Le dompteur de lions

Ca, c'est fait!
J'ai lu le dernier Camilla Lackberg...

C'est comme une réunion de famille: on y va sans enthousiasme mais comme on connait tout le monde, le temps s'étire néanmoins agréablement.
Encore une fois, on a droit aux problèmes de parents débordés par leur progéniture ou déprimés dans leur couple ou dans leur vie, aux problèmes professionnels avec un patron sans envergure et de sympathiques adjoints. Erica est toujours aussi agaçante, son gentil mari toujours efficace, le commissariat vit sa vie de commissariat... La routine!

Le menu est sans surprise: mêmes ingrédients, même recette: une enquête sur une affaire sordide assaisonnée du quotidien des habitants de la petite ville de Fjällbacka (que j'ai décidément bien envie de visiter...). Les chapitres s'entremêlent, entre passé et présent. Les faits et gestes des personnages récurrents prennent toujours plus de place dans la trame narrative, au détriment d'une affaire policière que j'ai trouvée indigente et peu crédible.

En conclusion, rien de bien nouveau! Une ambiance qui ronronne et son auteur aussi. Une lecture parfaite pour se détendre...
(Je me demande par quel mystère les livres de cette série policière arrivent entre mes mains sans les avoir cherchés. Et à chaque fois, je me laisse prendre.)

Il y a quelque chose de jubilatoire à lire un roman qui se déroule dans le froid glacial de Fjällbacka (Suéde) quand vous même, êtes en train de bronzer sous un cagnard au top niveau ...
10° tome des aventures de la romancière Erica et de son mari Patrik , (inspecteur de police) , ce roman est comme des retrouvailles avec des voisins d'une maison de vacances . Et Camilla Lackberg en joue beaucoup , usant des mêmes recettes à chaque fois (mais pourquoi s'en priver puisque ça marche !) Elle alterne les passages joyeux concernant la famille de notre jeune couple , la petite vie pèpère du commissariat et les passages un peu plus trashs et pervers touchant le(s) meurtrier(s) . Et elle ne nous épargne pas ,question perversité , la Camilla...

Victoria , jeune adolescente sans histoire a disparu depuis 4 mois lorsqu'elle réapparaît atrocement mutilée mais vivante à la lisière d'une forêt . Hélas ses blessures sont trop importantes pour qu'elle survive et puisse témoigner de ce qui lui est arrivé . Patrik et ses collègues sont en charge de l'enquête , cette histoire faisant écho à d'autres disparitions d'adolescentes dans le secteur .
Parallèlement Erica , rassemble les matériaux pour écrire un livre sur un fait divers réel remontant vingt ans en arrière , une femme qui a tué son mari (ex dompteur de lions dans un cirque ), lequel maltraitait leur fille .

Comme d'habitude avec Camilla Läcberg , les meurtres du passé et ceux du présent se rejoindront à la fin . Au vu de certaines critiques , quelques lecteurs sont lassés des recettes de l'auteur ... Je les rejoins complétement c 'est vrai qu'elle pourraient faire preuve d'un peu d'inventivité ...(d'autant que sans être Miss Marple , on peut deviner la fin aisément ,dés la moitié du roman...).
Moi ce qui m'exaspère c'est certains personnages secondaires comme le commissaire et patron de Patrik qui n'en " b... pas une ", mais se fait mousser dés que possible auprès des médias et des autorités supérieures sans que personne ne bronche , ainsi que le personnage d'Anna qui a toujours des problèmes . C'est caricatural au possible , naïf, et pas digne d'un auteur à la renommée internationale . Camila Läckberg a du talent , c'est dommage qu'elle tombe dans la facilité ...
Pour le reste , je lirais le tome 11 des aventures d'Erica et Patrik , avec plaisir , comme on retrouve de vieux amis que l'on revoit une fois par an et dont on prend des nouvelles parce qu'on ne leur veut que du bien ...

