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4,09

sur 5361 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Issu des amours sauvages d'une chienne et d'un loup borgne, Croc-Blanc vit ses premiers mois libre dans la nature. « le droit à l'existence consistait pour l'un à manger l'autre ; il consistait pour l'autre à ne pas être mangé. » (p. 49) Il rencontre les hommes et se soumet à Castor-Gris, un Indien, après bien des punitions et des brimades. Instinctivement, il sait qu'il doit accepter la domination de l'homme, Castor-Gris étant un maître dur, mais juste. « Finalement, il se coucha aux pieds du maître en la possession duquel il s'abandonnait corps et âme, de sa propre volonté, il était venu s'asseoir, livrer sa liberté. » (p. 99) Animal farouche et violent, il est craint dans la tribu et haï par les autres chiens, d'autant plus quand il prend la tête du traîneau de son maître. Sa cruauté s'accroît quand Castor-Gris le cède à Beauty Smith, un homme blanc qui le fait combattre contre d'autres chiens et des animaux sauvages. « Haïr était sa passion et il s'y noyait. La vie, pour lui, était l'enfer. Fait pour la liberté sauvage, il devait subir d'être captif et reclus. » (p. 134) Ce n'est qu'auprès de son dernier maître, Mr. Scott, qu'il découvre l'amour qu'un chien peut porter à l'homme quand ce dernier est bon et respectueux de l'animal.

Enfant, j'avais lu L'appel de la forêt et pleuré toutes les larmes de mon corps quand l'animal quitte son cher maître et retrouve la nature. Je m'étais promis de ne jamais lire Croc-Blanc, mais il faut croire que j'aime me faire du mal. Là encore, toute neuve de ma troisième décennie, j'ai abondamment mouché mon nez devant cette lecture. Si la nature est sauvage et cruelle, elle ne l'est jamais autant que l'homme. Oui, ça sent bon le cliché à cent mètres à la ronde, mais que voulez-vous : je ne supporte pas qu'on fasse du mal aux toutous et autres animaux de compagnie. Tout finit bien pour Croc-Blanc, mais il a quand même passé de sales moments !
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Je l'ai relu récemment, la combien fois ? Je ne sais plus. Certes est que depuis l'enfance ce roman s'est accroché à mon coeur et il y reste. Mon père me l'avait conseillé et je lui en sais toujours gré.
Si aujourd'hui j'analyse une écriture et un talent de narrateur exceptionnels, je garde la même émotion de mon jeune âge, et partage l'histoire du chien-loup avec la même intensité. Même qu'une larme s'y est risquée et je l'ai accueillie.
Autodidacte, Jack London apprend par les livres, grâce à sa curiosité et à sa soif de lecture.
Son chemin de vie plus que dur et éprouvant l'a forgé et endurci, a nourri et ciselé son écriture et façonné sa personnalité de révolté et tête brûlée.
La vie de Croc-Blanc n'est pas un long fleuve tranquille, la nature du grand Nord est rude et la sélection naturelle se fait rapidement, mais la vie avec les hommes a une cruauté et une sauvagerie qui n'a rien à voir avec la loi du plus fort du "wild".
L'odieux Beauty Smith (nom paradoxale) fait de Croc Blanc un chien de combat, toujours vainqueur, jusqu'au jour où un bulldog, guerrier de force et de patience, l'amène vers la mort. Mais la bonne étoile est là et Croc-Blanc est sauvé in extremis par Weedom Scott, l'homme dieu de l'amour. Une autre vie commence, non sans difficultés et surprises...
Jack London sait à merveille se glisser, avec beaucoup de précaution et d'empathie, à l'intérieur du chien-loup pour nous raconter son histoire, ses surprises, sa compréhension du bien et du mal, de la survie, et de l'amour.
L'histoire est forte, pleine de rebondissements, aventures où l'animal et l'homme se rencontrent et partagent pour le meilleur et pour le pire le chemin initiatique, difficile mais enrichissant pour les deux, comme tout chemin.
Un roman de jeunesse ? Oui, pour les coeurs qui restent jeunes, sensibles, compréhensifs, tolérants, responsables et passionnés.
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Pourquoi n'ai-je pas lu ce classique plus tôt ? C'est la question que je me pose en refermant ce roman. Jack London traduit de manière brillante les sentiments et la vision des choses et du monde de Croc-Blanc, de telle sorte que je suis passée par de nombreuses émotions au fil des chapitres.
La vie dans le Grand Nord est également bien rendue, avec tout ce qu'elle a de cruelle et de magnifique. J'ai d'ailleurs particulièrement aimé le moment où, encore louveteau, Croc-Blanc s'aventure hors de sa tanière pour découvrir la nature qui l'entoure.
Un roman coup de coeur, qui restera longtemps dans ma mémoire.
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Se replonger dans une lecture d'enfance s'avère parfois être une expérience qui confine au merveilleux.

Il en a été ainsi de ma redécouverte de Croc-Blanc. Fervent lecteur de Jack London, j'ai encore une fois été sidéré par son aptitude à donner pleinement sens à une histoire dont le personnage principal est un animal.

