Critiques filtrées sur 3 étoiles
A Fjällbacka, petite ville côtière suédoise, une jeune femme, Alexandra, est découverte dans sa baignoire, les veines taillées. Son amie d'enfance Ericka, romancière, enquête sur cette amie, assez énigmatique, qu'elle avait perdue de vue quand la famille avait déménagé à Göteborgq quand Alexandra avait douze ans. L'homicide étant confirmé, Ericka va devoir collaborer avec un ami policier, et déterrer les évènements du passé pour reconstituer l'enchainement des faits, réveillant par là même des secrets étouffés.
Je suis mitigée après la lecture de la Princesse des glaces ; si j'ai aimé le contexte du roman, le cadre de la petite ville côtière, la relation entre les habitants et l'intrigue qui se tient bien et est très cohérente, j'ai été moins séduite par la lenteur et les digressions tout au long du roman, j'ai trouvé des incohérences dans la psychologie des personnages, celui d'Alexandra notamment, décrite comme intériorisée et en même temps lumineuse par rapport à sa soeur Julia par exemple. En revanche Ericka, même si elle semble un peu trop fleur bleue, est très intéressante (heureusement puisqu'elle sera l'héroïne récurrente des enquêtes suivantes), ainsi que les rapports avec sa soeur Anna.
A la fois premier roman et première enquête d'une série, La Princesse des glaces permet d'installer les personnages récurrents, par des portraits assez fouillés, mais également beaucoup de digressions qui ont leur utilité mais qui ralentissent le rythme........Les personnages sont assez sympathiques même si Camilla Läckberg fait preuve d'un peu de naïveté dans le style ou peut-être est-ce la traduction ?
A suivre mais pas dans l'immédiat...
Je suis mitigée après la lecture de la Princesse des glaces ; si j'ai aimé le contexte du roman, le cadre de la petite ville côtière, la relation entre les habitants et l'intrigue qui se tient bien et est très cohérente, j'ai été moins séduite par la lenteur et les digressions tout au long du roman, j'ai trouvé des incohérences dans la psychologie des personnages, celui d'Alexandra notamment, décrite comme intériorisée et en même temps lumineuse par rapport à sa soeur Julia par exemple. En revanche Ericka, même si elle semble un peu trop fleur bleue, est très intéressante (heureusement puisqu'elle sera l'héroïne récurrente des enquêtes suivantes), ainsi que les rapports avec sa soeur Anna.
A la fois premier roman et première enquête d'une série, La Princesse des glaces permet d'installer les personnages récurrents, par des portraits assez fouillés, mais également beaucoup de digressions qui ont leur utilité mais qui ralentissent le rythme........Les personnages sont assez sympathiques même si Camilla Läckberg fait preuve d'un peu de naïveté dans le style ou peut-être est-ce la traduction ?
A suivre mais pas dans l'immédiat...
Le cadavre d'Alexandra Wijkner est retrouvé dans sa baignoire gelée. Apparemment elle se serait suicidée mais l'autopsie démontrera le contraire.
Elle séjournait dans sa maison située dans le village où elle a passé son enfance.
Son amie de jeunesse Erica Falck, auteure de biographies et séjournant dans le village est mêlée aux évènements en même temps qu'un des policiers Patrik Hedström, amoureux d'elle.
Une flopée de personnages entrent en jeu pour étoffer le mystère et pour pimenter l'histoire.
Un deuxième meurtre déguisé a lieu.
Après de nombreuses pages, l'intrigue se dénoue et révèle une vie bien glauque dans ce petit port côtier.
C'était pour moi un livre trop long, en manque de rebondissements, truffé de détails inutiles dans une enquête policière.
L'auteure n'a en plus pas l'art de rendre ses personnages sympathiques à mes yeux. Très subjectif de ma part évidemment.
Côté positif : certaines ambiances et descriptions sont agréables à lire et donnent une touche très suédoise au roman.
Challenge pavés 2016-2017
Elle séjournait dans sa maison située dans le village où elle a passé son enfance.
Son amie de jeunesse Erica Falck, auteure de biographies et séjournant dans le village est mêlée aux évènements en même temps qu'un des policiers Patrik Hedström, amoureux d'elle.
Une flopée de personnages entrent en jeu pour étoffer le mystère et pour pimenter l'histoire.
Un deuxième meurtre déguisé a lieu.
Après de nombreuses pages, l'intrigue se dénoue et révèle une vie bien glauque dans ce petit port côtier.
C'était pour moi un livre trop long, en manque de rebondissements, truffé de détails inutiles dans une enquête policière.
