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Spider-Man - 100% Marvel tome 4 sur 8

Jeph Loeb (Autre)Tim Sale (Autre)
EAN : 9791039119962
Panini France (27/09/2023)
3.87/5   58 notes
Résumé :
Peter Parker est marié à Mary Jane Watson et il est heureux. Mais le douloureux souvenir de son premier amour, Gwen Stacy, demeure. À l'occasion de la Saint-Valentin, Peter se remémore son combat contre le Bouffon Vert qui a coûté la vie à sa bien-aimée...
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Le tandem Jeph Loeb + Tim Sale s'est rendu célèbre pour avoir réalisé de mémorables histoires de Batman (par exemple Catwoman à Rome, même s'il s'agit plus de Catwoman). Après ces histoires chez DC, ils viennent mettre en oeuvre leur magie chez Marvel. Cela donnera 3 histoires : Daredevil jaune (en 2001), Spider-Man bleu (en 2002) et Hulk gris (en 2003).

Peter Parker est en train de confier ses pensées à un magnétophone à cassettes. Il explique qu'il va parler de sa relation avec Gwen Stacy, et comment elle s'inscrit dans une thématique illustrant que dans sa vie les choses doivent vraiment se dégrader et empirer, avant de pouvoir s'améliorer. Tout commence avec une rencontre décisive contre Green Goblin (Norman Osborn) qui a appris l'identité secrète de Spider-Man. Fort heureusement, à l'issue du combat contre son ennemi juré, il est victime d'une amnésie qui lui fait oublier cette information cruciale. Peter Parker est encore à la fac et il cachetonne pour le Daily Bugle qui le paye à la semaine. Comme Peter tire le diable par la queue, il préfèrerait être payé dès ses clichés remis à J. Jonah Jameson. Peter va rendre visite à Norman Osborn sur son lit d'hôpital où il commence à se lier d'amitié avec son fils et où il rencontre une blonde sublime dans les couloirs Gwen Stacy. Dans l'ombre un de ses ennemis non identifié s'arrange pour libérer ou faire échapper plusieurs supercriminels, à commencer par Rhino (Aleksei Mikhailovich Sytsevich). Ah, oui, il y a aussi une rousse flamboyante, fille d'Anna Watson, un déménagement à New York et un copain qui s'engage dans l'armée pour faire quelque chose de sa vie, etc.

Alors que pour Hulk et Daredevil, Jeph Loeb revenait sur les premiers épisodes de leur série respective, pour Peter Parker, il commence un peu plus tard. le combat décisif contre Green Goblin se déroule pendant les épisodes 39 et 40 de la série, publiés en 1966. Loeb se complait à évoquer cette époque du tisseur, en utilisant toutes les caractéristiques correspondantes, qui sont devenues autant de clichés au fil des années. Bizarrement, il évite de citer Betty Brant (l'amour précédent de Peter), certainement pour ne pas alourdir la narration.

Si vous avez lu les épisodes originaux de cette période, l'aspect nostalgique confine au copiage, plus qu'à l'hommage. Contrairement à Jaune et à Gris, Loeb semble tellement impressionné et respectueux des originaux qu'il n'arrive pas à les dépasser pour leur donner plus de sens ou plus d'émotion, pour dégager une nouvelle thématique avec le recul des années. Loeb reprend la relation entre Parker et Jameson en l'état, sans la développer ou l'approfondir. Jonah est juste irascible et impatient devant ce jeune dans le besoin, mais rien de plus. Peter est de nouveau tiraillé entre la rousse et la bonde, comme l'écrivait Stan Lee, dépassé par la situation. Les ennemis croisés ont une personnalité aussi épaisse qu'une feuille de papier à cigarette. Et tout semble juste une resucée de l'original, avec la même fibre naïve un peu irritante, un peu enfantine.

Par contre, Tim Sale s'est surpassé. Il écrit dans les brèves notes de fin de volume qu'il souhaitait retrouver l'élégance du trait de John Romita senior, tout en y incorporant son propre style. Et il a parfaitement réussi. Il capture le style graphique des années 1960, en particulier en copiant le style vestimentaire. Mais les personnages ont acquis une dimension supplémentaire qui les sort de la naïveté des illustrations de l'époque en leur conférant une part d'ombre suggérée. Comme à son habitude, Tim Sale adopte une mise en page aérée de 3 ou 4 cases par page en moyenne, pour pouvoir réaliser de plus grands dessins. Il insère évidemment quelques pleines pages, voire doubles pages, mais en nombre raisonnable : Spider-Man se balançant au bout de sa toile, Gwen en passagère sur la moto de Peter, Spider-Man en train de prendre connaissance de la une du Daily Bugle, la tête en bas à hauteur du kiosque de journaux, ..., et bien sûr celle que tout le monde attend, à savoir la première apparition de MJ déclarant "Face it, tiger. You've just hit the jackpot". Elle est absolument magnifique car elle combine cette innocence propre aux comics des années 1960, avec une présence extraordinaire et une sensualité torride.

