Malheureusement, le voyage du Daldry de Lévy n'est étrange que sur la couverture. Les deux premiers tiers du roman sont malheureusement très ennuyants et mal écrits, remplis de lieux communs, anachronismes et incohérences... le dernier tiers relève le niveau avec quelques rebondissements, très attendus malgré tout. Mais cela ne sauve pas le niveau général... Je ne me suis senti à aucun moment dans les années 50, à aucun moment à Londres ou Istanbul... Ce livre me donne envie... de découvrir Istanbul décrit par un Turc qui connaitrait réellement cette ville.
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Un peu déçue par ce roman là. Vu le résumé je m'y attendais un peu. Trop de longueur, des dénouements qui arrivent trop vite, une fin que l'on devine bien avant et qui au final ne fait pas naturelle... Bref pas une grande réussite.
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Une histoire d'amour au parfum oriental, la solitude, une époque troublée, l'amitié, un voyage, voici les clés de ce roman prévisible sans jamais être ennuyeux. Un moment de détente et de lecture facile.
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Alice est creatrice de parfums , Ethan est son voisin de palier . Tout deux après une révélation d'une voyante vont partir à l'aventure qui mènera Alice vers son passé enfoui depuis des années .
Coté positif marque Lévy a toujours cette écriture facile mais je me suis ennuyée sur de longs passages, il m'a fait tourner les pages avec difficulté , rien ne s'y passe et en plus la fin était prévisible.
A lire pour ceux qui veulent découvrir la Turquie et son paysage
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J'ai apprécié cette lecture pour sa description des odeurs et de la Turquie. Il y a eu aussi de beaux moments surtout dans la finale. Mais,
j'ai moins aimé l'histoire en elle-même..certains éléments de l'intrigue m'apparaissaient très évidents et pourtant un nombre incalculable de pages pouvaient y être consacrés avant l'aboutissement final. Cela m'a lassé. Egalement, j'apprécie qu'un auteur boucle toutes les histoires entreprises dans son roman même les secondaires. Dans le cas des amis d'Alice, nous ne savons rien de ce qui leur arrive après le départ de leur amie. Pourant ils étaient bien présents au début du roman.
Peut-être aurait-on pu passer moins de temps sur les origines d'Alice et en passer plus sur ses amis et sur Daldry ...Dans ce dernier cas, il me semble qu'il y avait matière à approfondir sa personalité et sa psychologie.
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