L'auteure n'a en plus pas l'art de rendre ses personnages sympathiques à mes yeux. Très subjectif de ma part évidemment.
Côté positif : certaines ambiances et descriptions sont agréables à lire et donnent une touche très suédoise au roman.
Challenge pavés 2016-2017
Comme toujours après avoir lu un bouquin, je suis allée faire un tour sur le site de Fnac pour lire quelques avis – j'aime bien savoir si je suis d'accord ou non avec la majorité. Les réactions sur l'ouvrage qui nous intéresse sont majoritairement positifs. Parmi les quelques mauvaises critiques, j'ai pu lire que l'on reprochait au roman de madame Läckberg de ne pas être à la hauteur d'une autre oeuvre suédoise : la saga Milienium de Stieg Larrson. Ce genre de remarques est d'une absurdité sans nom ! Pourquoi comparer deux oeuvres qui n'ont presque rien à voir l'une avec l'autre si ce n'est la nationalité de leurs créateurs ? Parce que si vous chercher avec La princesse des glaces à retrouver la même chose que Les hommes qui n'aimaient pas les femmes passez votre chemin...
Cette question de comparaison un peu absurde réglée, je peux passer aux choses sérieuses. J'ai beaucoup appréciée les aventures d'Erica Falck. L'écriture de l'auteur ne révolutionne sans doute pas le genre mais elle est plaisante. L'intrigue reste classique et agréable à découvrir. Ce que j'ai trouvé de plus sympathique dans le roman de Camilla Läckberg, c'est la myriade de personnages secondaires et la manière dont ils sont décrits. « Il n'avait plus vingt ans. La femme qui ouvrit la porte non plus, définitivement. Il n'avait rien vu d'aussi petit et fripé depuis la dernière fois qu'il avait ouvert un sachet de pruneaux. » Les personnages principaux sont eux aussi très attachants et je sais déjà que je lirai la suite de leurs aventures. de plus l'athmosphère dans cette petite ville de province est fort bien restituée, avec les mesquineries et ce soucis contants des apparences que l'on ne trouve pas seulement en Suède. Bien sur on pourrait objecter que l'histoire entre nos deux protagonistes est un peu niaise, que l'on tombe parfois dans le pathos et le déjà-vu mais je me suis laissée embarquer et franchement j'ai eu du mal à lâcher ce roman avant de l'avoir fini. C'est déjà bien, non ?
Lien : http://altervorace.canalblog..
Cette question de comparaison un peu absurde réglée, je peux passer aux choses sérieuses. J'ai beaucoup appréciée les aventures d'Erica Falck. L'écriture de l'auteur ne révolutionne sans doute pas le genre mais elle est plaisante. L'intrigue reste classique et agréable à découvrir. Ce que j'ai trouvé de plus sympathique dans le roman de Camilla Läckberg, c'est la myriade de personnages secondaires et la manière dont ils sont décrits. « Il n'avait plus vingt ans. La femme qui ouvrit la porte non plus, définitivement. Il n'avait rien vu d'aussi petit et fripé depuis la dernière fois qu'il avait ouvert un sachet de pruneaux. » Les personnages principaux sont eux aussi très attachants et je sais déjà que je lirai la suite de leurs aventures. de plus l'athmosphère dans cette petite ville de province est fort bien restituée, avec les mesquineries et ce soucis contants des apparences que l'on ne trouve pas seulement en Suède. Bien sur on pourrait objecter que l'histoire entre nos deux protagonistes est un peu niaise, que l'on tombe parfois dans le pathos et le déjà-vu mais je me suis laissée embarquer et franchement j'ai eu du mal à lâcher ce roman avant de l'avoir fini. C'est déjà bien, non ?
Lien : http://altervorace.canalblog..
Au départ, je n'aime pas trop les polars, mais celui-ci m'a quand même tenue en haleine, vais-je dire. Qui a donc tué cette belle jeune femme froide ?
Une galerie de personnages défile dans ce petit village suédois où la force des racontars, la peur du qu'en-dira-t'on est beaucoup plus importante qu'on ne le pense ! Nous entrons dans la tête du peintre dégénéré, du mari violent, de l'ex devenu ami, de 2 trentenaires célibataires et pas fiers de l'être, de la soeur battue, de la mère courage, et j'en passe. Donc, au point de vue du suspens, rien ne m'a rebutée. Par contre, c'est le style que je n'ai pas apprécié, style dans le genre de Cathy Kelly, auteur de romans que je déteste, à l'eau de rose… En effet, à chaque entrée d'un nouveau personnage, nous avons droit à la description d'usage, ultra-cliché. Et puis l'histoire d'amour entre les 2 enquêteurs est par trop nunuche.