Certes, Tim Sale évoque avec talent l'élégance de John Romita senior pour les scènes en civil, et il capture un petit peu de la spécificité de Steve Ditko pour les scènes de Spider-Man en costume. Mais le vrai spectacle, les visuels irrésistibles sont ceux où apparaissent Gwen ou MJ, ou les 2. Il faut voir la subtilité avec laquelle il met en scène l'inimitié de bon aloi entre les 2, alors qu'elles rendent visite en même temps à un pauvre Peter alité par un bon rhume. Tim Sale renoue avec la sophistication des meilleures comédies romantiques de l'âge d'or du cinéma américain.

Du point de vue du scénario, ce tome n'est pas le meilleur car Jeph Loeb reste trop fidèle au modèle original. Par contre du point de vue graphique, Tim Sale marie les styles de l'époque avec ses encrages un peu appuyés pour mettre en images une comédie sentimentale subtile et magnifique. Il transforme un scénario nostalgique à l'excès en un tour de force graphique au pouvoir de séduction ravageur.
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Le tandem Jeph Loeb + Tim Sale s'est rendu célèbre pour avoir réalisé de mémorables histoires de Batman (par exemple Catwoman à Rome, même s'il s'agit plus de Catwoman). Après ces histoires chez DC, ils viennent mettre en oeuvre leur magie chez Marvel. Cela donnera 3 histoires : Daredevil jaune (en 2001), Spider-Man bleu (en 2002) et Hulk gris (en 2003).

Peter Parker est en train de confier ses pensées à un magnétophone à cassettes. Il explique qu'il va parler de sa relation avec Gwen Stacy, et comment elle s'inscrit dans une thématique illustrant que dans sa vie les choses doivent vraiment se dégrader et empirer, avant de pouvoir s'améliorer. Tout commence avec une rencontre décisive contre Green Goblin (Norman Osborn) qui a appris l'identité secrète de Spider-Man. Fort heureusement, à l'issue du combat contre son ennemi juré, il est victime d'une amnésie qui lui fait oublier cette information cruciale. Peter Parker est encore à la fac et il cachetonne pour le Daily Bugle qui le paye à la semaine. Comme Peter tire le diable par la queue, il préfèrerait être payé dès ses clichés remis à J. Jonah Jameson. Peter va rendre visite à Norman Osborn sur son lit d'hôpital où il commence à se lier d'amitié avec son fils et où il rencontre une blonde sublime dans les couloirs Gwen Stacy. Dans l'ombre un de ses ennemis non identifié s'arrange pour libérer ou faire échapper plusieurs supercriminels, à commencer par Rhino (Aleksei Mikhailovich Sytsevich). Ah, oui, il y a aussi une rousse flamboyante, fille d'Anna Watson, un déménagement à New York et un copain qui s'engage dans l'armée pour faire quelque chose de sa vie, etc.

Alors que pour Hulk et Daredevil, Jeph Loeb revenait sur les premiers épisodes de leur série respective, pour Peter Parker, il commence un peu plus tard. le combat décisif contre Green Goblin se déroule pendant les épisodes 39 et 40 de la série, publiés en 1966. Loeb se complait à évoquer cette époque du tisseur, en utilisant toutes les caractéristiques correspondantes, qui sont devenues autant de clichés au fil des années. Bizarrement, il évite de citer Betty Brant (l'amour précédent de Peter), certainement pour ne pas alourdir la narration.

Si vous avez lu les épisodes originaux de cette période, l'aspect nostalgique confine au copiage, plus qu'à l'hommage. Contrairement à Jaune et à Gris, Loeb semble tellement impressionné et respectueux des originaux qu'il n'arrive pas à les dépasser pour leur donner plus de sens ou plus d'émotion, pour dégager une nouvelle thématique avec le recul des années. Loeb reprend la relation entre Parker et Jameson en l'état, sans la développer ou l'approfondir. Jonah est juste irascible et impatient devant ce jeune dans le besoin, mais rien de plus. Peter est de nouveau tiraillé entre la rousse et la bonde, comme l'écrivait Stan Lee, dépassé par la situation. Les ennemis croisés ont une personnalité aussi épaisse qu'une feuille de papier à cigarette. Et tout semble juste une resucée de l'original, avec la même fibre naïve un peu irritante, un peu enfantine.

