Une fois de plus, je me suis émerveillée des aventures de Routabille, le grand reporter, enquêteur, cette fois-ci espion! Ses aventures nous entrainent en Allemagne pendant la grande guerre, au moment où ce pays est à la recherche d'une technologie de pointe pour fabriquer une arme capable de décimer Paris en une seconde. Sur ce, l'Allemagne n'hésite pas à d'arracher M. Fulber le savant atomique Français entre les mains des Anglais, le kidnapper avec sa famille (sa fille et son beau-fils) . Le savant initie déjà un projet pouvant satisfaire leur souhait. La mission de notre espion de ramener le savant et sa famille et annuler toute fabrication d'une machine à destruction massive...une mission qui va nécessité une intelligence machiavélique pour y parvenir...
Ici, l'action est mis sur les prisonniers de guerre qui sont mis en valeur selon leur capacité. Tout prisonnier ayant un du génie capable de renforcer les atouts de l'armée allemande est ingénieusement exploité. Ils sont traités comme des outils de production militaire. Il y a aussi cette intelligence de Rouletabille qui se déploie malicieusement dans ce milieu paré d'embuche...il y a moins d'actions mais les rebondissements nous tiennent en haleine!
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147 pages – Edition LCI 71
Pendant la guerre de 14-18 Rouletabille, le célèbre journaliste de L'Epoque, a été rappelé du Front et envoyé en mission à Essen chez Krupp car les allemands ont enlevé un ingénieur et sa fiancée capables de concevoir un engin qui pourrait réduire Paris en poussière : le Tinania !
Il est chargé de détruire l'engin et libérer les deux jeunes gens. Bien que facile à lire j'ai trouvé que les événements se déroulent un peu trop vite, au détriment de l'histoire qui du coup paraît bâclée !
Ça a l'avantage de se lire rapidement !
Challenge MAUVAIS GENRE 2021
Challenge RIQUIQUI 2021
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Petite déception avec cette 6ème aventure de Rouletabille qui se déroule pendant la 1ère guerre mondiale.
Rouletabille est envoyé à Berlin, au milieu de l'ennemi, pour libérer des Allemands (ou le tuer s'il y est contraint) Fulber, un savant inventeur d'un missile d'une puissance capable d'anéantir Paris si le secret de son fonctionnement tombe aux mains des Allemands. Rouletabille retrouve ses vieux amis La Candeur et Vladimir pour mettre sur pied un plan minutieux et compliqué qui nous emmène dans l'organisation bien rodée des usines allemandes.
Contexte oblige, cet épisode est plus dramatique et plus sombre que les précédents. L'humour y est moins présent et la fin est carrément bâclée, avec un dénouement précipité et peu intéressant.
J'espère que le suivant est plus réussi...
Challenge multi-défis 2021
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- Mon cher général, interrompis-je, nous vivons à une époque où toutes les imaginations de Jules Verne, sur la terre, dans les airs et sous les eaux, se réalisent si bien et si complètement, qu'il ne faudrait point s'étonner que celle-ci finît par entrer comme les autres dans le domaine de la réalité !
Tandis que les autres peuples s'attardent encore à des travaux sur la découverte récente de la dématérialisation de la matière, ici on travaille à la rematérialisation.
Une autre salle, avec une auge centrale où les prisonniers peuvent nettoyer eux-mêmes leur linge, c'est le lavoir.
Gaston Leroux : Le Fantôme de l’Opéra (1964 / France Culture). Diffusion sur France Culture le 3 octobre 1964. “Le Fantôme de l'Opéra” est un film radiophonique de Jean-François Hauduroy adapté, en 1964, du roman éponyme de Gaston Leroux écrit en 1910. Ce fantôme, qui hante les sous-sols de l'Opéra Garnier, n'en est pas vraiment un. Il nous effraie et nous terrifie car c'est un personnage de chair et de sang. Erik, le “fantôme” de l’Opéra, personnage tout à fait extraordinaire, dont le rôle est tenu ici par un acteur non moins extraordinaire, Alain Cuny, avec également Danièle Ajoret, René Farabet et Jean-Roger Caussimon dans le rôle du Persan.
Résumé :
Des événements étranges ont lieu à l'Opéra : le grand lustre s'effondre pendant une représentation, un machiniste est retrouvé pendu. La direction doit se rendre à l'évidence : un fantôme ou un homme machiavélique nommé Erik hante le théâtre. Certains affirment avoir vu le visage déformé de cet être qui ne semblerait pas être humain. Peu après, les directeurs de l'Opéra se voient réclamer 20 000 francs par mois de la part d'un certain « Fantôme de l'Opéra » qui exige aussi que la loge numéro 5 lui soit réservée.
Au même moment, une jeune chanteuse orpheline nommée Christine Daaé, recueillie par la femme de son professeur de chant, est appelée à remplacer une diva malade, la Carlotta. Elle incarne une Marguerite éblouissante dans “Faust” de Gounod. Or, elle est effrayée. Au vicomte Raoul de Chagny, qui est secrètement amoureux d'elle, elle confesse une incroyable histoire. La nuit, une voix mélodieuse l'appelle : elle entend son nom et cela lui suffit pour inspirer son chant. En outre, l'ange de la musique visite fréquemment sa loge. Elle affirme avoir entrevu l'être qui l'accompagne dans son art. Mais Raoul et Christine ne tardent pas à découvrir que cette voix est celle du fameux fantôme nommé Erik, un être au visage hideux. Ancien prestidigitateur, il s'est réfugié dans son royaume souterrain, sous l'Opéra, pour y composer une œuvre lyrique. Passionnément épris de la jeune Christine, il l'enlève et l'emprisonne dans son repaire des sombres profondeurs.
Raoul de Chagny, aidé d'un mystérieux Persan, se lance à la recherche de la jeune femme. Il doit alors affronter une série de pièges diaboliques conçus par le fantôme, grand maître des illusions. Mais la persévérance du jeune Raoul et le courage de Christine, prête à sacrifier sa vie pour sauver le jeune homme, dont elle aussi est éprise, poussent Erik, le fantôme de l'Opéra, au repentir.
Interprétation : Danièle Ajoret (de la Comédie Française, Christine Daaé), Alain Cuny (Erik), René Farabet (Georges / Raoul de Chagny), Jean-Roger Caussimon (Le Persan), Christian Lude (Firmin Richard, le nouveau directeur), Hubert Deschamps (Armand Monchardin, le nouveau directeur), Jeanne Frédérique (Madame Giry).
Avec le concours de René-Jacques Chauffard, Raymond Pélissier, Raymond Jourdan, Micheline Bona, Dominique Jayr, Pierre Decazes et René Renot.
Bruitages : Robert Maufras
Réalisation : Claude Roland-Manuel
Sources : France Culture et Wikipédia
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