Bon, bref, TB pour l'histoire, mais pourrait (beaucoup) mieux faire pour le style. Conclusion : je ne pense pas lire à l'avenir d'autres romans de Camilla Lackberg. Je préfère, et de loin !, Arnaldur Indridason, autre écrivain de ces froides régions.
Une galerie de personnages défile dans ce petit village suédois où la force des racontars, la peur du qu'en-dira-t'on est beaucoup plus importante qu'on ne le pense ! Nous entrons dans la tête du peintre dégénéré, du mari violent, de l'ex devenu ami, de 2 trentenaires célibataires et pas fiers de l'être, de la soeur battue, de la mère courage, et j'en passe. Donc, au point de vue du suspens, rien ne m'a rebutée. Par contre, c'est le style que je n'ai pas apprécié, style dans le genre de Cathy Kelly, auteur de romans que je déteste, à l'eau de rose… En effet, à chaque entrée d'un nouveau personnage, nous avons droit à la description d'usage, ultra-cliché. Et puis l'histoire d'amour entre les 2 enquêteurs est par trop nunuche.
Bon, bref, TB pour l'histoire, mais pourrait (beaucoup) mieux faire pour le style. Conclusion : je ne pense pas lire à l'avenir d'autres romans de Camilla Lackberg. Je préfère, et de loin !, Arnaldur Indridason, autre écrivain de ces froides régions.
Un roman qui se lit vite et facilement sans grand suspens ni rebondissements... ni passion.
Les personnages sont nombreux, tous écorchés ou perturbés, tous bien "décortiqués" et pourtant on ne s'y perd pas . L'enquête manque de corps et d'argumentation, elle passerai presque pour l'histoire secondaire.
Un polar suédois qui se lit bien, des personnages attachants, une enquête policière, une histoire d'amour, ... Et beaucoup trop de café!
Juste dommage que les pièces du puzzle se mettent en place très vite et qu'il manque un peu de suspens une fois que l'on a deviné le rôle des principaux protagonistes.
Juste dommage que les pièces du puzzle se mettent en place très vite et qu'il manque un peu de suspens une fois que l'on a deviné le rôle des principaux protagonistes.
Je n'avais rien lu de Camilla Lackberg, alors quand je suis allée chez ma libraire préférée pour faire le plein de livres pour les vacances, j'ai pris le premier de la série d'Erica Falck.
Je suis mitigée...je m'attendais à quelque chose de plus "gore", de mieux ficelé, je ne sais pas la collection Babel Noir, la réputation de l'auteure...je ne sais pas trop.
J'ai sympathisé avec Erica et Patrick, je me suis gelée dans le froid glacial de la Suède et j'ai essayée de trouver l'assassin d'Alex...malgré quelques longueurs j'ai passé un bon moment mais je reste sur ma faim...
Toutefois, c'est le premier d'une série et on sent que les choses se mettent en place et j'ai bien envie de lire la suite tout de même car on sent que les personnages vont s'affiner par la suite ( enfin j'espère) car pour cet opus, nous avons affaire à un gentil polar mais rien de bien transcendant. Je laisse donc une place au doute, d'autant plus que cette auteure est réputée mais...à suivre !
Seul bémol, la couverture est affreuse, et il y a quelques défauts de traduction et de construction des phrases gênants.
Je suis mitigée...je m'attendais à quelque chose de plus "gore", de mieux ficelé, je ne sais pas la collection Babel Noir, la réputation de l'auteure...je ne sais pas trop.
J'ai sympathisé avec Erica et Patrick, je me suis gelée dans le froid glacial de la Suède et j'ai essayée de trouver l'assassin d'Alex...malgré quelques longueurs j'ai passé un bon moment mais je reste sur ma faim...
Toutefois, c'est le premier d'une série et on sent que les choses se mettent en place et j'ai bien envie de lire la suite tout de même car on sent que les personnages vont s'affiner par la suite ( enfin j'espère) car pour cet opus, nous avons affaire à un gentil polar mais rien de bien transcendant. Je laisse donc une place au doute, d'autant plus que cette auteure est réputée mais...à suivre !
Seul bémol, la couverture est affreuse, et il y a quelques défauts de traduction et de construction des phrases gênants.
Je découvre Erica Falck et son univers avec ce premier roman et je suis séduite. Ce policier est de facture classique et le thème du secret n'est pas original mais tout y est minutieusement décrit, documenté et agencé de manière à garder le suspens jusqu'au bout. J'ai assez vite découvert le secret d'Alex – c'est presque trop clair dès le départ – mais je n'avais pas imaginé les circonstances et ce meurtrier-là.
