Moonlight Mile

Autant le dire tout de suite, Moonlight Mile n'est pas le meilleur de Lehane.On retrouve pourtant avec plaisir Kenzie et Gennaro;cete fois,la mayonnaise ne prend, malgré un vrai sens du dialogue,on a du mal a se passsioner pour cette enquete.bref une déception,meme si il reste au dessus du lot de la production actuelle.Nous ne somme déçus que par ceux que nous aimons

Quel gâchis ! Et ça me coûte de le reconnaître. J'adore Dennis Lehane.
Il faisait partie, à mes yeux, de ceux qui n'écrivent jamais de mauvais livres. Comme tous les bons auteurs, il y a toujours quelque chose à prendre dans ses livres. On ne comptait plus les pépites de sa bibliographie (Mystic River, et quasiment toute la série Kenzie-Gennaro).
Mais là, c'est une catastrophe ! Mal construit, rien à dire, mal ficelé, sans âme, en fait ce livre m'a fait l'effet d'un premier jet publié tel quel. Il y a bien un petit quelque chose mais il n'émerge pas à la lecture. C'est bâclé, voilà.
Alors on retrouve tout ce que l'on doit retrouver, les situations, les personnages, les vannes qui font mouche, mais c'est sans surprise, presque sans plaisir. Comme des amis qui se retrouvent des années après et qui n'ont rien à se dire.
Lehane donne l'impression de vouloir en finir avec ses personnages pour ne plus qu'on lui demande de leurs nouvelles. C'est bien dommage.

En cours de lecture mais pour le moment, assez déçue.
Inconditionnelle de Lehane, surtout Mystic river, Shutter island ce dernier livre a l'air baclé.
Humour qui tombe à plat, histoire invraisemblable, j'ai suivi avec passion toutes les aventures de Patrick et Angie mais là, vraiment, la magie n'opère pas.
BOF!!!!

Je m'attendais a retrouver avec plaisir les personnages phares de Dennis Lehane. J'ai adoré chaque livre que j'ai lu de lui. Mais quelle déception... J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'Intrigue qui se perd dans les méandres d'un quotidien peu fouillé et je dois avouer que je me suis ennuyée.
D'ailleurs l'intrigue est mince et même si bien menée elle laisse un peu sur sa faim, comme si l'auteur lassé lui même par ses personnages les abandonnait au bord de la route. On tourne en rond et s'égare sans rythme ni tension. Il est bien dommage de clore ainsi le superbe Gone baby Gone.