L'horizon à l'envers

J'ai une nouvelle fois été déçu par cette lecture de Marc Levy au final l'auteur fait du Marc Levy ni plus ni moins, pas de prise de risque pour ces lecteurs.

On suit ici trois jeunes étudiants en sciences Luke, Josh et Hope qui rejoindra le trio. Il sont très calés en ce domaine est plus particulièrement en neuro-sciences pour Josh et Luke, Hope quand à elle s'intéresse à trouver un remède pour des maladies comme Alzheimer.

Lors d'une expérience Luke va trouver quelque chose qui ne va pas dans les résultats d'Hope. On voit la suite venir.

Une déception donc encore plus grande dans la seconde partie et une première partie qui ne m'a pas laisser un souvenir impérissable.

Plat... très plat même... Je ne reconnais vraiment plus "mon Marc Lévy" de ses débuts. .. le Marc de "sept jours pour une éternité " où est-il? Je pense que cette fois c'est le dernier livre de lui qui je lis...

Et si nous pouvions utiliser la machine pour faire vivre l'esprit? du pur Lévy: à chaque fois je me dis que l'on ne m'y reprendra pas et pourtant... l'écriture est fluide, l'idée intéressante mais la fin est baclée, trop vite arrivée alors que l'histoire s'est éternisée.
Avis mitigé.

Chaque année je me demande pourquoi je persiste à lire chaque roman de Marc Levy sachant que chaque année, je suis déçue...
Cette année également, je n'ai pas aimé cette lecture, je me suis souvent ennuyée et je n'ai aimé que les derniers chapitres.
Ce livre n'est que du pur style de l'auteur, ce n'est donc pas de sa faute si je n'aime pas ses livres mais bien de la mienne qui persiste encore et encore.
L'année prochaine, je ne lirai pas son roman ! Mais on ne sait jamais, peut être que le prochain livre de l'auteur aurait été celui que j'aurais aimé lire...

Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un Marc Levy et je l'ai retrouvé avec plaisir!
Ce roman est d'autant plus touchant qu'il est inspiré d'une histoire vraie.. difficile de sortir indemne de cette lecture quand on y pense..
On en apprend aussi beaucoup sur les expériences et les avancées scientifiques qui ont lieu en ce moment même sur notre petite planète.. et je dois avouer que certaines m'ont quand meme un peu fait peur..!

Les premiers romans de Marc Lévy (Et si c'était vrai ? Où es-tu ? Sept jours pour une éternité. etc.) m'avaient fait passer de bons moments de lecture quand j'étais jeune adulte. Divertissants et sans prise de tête, j'en garde de bons souvenirs. Depuis, mes goûts ont changé. Ou alors, le dernier roman de Marc Lévy n'est vraiment pas à la hauteur des premiers romans... je ne saurais dire.

L'histoire est (très) longue à se mettre en place... et quand elle se met finalement en place, il nous faut bientôt changer de personnages et découvrir la seconde partie du roman, Mélody. Une seconde partie que j'ai trouvée fade, convenue et inintéressante. Beaucoup trop longue pour des évènements faciles à anticiper, et un personnage auquel on a du mal à se raccrocher. Les personnages d'ailleurs... Josh, Luke et Hope forment un trio peu convaincant. Leurs relations dégagent peu d'alchimie, on ne croit pas beaucoup à l'amour et à l'amitié de ces trois jeunes gens.

Le couple amoureux est assez improbable, on ne comprend pas bien d'où leur viennent ces sentiments qui semblent sortis de nulle part. C'est précipité et assez mal raconté, pas assez approfondi. J'ai trouvé que ça tombait comme un cheveu sur la soupe. Au final, le troisième comparse est laissé complètement de côté et n'apporte pas grand chose à l'intrigue. Difficile dans ces cas-là de s'identifier aux personnages, qui restent plutôt survolés (hormis Hope, qui bénéficie d'un meilleur traitement, mais dont la personnalité m'a un peu agacée, surtout au début du roman)

Lorsque la « mort imminente » évoquée dans la quatrième de couverture est enfin abordée, le roman décolle enfin, pour être aussitôt rattrapé par la deuxième partie du roman...

De très nombreuses longueurs, notamment lorsqu'il est question de propos scientifiques, viennent encore alourdir le tout. Certains passages sont vraiment inintéressants et dispensables.

Bref, un roman que je vais vite oublier.

Je viens de finir ce dernier livre de Marc Levy et je dois dire que je ressors un peu déçue de ma lecture. J'ai eu beaucoup de mal à accrocher à l'histoire, obligée de reposer le livre plusieurs fois avant d'essayer de reprendre ma lecture. A mon grand regret, je n'ai pas réussi à me plonger dans le roman, à décrocher de ce qui se passait autour de moi et à perdre la notion du temps comme cela m'est arrivé si souvent lors de la lecture de ses autres romans. Cela vient-il du thème abordé ? de l'écriture ? de mon état d'esprit ? Je ne saurais le déterminer avec précision.