J'ai surtout aimé la description des personnages, tant physique que morale. L'auteur nous les dépeint avec justesse et sans cacher leurs failles, petites faiblesses ou gros défauts et cela rend crédible l'histoire et l'atmosphère dans laquelle elle se joue. le poids des convenances, du regard des autres, des commérages est oppressant et tellement compréhensible dans un si petit village où les gens s'ennuient. Un hiver long et rude, peu d'activités, de distraction, de touristes… que faire d'autres que d'épier ses voisins. le couple Hedström-Falck fonctionne et on sent très vite qu'il se retrouvera dans les romans à suivre.
Ce n'est pas un policier haletant et vif mais une intrigue qui prend place dans un contexte précis avec des protagonistes ayant un passé commun et des liens, connus ou non. Rien n'est extraordinaire dans ce récit, c'est juste une histoire qui pourrait arriver à tout le monde. C'est aussi cela qui m'a plu. Plus que "Cyanure" qui m'avait laissée sur ma faim.
On sent également que ce roman est le premier d'une série et il fallait bien planté le décor, expliquer qui était qui, et préparer le terrain pour les prochains épisodes.
Un tout petit bémol, il arrive à l'auteur de taire des indices que ses personnages ont découverts.
« Elle écouta le répondeur, mais coupa avoir de l'avoir écouté jusqu'au bout. le visage blême, Erika raccrocha lentement. Tout à coup elle sut ce qui manquait dans la chambre à l'étage »
En tant que lectrice, je trouve cette rétention d'information agaçante.
Je pense que je lirai la suite des aventures d'Erika Falck pour observer, notamment, l'évolution des personnages et de leurs relations. Je suis ravie en tout cas de cette découverte qui, même si ce roman ne révolutionne pas le polar, est agréable à lire et tient en haleine jusqu'au bout. N'est-ce pas ce qu'on demande à un récit policier ?
Lien : http://argali.eklablog.fr
J'ai surtout aimé la description des personnages, tant physique que morale. L'auteur nous les dépeint avec justesse et sans cacher leurs failles, petites faiblesses ou gros défauts et cela rend crédible l'histoire et l'atmosphère dans laquelle elle se joue. le poids des convenances, du regard des autres, des commérages est oppressant et tellement compréhensible dans un si petit village où les gens s'ennuient. Un hiver long et rude, peu d'activités, de distraction, de touristes… que faire d'autres que d'épier ses voisins. le couple Hedström-Falck fonctionne et on sent très vite qu'il se retrouvera dans les romans à suivre.
Ce n'est pas un policier haletant et vif mais une intrigue qui prend place dans un contexte précis avec des protagonistes ayant un passé commun et des liens, connus ou non. Rien n'est extraordinaire dans ce récit, c'est juste une histoire qui pourrait arriver à tout le monde. C'est aussi cela qui m'a plu. Plus que "Cyanure" qui m'avait laissée sur ma faim.
On sent également que ce roman est le premier d'une série et il fallait bien planté le décor, expliquer qui était qui, et préparer le terrain pour les prochains épisodes.
Un tout petit bémol, il arrive à l'auteur de taire des indices que ses personnages ont découverts.
« Elle écouta le répondeur, mais coupa avoir de l'avoir écouté jusqu'au bout. le visage blême, Erika raccrocha lentement. Tout à coup elle sut ce qui manquait dans la chambre à l'étage »
En tant que lectrice, je trouve cette rétention d'information agaçante.
Je pense que je lirai la suite des aventures d'Erika Falck pour observer, notamment, l'évolution des personnages et de leurs relations. Je suis ravie en tout cas de cette découverte qui, même si ce roman ne révolutionne pas le polar, est agréable à lire et tient en haleine jusqu'au bout. N'est-ce pas ce qu'on demande à un récit policier ?
Lien : http://argali.eklablog.fr
Édition originale :
2003
Première édition française :
2008
Temps de lecture :
environ 7h30 pour un lecteur moyen (300 mots/ minute)
Un mot sur l'auteur :
Camilla Läckberg est une autrice de polar suédoise née en 1974. de renommée internationale, elle a reçu de nombreux prix pour ses romans. Jeune, talentueuse, jolie… tout pour plaire quoi !
Synopsis :
Que faut-il en retenir ?
Les polars nordiques sont à la mode depuis un peu plus d'une quinzaine d'années maintenant. Camilla Läckberg en est un des archétypes : secrets familiaux, neige et noms imprononçables se conjuguent pour former une histoire pour le moins bien construite et, je dois l'avouer, qui m'a quelque peu surpris dans son dénouement.