J'ai reçu en cadeau le dernier-né de l'écrivaine suédoise. Je suis une inconditionnelle de ses romans, et na taris généralement pas d'éloges sur ceux-ci. Alors, "Le dompteur de lions" a t-il fait exception à la règle ?
Comme à l'accoutumée, deux histoires en parallèle, que plusieurs décennies séparent, et qui vont finir par se rejoindre. On cherche à résoudre les mystérieuses disparitions de jeunes filles à travers la Suède. L'une d'elles est retrouvée, la langue coupée, sans yeux et privée d'ouïe. Il va sans dire que Patrick et ses collègues vont alors se démener pour trouver le coupable.
Je viens de relire ma critique du tome qui précédait celui-ci. Je mettait alors en garde l'auteure, lui disant que nous lecteurs finirions peut-être par nous lasser si celle-ci employait toujours les mêmes ficelles. Je suis au regret de dire que selon moi, l'auteure est définitivement tombée dans ce piège. Certes, le livre m'a accroché et je l'ai dévoré, avec la hâte de connaître le dénouement. Certes, les personnages sont toujours aussi attachants. Cependant, l'intrigue reprend encore un schéma certes efficace mais un peu usé. On découvre qu'un personnage cachait son passé et a changé de nom etc... Ce n'est pas que je n'ai pas été surprise : je n'ai pas été surprise d'être surprise. Même si j'aime toujours autant l'esprit, tout cela commence à sentir un peu le réchauffé. J'ai trouvé la fin un peu bâclée également. de même, sur le plan de le vie personnel des policiers, pas non plus de surprise.
Cela m'attriste que le négatif l'emporte, mais il faut bien reconnaître que Läckberg semble être arrivée à un point où elle ne nous surprend plus vraiment. Pourtant, le style reste agréable, l'atmosphère plaisante, les intrigues bien ficelées... Je reste sur ma faim, il serait temps de mettre un peu de piment et d'inattendu dans tout cela.
Lien : http://lantredemesreves.blog..

Après ma lecture éprouvante du livre de Inès Bayard « le malheur du bas », j'avais besoin d'un roman léger qui se lise facilement sans prise de tête et j'ai tout naturellement pensé à Camilla Lackberg. Vu que le « dompteur de lions » était dans ma pal, le choix a été vite fait. C‘est un peu la garantie de retrouver une famille que l'on connaît bien et qui , même si Erika a tendance à nous crisper, nous fait du bien. Tous les personnages ont leur particularité et ils arrivent toujours à me faire sourire même les plus pénibles comme je le disais Erika ou Melberg le « chef » de la brigade.
On retrouve également la même construction que dans ses autres livres, à savoir l'alternance entre le passé et le présent. Hé oui, les mêmes personnages, la même construction, je vous le dis , on est comme à la maison avec Camlla Lackberg :-)
l'intrigue ici est particulièrement alambiquée et je l'ai peut-être moins appréciée mais ce roman remplit bien son rôle de divertissement et lorsque « la sorcière » sortira en poche, je l'accueillerai , c'est sûr avec plaisir. C'est d'ailleurs un peu le mystère de cette série qui a tendance à agacer beaucoup de monde et pourtant, on continue à suivre les aventures de Patrick et Erika !

Camila Lackberg utilise toujours la même recette qui remporte à chaque fois les suffrages grâce à son phrasé vif et efficace.
Il y a cette sensation de déjà-vu dès les premières pages lorsqu'on retrouve le quotidien des personnages qu'on commence à bien connaître. C'est un peu comme reprendre des nouvelles des amis qu'on n'avait pas vu depuis longtemps.
Les polars de Camila Lackberg témoignent de l'influence décisive exercée par le territoire sur la romancière. Les habitants et le climat rude de Fjällbacka suffisent à créer une ambiance sombre propice aux enquêtes tordues. Son désir d'ouvrir la porte des mensonges fermée depuis longtemps fait le reste.

Les scénarios s'entremêlent amplifiant la tension autour des différents suspects. On en viendra à suspecter tour à tour pratiquement tous les personnages qui gravitent autour des victimes.
Comme d'habitude le récit est ultra-réaliste dans les dialogues et les situations, le style rapide et précis, et on se laisse quand même bien surprendre.

Comme l'a écrit Tynn, que je rejoins tout à fait, " ça ronronne", et même si le ronronnement demeure agréable, on ressent comme un léger agacement...

En effet, c'est le cas de beaucoup d'auteurs de romans policiers qui présentent un personnage ( ou plusieurs) d'enquêteur récurrent: au bout d'un certain nombre de livres, on voit de plus en plus les ficelles, on retrouve la même trame narrative.Pour Camilla Läkberg, c'est une enquête au présent de Patrick, court circuitée par une affaire ancienne qu'Erika, sa femme, traite dans un de ses livres.Le tout entremêlé de leur quotidien avec des enfants remuants.

J'ai trouvé cet opus bien macabre et assez peu vraisemblable même si l'on sait que le Mal existe chez certains humains à un degré effrayant...

La lecture a cependant été plutôt agréable.Mais il faudrait que l'auteur se renouvelle pour m'attirer à nouveau.Seuls, Erlendur et Wallander ne m'ont jamais déçue...

Il ne manquait que celui-ci pour avoir lu tous les Camilla Lackberg. Bon roman policier avec une enquête sur des disparitions de jeunes filles et en parallèle nous suivons la vie d'un personnage qui a épousé un dompteur de lions dans les années 60. le seul bémol pour moi est la fin.