Jack London déroule dans ce roman une véritable quête initiatique, non pas humaine, mais animale. Sans tronquer les actes et les pensées du Chien-Loup par un anthropomorphisme trompeur, Jack London déroule une aventure d'une intensité rare, qui témoigne de sa réelle connaissance et compréhension de la nature et de la faune sauvage.

London ne décrit pas « simplement » les agissements de Croc-Blanc, il nous immerge dans la tête même de ce fabuleux animal, nous faisant vivre son apprentissage, de l'état de chiot vers l'age adulte, lissé par l'instinct et approfondi par toutes ses expériences, dans une lutte perpétuelle pour rester en vie dans un monde profondément hostile, que ce soit au travers de ses interactions avec les humains (« blancs » et indiens), ou avec les animaux, concurrents ou proies.

Cette capacité à donner une intense crédibilité à cette belle histoire centrée sur le monde canin et lupin est une belle illustration du talent véritable d'un auteur prolifique, « imprégné » par le Wild.
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Croc Blanc c'est mon premier Jack London.
Croc Blanc c'est l'histoire d'un chien-loup dans le grand nord canadien à la pire période qu'il ait connu.
Croc Blanc c'est l'histoire des hommes que l'on croise dans ce grand nord.
Croc Blanc c'est l'histoire d'une civilisation qui en détruit une autre.

Le plus humain de tous finalement c'est peut être ce chien, ce loup, car là bas, la haut dans ce nord les hommes n'ont pas lu Hobbes et son léviathan, les hommes sont réellement des loups pour l'homme car rien n'est mis en place pour l'empêcher. Les blancs tuent les indiens, gagnent de l'argent avec les combats de chiens, se tuent entre eux, le pays est un grand désert blanc, froid et violent ou chacun lutte pour sa survit sans se soucier des autres ou si peu.
Grand roman d'aventure, magnifique fresque animale, hymne aux grands espaces mais surtout fantastique portrait de l'humanité dans les conditions les plus rudes.
Le style de London est superbe: une écriture simple, vivante qui nous plonge au coeur de ce monde primitif avec une facilité déconcertante, on ressent ce que ce pauvre chien subit au fur et à mesure de ses aventures ! Jack London est un immense écrivain, un humaniste clair et pur qui ravira aussi bien les enfants que les adultes les plus exigeants. Il y a tant de niveaux de lecture dans ce roman qu'on ne s'en lasse jamais. Une merveille !
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Relire ce livre dans une nouvelle version, me fait juste penser à la classification, selon moi, à tort dans roman jeunesse.
Bien sûr que les jeunes lecteurs rêvant d'aventures peuvent le lire, mais les lecteurs adultes y trouveront un plaisir immense sans que le gâtisme ne les guette.

Jack London nous fait un merveilleux cadeau en nous entraînant dans le Grand Nord par un hiver glacial, où la famine règne en maîtresse perverse.

Deux hommes et six chiens tirent un traineau pour ramener le cercueil de Lord Alfred à Fort McGurry.
Mais lors de leurs divers arrêts, chiens et hommes sont guettés par une meute de loup dont la plus téméraire est une louve qui visiblement a connu l'homme.
Chacun mène son combat : survivre.

La louve, en fait a bien appartenu à un indien. Elle est issue d'un loup et d'une chienne. Lâchée dans la nature au moment de la grande famine, quand les hommes n'arrivaient pas à se nourrir.
Elle a survécu et formé une famille avec le borgne et eu des petits dont Croc-Blanc.
"Kichë ! Cria de nouveau l'homme, cette fois avec tranchant et autorité.
C'est alors que le louveteau vit sa mère, cette louve, cette intrépide, se mettre à plat ventre, gémir, remuer la queue, donner des signes de paix. le louveteau ne comprit pas . Il fut horrifié. La fascination mêlée de crainte qu'il avait ressentie pour l'homme s'empara de lui une nouvelle fois. Son instinct disait vrai. Sa mère venait de le vérifier. Elle aussi faisait acte de soumission à l'animal humain."
C'est ainsi que commence la vie tumultueuse de ce loup. Jack London, nous décrit minutieusement ce que fut sa vie avant, l'éducation reçue (un vrai traité d'éducation qui devrait servir de bases à beaucoup d'humains). le lecteur vit dans ce Grand Nord, il a froid et faim, il voit les loups, les ptarmigans, les lièvres, les belettes et les lynx.

Ensuite, pour Croc-Blanc vint le temps de l'humain. Sale temps, pire que la famine, le mépris, la haine, l'avilissement et cet instinct, cette éducation inculquée par sa mère à la fois douce, généreuse et ferme. Les bases sont là pour affronter le pire avant de connaître le meilleur.