Alors pourquoi ai-je eu tant de mal à accrocher ? Peut-être à cause de la foule très nombreuse de personnages secondaires, pas très utiles et vraiment trop caricaturaux (le chef de la police gras et débile, le beau-frère qui bat sa femme)… j'ai vraiment eu l'impression d'une galerie de poncifs usés. Également parce le style est assez plat ; évidemment, je ne l'ai pas lu dans la langue, je ne me prononcerai donc que sur la traduction, mais rien d'excitant dans la forme, c'est très banalement écrit. Et puis finalement une intrigue secondaire d'amour à l'eau de rose qui n'est vraiment pas mon truc.
Reste un fond intéressant et bien mené avec quelques rebondissements que je n'ai pas vu venir.
Pour conclure :
J'ai apprécié la mise en abyme de son personnage, elle-même autrice et originaire de Fjällbacka. Mais au contraire d'Erica, Camilla Läckberg est une star internationale, et il n'y a pas à douter que les livres suivants (la princesse de glace étant le premier roman d'une série de 10 tomes à ce jour) sont d'une qualité au moins égale… voire supérieure. Je persévérerai donc et lirai prochainement la suite (Le Prédicateur).
2003
Première édition française :
2008
Temps de lecture :
environ 7h30 pour un lecteur moyen (300 mots/ minute)
Un mot sur l'auteur :
Camilla Läckberg est une autrice de polar suédoise née en 1974. de renommée internationale, elle a reçu de nombreux prix pour ses romans. Jeune, talentueuse, jolie… tout pour plaire quoi !
Synopsis :
Que faut-il en retenir ?
Les polars nordiques sont à la mode depuis un peu plus d'une quinzaine d'années maintenant. Camilla Läckberg en est un des archétypes : secrets familiaux, neige et noms imprononçables se conjuguent pour former une histoire pour le moins bien construite et, je dois l'avouer, qui m'a quelque peu surpris dans son dénouement.
Alors pourquoi ai-je eu tant de mal à accrocher ? Peut-être à cause de la foule très nombreuse de personnages secondaires, pas très utiles et vraiment trop caricaturaux (le chef de la police gras et débile, le beau-frère qui bat sa femme)… j'ai vraiment eu l'impression d'une galerie de poncifs usés. Également parce le style est assez plat ; évidemment, je ne l'ai pas lu dans la langue, je ne me prononcerai donc que sur la traduction, mais rien d'excitant dans la forme, c'est très banalement écrit. Et puis finalement une intrigue secondaire d'amour à l'eau de rose qui n'est vraiment pas mon truc.
Reste un fond intéressant et bien mené avec quelques rebondissements que je n'ai pas vu venir.
Pour conclure :
J'ai apprécié la mise en abyme de son personnage, elle-même autrice et originaire de Fjällbacka. Mais au contraire d'Erica, Camilla Läckberg est une star internationale, et il n'y a pas à douter que les livres suivants (la princesse de glace étant le premier roman d'une série de 10 tomes à ce jour) sont d'une qualité au moins égale… voire supérieure. Je persévérerai donc et lirai prochainement la suite (Le Prédicateur).
Un polar noir, mais une déception pour moi.
Les personnages sont tous torturés et donnent l'impression que tous les habitants du village sont schizophrènes. Certains passages sont inutiles et font que j'ai eu du mal à rentrer dedans.
Les chapitres sont mal faits et on passe d'un personnage à un autre dans le même chapitre, on s'y perd un peu.
Pour ce qui est de la romance entre les deux héros, c'est pareil, trop de longueurs, pas de contentements, trop de répétitions.
J'attendais le dénouement avec impatience pour relever un côté positif dans ce roman tant décrié et je n'ai pas eu de surprise non plus.
Bref, pour un non initié à ce genre de roman, je comprends qu'on puisse s'y laisser prendre.
Les personnages sont tous torturés et donnent l'impression que tous les habitants du village sont schizophrènes. Certains passages sont inutiles et font que j'ai eu du mal à rentrer dedans.
Les chapitres sont mal faits et on passe d'un personnage à un autre dans le même chapitre, on s'y perd un peu.
Pour ce qui est de la romance entre les deux héros, c'est pareil, trop de longueurs, pas de contentements, trop de répétitions.
J'attendais le dénouement avec impatience pour relever un côté positif dans ce roman tant décrié et je n'ai pas eu de surprise non plus.
Bref, pour un non initié à ce genre de roman, je comprends qu'on puisse s'y laisser prendre.
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