesque : Faye, le personnage central a réussi à convaincre la Justice que Jack, son salaud de mari, a tué leur petite Julienne. Comment ? On n'en sait rien. Résultat des courses : la perpèt pour Jack et l'exil en Italie pour Julienne et sa grand-mère, loin d'éventuelles investigations de la police. C'est vrai, Jack est un salaud, comme tous les hommes d'ailleurs selon Faye. Tous les personnages masculins un peu importants du récit sont au mieux des escrocs manipulateurs, le plus souvent violeurs voire pédophiles. Tous ! Ce qui n'empêche pas Faye de tomber amoureuse comme une ado du beau et gentil David : Amour, toujours, je t'aime, moi aussi, j'en passe et des meilleures. Même un auteur de roman de gare aurait honte d'écrire de telles niaiseries. Tous les lecteurs auront sans doute compris avant Faye : David est un homme, donc…
Faye est la très riche patronne de l'entreprise « Revenge » (tiens, pourquoi vengeance ?) On se demande comment elle peut gérér sa société, où elle ne fait d'ailleurs que passer, vu les nombreux problèmes qu'elle a à résoudre. Entre autres, l'irruption d'Yvonne, une policière qui ne croit pas en la mort de Julienne et qui la harcèle. Pas de souci : ayant appris qu'Yvonne attend la retraite avec impatience pour terminer ses jours en Grèce, Faye prend son téléphone et demande à son avocat de lui trouver sur le champ une jolie petite maison en Grèce qu'elle offre à Yvonne. Problème résolu en cinq minutes !
Mais il y a plus inquiétant : Jack s'est enfui de sa prison et Hendrik, son ancien associé, a lancé une OPA hostile sur « Revenge » pour en devenir maître. Faye va alors s'associer à deux femmes qui deviennent très vite ses amies : Ylva, qui lui a « chipé » Jack jadis ( !) et Alice, l'ex d'Hendrick. J'arrête là mon récit mais l'histoire n'est pas finie, loin de là.
Pour être dans le vent, (ou pour augmenter les ventes de son roman) Läckberg ajoute ici et là quelques scènes chaudes : une petite fellation vite fait bien fait dans les toilettes d'un aéroport, une partie de jambes en l'air à trois : le cochon de mâle en aura pour son argent.
Il y a quand-même une phrase que j'ai beaucoup appréciée dans ce roman : la dernière. Alors que nos femmes sablent le champagne pour fêter leur vengeance réussie, survient un imprévu très gênant. Mais ça, je ne le dévoilerai pas !