Dernière aventure en liste des aventures du couple Éricka-Patrick, personnages chouchous de Lackberg. Elle aborde dans cet opus la violence conjugale et la maltraitance. La formule reste la même : une histoire contemporaine, de brefs retours dans le passé, une intrigue policière et un sujet de bouquin pour l'écrivaine Éricka.... et bien sur, des litres et des litres de café ! Je crois qu'avoir fait une pause dans la série m'a fait apprécié la lecture de ce livre. Je m'étais un peu lassé de l'écriture de cette reine du polar scandinave. Alors, pas un grand bouquin, mais dont j'ai tout de même apprécié la lecture.

Une jeune fille, chancelante, traverse une route.
Malheureusement, une voiture déboule du virage et ne peut pas l'éviter.
Elle est percutée.
Cette adolescente, c'est Victoria, disparue depuis 4 mois.
A l'hôpital, Patrick, responsable de l'enquête sur la disparition, apprend que cette dernière a subi des sévices d'une rare violence et d'un sadisme incroyable.

Au même moment, sa femme, Erica, fait une enquête pour son livre sur le meurtre d'un homme tué par sa femme il y a plus de trente ans.

Première fois que je lis un livre de cette auteure dont j'ai entendu parlé depuis longtemps.

Une des questions que je me pose c'est :
pourquoi un tel engouement pour Camilla Läckberg ?

Peut être n'ai-je pas commencé par le meilleur.

Certes, la lecture est prenante, les personnages sont mignons, l'histoire est curieuse.
C'est un bon livre.
Il m'a même donné envie de lire le suivant, par curiosité.

Mais il est tellement prévisible !
Et dans ce genre, c'est un très mauvais point.
J'avais l'impression de lire une sorte de stéréotype du thriller.

Pourtant les deux histoires étaient vraiment accrocheuses.
Celle de la disparition des adolescentes étaient mêmes gênantes quand on apprend ce que Victoria a subi.

Mais lorsqu'on est à peine à la moitié du roman et qu'on a résolu 90% des deux enquêtes qui se rejoignent bien évidemment, c'est décevant.
J'ai pensé que c'était pour mieux me perdre à la fin. Et bien non.

Je lirai donc un deuxième roman de Mme Läckberg afin de ne pas rester sur une première impression mais si je trouve le coupable trop tôt, j'abandonne.

Victoria, adolescente de 15 ans, disparue depuis 4 mois, réapparaît mystérieusement et se fait faucher par une voiture. L'autopsie de la jeune fille révélera qu'elle a subi d'atroces mutilations. Patrick et son équipe habituelle se chargent de l'enquête. Pendant ce temps, Erica tente d'achever un ouvrage sur l'histoire de la maison des horreurs. Pour cela, elle essaye d'obtenir le témoignage de Laila, jugée pour l'assassinat de son mari et toujours emprisonnée ou plutôt internée vingt ans après le meurtre. ...
Comme toujours, quand Camilla Läckberg sort un épisode concernant Erica Falk, je me dis : "Non, tu ne vas pas encore le télécharger. Tu vas pester, râler devant les longueurs et les chemins de traverse inutiles que prend cette auteure, tu va t'impatienter que le livre en devient interminable, tu vas t'agacer des épisodes couche-culotte qui jalonnent l'enquête, des jérémiades de sa soeur Anna qui plante sa vie de couple et qui nous fait un deuil interminable pour son bébé mort-né les épisodes précédents, ... Je me demande si tous les personnages ne sont pas un peu dépressifs si ce n'est Mellberg, le chef de la police locale, bien trop crétin pour s'imaginer des problèmes. Et comme toujours, j'ai téléchargé l'ouvrage, me promettant que c'est le dernier que je lirai et je l'ai lu, et comme toujours, j'ai effectivement pesté, râlé et je me suis impatienté et agacé. Il faut reconnaître à l'auteure qu'elle a tout de même le don de surprendre et au final, de donner envie à ses lecteurs de finir ses ouvrages malgré tout ce qui tourne inutilement autour de l'enquête. Bon, pour celui-ci, elle en a mis une fameuse couche. Une bonne épaisseur de grande cruauté, une forte dose de couche-culotte et de bébé insupportable et surtout beaucoup de directions qui ne nous mènent nul part. A croire que d'avoir un gosse, c'est une fameuse croix à porter. Donc, je suis quand même épaté par la fin mais que de chemins pour y arriver ! Bon, comme toujours, je me promets de ne pas télécharger le prochain tome des histoires de l'écrivaine mêle-tout et de son gentil mari policier. Dites, sauriez-vous quand paraît le prochain opus de cette série ?