Par contre, Tim Sale s'est surpassé. Il écrit dans les brèves notes de fin de volume qu'il souhaitait retrouver l'élégance du trait de John Romita senior, tout en y incorporant son propre style. Et il a parfaitement réussi. Il capture le style graphique des années 1960, en particulier en copiant le style vestimentaire. Mais les personnages ont acquis une dimension supplémentaire qui les sort de la naïveté des illustrations de l'époque en leur conférant une part d'ombre suggérée. Comme à son habitude, Tim Sale adopte une mise en page aérée de 3 ou 4 cases par page en moyenne, pour pouvoir réaliser de plus grands dessins. Il insère évidemment quelques pleines pages, voire doubles pages, mais en nombre raisonnable : Spider-Man se balançant au bout de sa toile, Gwen en passagère sur la moto de Peter, Spider-Man en train de prendre connaissance de la une du Daily Bugle, la tête en bas à hauteur du kiosque de journaux, ..., et bien sûr celle que tout le monde attend, à savoir la première apparition de MJ déclarant "Face it, tiger. You've just hit the jackpot". Elle est absolument magnifique car elle combine cette innocence propre aux comics des années 1960, avec une présence extraordinaire et une sensualité torride.

Certes, Tim Sale évoque avec talent l'élégance de John Romita senior pour les scènes en civil, et il capture un petit peu de la spécificité de Steve Ditko pour les scènes de Spider-Man en costume. Mais le vrai spectacle, les visuels irrésistibles sont ceux où apparaissent Gwen ou MJ, ou les 2. Il faut voir la subtilité avec laquelle il met en scène l'inimitié de bon aloi entre les 2, alors qu'elles rendent visite en même temps à un pauvre Peter alité par un bon rhume. Tim Sale renoue avec la sophistication des meilleures comédies romantiques de l'âge d'or du cinéma américain.

Du point de vue du scénario, ce tome n'est pas le meilleur car Jeph Loeb reste trop fidèle au modèle original. Par contre du point de vue graphique, Tim Sale marie les styles de l'époque avec ses encrages un peu appuyés pour mettre en images une comédie sentimentale subtile et magnifique. Il transforme un scénario nostalgique à l'excès en un tour de force graphique au pouvoir de séduction ravageur.
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A l'instar des deux autres volets, "Daredevil - Jaune" et "Hulk - Gris", Jeph Loeb et Tim Sale revisitent ici un moment clé de la vie d'un super-héros, en l'occurrence Spider-Man.

Dans "Daredevil - Jaune" les auteurs utilisent une lettre posthume de l'homme sans peur à sa bien-aimée Karen, alors qu'ici c'est Peter Parker qui converse avec la défunte Gwen Stacy via un magnétophone. le concept est donc similaire et dans les deux miniséries de 6 épisodes c'est une narration en voix-off qui accompagne les pensées du héros à l'égard d'un amour disparu.

Par contre, tandis que dans "Daredevil - Jaune" la couleur référait à la couleur initiale qu'arborait le démon d'Hells Kitchen en hommage à son père, le bleu fait ici plutôt allusion à l'état d'esprit dans lequel se trouve Spider-Man en cette période de Valentin. On retrouve un Peter Parker nostalgique qui se remémore sa relation avec Gwen et victime d'un solide coup de blues suite à la tragique disparition de cette dernière. le graphisme de Tim Sale et les tons bleus collent d'ailleurs parfaitement à la mélancolie qui se dégage du scénario.

Il faut dire que la mort de Gwen Stacy est un événement clé des aventures de l'homme araignée (tout comme celle de son oncle Ben). le fait d'éliminer définitivement un des principaux protagonistes est également assez inhabituel dans l'univers des comics et méritait donc certainement cette rétrospective. de plus, cette mort de Gwen Stacy dans Amazing Spider-Man (1°) #121-123 fut très controversée et la véritable cause (coup du lapin) ne fut divulguée que 4 mois après la parution de l'épisode fatal.

Cet album de Jeph Loeb et Tim Sale ("Daredevil (100% Marvel)", "Hulk (100% Marvel)", "Catwoman", "Superman - For All Seasons", "Batman - Un Long Halloween", "Batman - Dark Victory") reprends principalement des épisodes de la cinquième intégrale consacrée à Spider-Man (1967). Même si les auteurs livrent de l'excellent boulot et s'autorisent quelques libertés au niveau de la chronologie des événements et du rôle de certains protagonistes (notamment celui de Kraven), cet album séduira probablement plus les néophytes que ceux qui ont déjà goûté à l'oeuvre originale, dont les auteurs conservent ici l'esprit.
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Et voilà je termine mes lectures du "Printemps des comics" avec le tome 1 consacré à Spider-man.