L'Horizon à l'envers c'est l'histoire de trois jeunes étudiants en neuroscience : Luke, Josh et Hope. Josh et Luke sont deux amis d'enfance issus de familles modestes. Ensemble, ils participent à un programme de recherche qui leur permet de financer leurs études supérieures. Contre des recherches sur un domaine qui parait encore utopique à ce jour, un centre de recherche met à leur disposition un laboratoire entièrement équipé. Leur projet : cartographier le cerveau humain et créer un moyen d'enregistrer et de conserver la conscience d'un individu. Leurs recherches n'en sont qu'à leurs balbutiements mais semblent très prometteuses.
L'arrivée de Hope dans la vie de ce duo va quelque peu bouleverser les choses. Josh et Hope vont vivre une belle histoire d'amour jusqu'à ce qu'une terrible nouvelle vienne tout chambouler. Hope va apprendre qu'elle est atteinte d'une tumeur cérébrale et que ses jours sont comptés. Dès lors, le trio décide de tenter le tout pour le tout et de tester leurs recherches sur elle. Réussiront-ils à sauvegarder sa conscience ? Quelles seront les conséquences si leur entreprise aboutit ?

J'ai trouvé que l'intrigue était longue à se mettre en place. Il y a toute la première partie (jusqu'à la moitié du livre environ) qui m'a un peu ennuyée. J'ai trouvé que certains passages étaient trop descriptifs et que l'histoire était un peu plate. Puis à partir de la moitié, dès que l'on apprend la maladie de Hope, c'est un plus fluide mais ce n'est pas encore ça. Quant à la deuxième partie du livre, elle est prévisible et encore une fois avec des passages un peu longs.
Je vais probablement me faire houspiller par les fans inconditionnels de Marc Levy mais pour être franche, je n'ai pas adhéré à l'histoire. La magie n'a pas opéré. C'est bien dommage d'autant que j'avais vraiment adoré ses précédents romans. Pour moi, L'Horizon à l'envers est le moins bon de tous.

Malgré les 150 pages lues, pas du tout accroché à cette histoire, j'ai fini par abandonné tellement c'est plat... pas de suspens, ni rebondissement, juste une histoire d'amour et de l'amitié, avec la recherche de nouvelles découvertes scientifique, rien de terrible, déçue car le résumé donnait envie de s'y plonger. ..

On commence à en prendre l'habitude : dans un roman de Marc Lévy, la médecine tient un rôle primordial, clé; l'action se déroule forcément aux Etats-Unis et l'histoire d'amitié entre de jeunes et beaux personnages est teinté (ou non) d'amour. Deux âmes qui se cherchent et finissent toujours par se trouver.
« Rien n'est plus imminent que l'impossible », cette citation prêtée à Victor Hugo sert de prétexte à ces étudiants/chercheurs fous à explorer le cerveau et rechercher l'immortalité. On nage en plein délire techno-scientifique avec force détails (Lévy reconnait lui-même n'y rien comprendre en neurologie dans la page des remerciements). Bref, de toutes ces précisions médicales on aurait pu se passer. Reste l'intrigue, bien fine. Tout semble écrit, mieux : dicté, pire : téléphoné.
Mais comme tout n'est jamais noir, au deux tiers du roman apparait une porte, une issue, la possibilité de prendre le lecteur à revers. Mais seulement la possibilité. Si on songe à l'univers de Jc Grangé dans cette perte (ou plus exactement ce recouvrement) de personnalité, Lévy reste sur ses propres rails et on n'est égaré si peu de temps.
Un long fleuve bien trop tranquille. Même les trouvailles, ces petits détails qui font toute la différence, par exemple quand l'héroïne commande un homard dans un restaurant huppé ce n'est pas pour le manger - il me semble bien l'avoir déjà lu (ou vu) quelque part. Ses je sais que tu sais à répétition deviennent énervants à la fin et cette remarque si lucide : c'est terrible comme quelqu'un est présent quand il n'est plus là rappelle étrangement la singulière partie de cartes où César (Raimu) fait jouer (et gagner!) son ami Panisse (Charpin) pourtant absent pour cause de décès. Reste cette référence au Petit Prince dans la forme d'un chapeau ou d'un éléphant avalé tout entier par un boa.

Je n'ai pas vraiment accroché avec ce roman, j'ai trouvé les dialogues beaucoup trop guindés, ça ne faisait vraiment pas spontané.