Dans ce volume, j'ai trouvé une mini série "origines" qui a une fin et donc pas de recherche à faire en comics shop pour avoir la suite.

L'histoire est celle de Gwen, le premier amour de Peter qui connaîtra hélas une fin tragique mais pas ici. Ici, Peter parle de son histoire d'amour, fait le point sur cette période de sa vie, période où il devait concilier sa vie et celle de super-héros.

J'ai vraiment apprécié ce comics: une histoire prenante avec des ennemis classiques (pas de clone ^^), une trame simple et un dessin parfaitement adapté.

Bref un excellent tome, à un prix abordable, un sans faute !
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Je découvre les comics et l'univers Marvel à travers ce livre.
Pour l'instant, cet univers ne m'a pas conquise mais je vais en lire d'autres pour en être sûr.

Je pense tout de même que ce livre plaira à des personnes qui aiment le Marvel.
Je connaissais déjà le globale sur Peter Parker mais j'ignorais tout de ses relations avec Gwen,
Marie-Jane et Harry.
J'aime beaucoup l'idée que Peter raconte tout à Gwen avec un enregistrement car elle a apparemment perdue la vie, mais on ne sait pas comment. Suspense...

Il y a pas mal de choses que je n'ai pas compris mais j'espère pour l'auteur que je fais partie des seuls.
Les illustrations sont sympa et font anciennes.

Gabyghibli ( :
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critiques presse (4)
ActuaBD
06 août 2021
Que vous soyez nouveau lecteur ou fan assidu qui souhaite se replonger dans un classique, Spider-Man | Bleu est très probablement l’album adéquat pour répondre à vos désirs. Jeph Loeb et Tim Sale nous proposent avec cette mini-série un Spider-Man en grande forme grâce à un Peter Parker touchant.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
31 mai 2021
Spider-Man : Bleu est une aventure incontournable du fameux tisseur. Un must à posséder dans toute bonne bibliothèque.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
11 mai 2021
Du côté de Spider-Man, c'est le célèbre récit de Jeph Loeb et Tim Sale qui a été choisi, il revient sur les événements d'Amazing Spider-Man 40 à 48 sous le prisme du temps qui passe. Un album dont la dernière édition en France remonte à 2006 !
Lire la critique sur le site : BDGest
LesComics
06 mai 2021
Du côté de Spider-Man, c’est le célèbre récit de Jeph Loeb et Tim Sale qui a été choisi, il revient sur les événements d’Amazing Spider-Man 40 à 48 sous le prisme du temps qui passe. Un album dont la dernière édition en France remonte à 2006 !
Lire la critique sur le site : LesComics

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Vidéo de Jeph Loeb
À l'occasion de ses 60 ans, l'Homme sans peur dévoile tous ses secrets à Aurélien & Émile dans ce nouvel épisode du Panini Cast !
Titres abordés :
Je suis Daredevil - Edition 60ème anniversaire (Marvel Anthologie) - Collectif
Les épisodes de Daredevil avant Miller sont à retrouver dans la collection intégrale
Daredevil par Frank Miller (Marvel Omnibus) - Frank Miller, David Michelinie, Roger McKenzie
Daredevil par Frank Miller : Companion (Marvel Omnibus) - Frank Miller, Bill Sienkiewicz, David Mazzucchelli & John Romita Jr.
Daredevil : En disgrâce (Marvel Epic Collection) - Collectif
Daredevil Jaune (Marvel Hors collection) - Jeph Loeb & Tim Sale
Tout Daredevil par Brian Michael Bendis & Alex Maleev est disponible en 4 volumes dans la collection Marvel Deluxe
Tout Daredevil par Ed Brubaker est disponible en 3 volumes dans la collection Marvel Deluxe
Tout Daredevil par Mark Waid est disponible en 2 volumes dans la collection Marvel Omnibus
Daredevil T01 : Connaître la peur (Marvel Deluxe) - Chip Zdarsky & Marco Checchetto
Daredevil T01 (Marvel 100%) - Saladin Ahmed & Aaron Kuder
LE titre par lequel débuter selon nous : Aurélien : Daredevil : Sous l'aile du Diable (Marvel Must-have) de Kevin Smith & Joe Quesada Emile : Daredevil : Renaissance (Marvel Must-have) de Frank Miller & David Mazzucchelli
Notre histoire préférée : Aurélien : Daredevil : L'homme sans peur (Marvel Must-have) de Frank Miller & John Romita Jr. Emile : le Décalogue (histoire disponible dans le 4ème et dernier tome du Daredevil de Brian M. Bendis)
Merci à Emmanuel pour le montage et ClemB pour l'habillage sonore.
+ Lire la suite
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Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

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