Et sa rencontre avec l'homme blanc, particulièrement le mal nommé et malveillant "Beauty Smith".
Subir devient son quotidien, la haine sa carapace.
"Mais le Dieu se remit à parler. D'une voix douce et apaisante. Malgré cette ùain menaçante, la voix lui inspirait confiance. Et malgré cette voix rassurante, la main lui inspiarait la défiance. Croc-Blanc était tiraillé par des sentiments et des pulsions contradictoires."
Ainsi entra l'amour dans cette jeune vie sauvage...
"Ce fut le début de la fin pour Croc-Blanc-la fin de son ancienne vie et du règne de la haine. Il était au seuil d'une existence bien plus juste."

Il n'y a pas d'âge pour apprécier cette aventure humaine, avoir le coeur en lambeaux, des palpitations, les larmes aux yeux, le sourire à travers les larmes et s'ouvrir à l'amour fou que l'on peut avoir pour un animal, qui n'attend rien d'autre de nous et qu'il nous redonne au centuple.
C'est fort, c'est beau et Jack London connaissait bien son sujet, la nature et les hommes.
Cela donne envie de revisiter toute son oeuvre et de lui dire merci, même un siècle après sa mort.

Merci aux éditions Libretto pour cette nouvelle édition.
©Chantal Lafon de Litteratum Amor 26 octobre 2016
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Descendant d'un croisement entre chien et loup, nous allons suivre Croc-Blanc dans sa découverte du monde depuis le grand nord Américain où il va naître jusqu'en Californie. Mais entre la lutte pour manger, pour survivre et la fréquentation de différents représentants du genre humain, sa vie sera loin d'être un long fleuve tranquille.

Magnifique et touchant, à la fois ode à la nature et critique de l'humanité, ce bref et intense roman est un condensé de London. C'est aussi et surtout pour moi une lecture indispensable pour sensibiliser les jeunes à l'influence que l'homme peut avoir sur ceux qui partagent la planète avec lui.
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Croc-Blanc, ce sont les étendues sauvages et glaciales de l'Alaska. C'est le froid qui mord les pattes et entraîne des semaines de famine. 

Croc-Blanc, c'est la servitude et l'obéissance d'un loup face aux humains, délestant sa liberté au profit d'hommes malveillants.

Croc-Blanc, c'est le passage de l'enfance à l'âge adulte. C'est l'apprentissage constant pour sa survie, c'est être fort pour ne pas être faible. C'est manger pour ne pas être mangé. Croc-Blanc, c'est l'assujettissement d'un animal sauvage face à des hommes cupides et méchants. C'est le droit de propriété que les hommes croient posséder parce qu'ils se pensent plus intelligents et plus adroits de leurs mains. Des dieux hommes en puissance qui n'en ont que faire des autres espèces qui les entourent.

Mais Croc-Blanc, c'est aussi l'amour, le pardon, la protection et la fidélité. C'est savoir se délester de son passé pour mieux avancer, c'est savoir pardonner pour continuer sur un chemin plus éclairé et moins ombrageux.

Une ode à la vie sauvage et aux êtres multiples qui peuplent cette planète.
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Vous vous souvenez de « L'Appel de la forêt » (1903) : Jack London y racontait l'histoire de Buck, un chien de Californie, qui passe de l'état domestique à l'état sauvage. Trois ans plus tard, l'auteur reprend la même histoire, mais dans l'autre sens : il envisage de nous raconter l'histoire d'un chien-loup sauvage, qui peu à peu vient vers la civilisation.
« Croc-blanc » (1906) est donc l'histoire d'un chien-loup, appelé ainsi à cause de la blancheur de ses canines qu'il vous montre volontiers, même quand vous ne le sollicitez pas. Il est le fils de N'a-qu'un-oeil, un loup borgne, et de Kiché, une chienne-loup. Après les premières semaines d'apprentissage au coeur de la meute (mordre pour ne pas être mordu, manger pour ne pas être mangé, tuer pour ne pas être tué) il est recueilli avec sa mère dans une tribu indienne où Castor-Gris devient son premier maître. Croc-Blanc n'est pas trop malheureux mais il apprend à se battre contre d'autres chiens qui l'ont pris en grippe. Puis Castor-Gris l'échange avec un triste individu, Beauty Smith, qui veut en faire un chien de combat. Commence une série de duels où Croc-Blanc subit à la fois la violence de son maître et celle des ses adversaires. Un jour, alors qu'à l'issue d'un combat particulièrement sanglant, il est grièvement blessé, il est recueilli et soigné par Weedon Scott et son ami Matt. A leurs côtés, il apprend l'amitié et la confiance. Il leur sauve la vie lors de l'attaque d'un hors-la-loi. Dès lors il finira ses jours tranquillement auprès de ses maîtres et de ses amis-chiens Dickie et Collie.
Comme dans « L'Appel de la forêt » Jack London utilise son arme de prédilection : il entre dans la tête et le corps de son héros et raconte toute l'histoire de son point de vue. C'est pourquoi on ne peut pas parler d'anthropomorphisme : London ne prête pas à Buck ou à Croc-Blanc des sentiments humains, au contraire, c'est lui qui se met à leur place, et essaie de restituer leurs « sentiments » canins, faits certes plus d'instinct et d'impulsions, de réflexes (de survie, notamment) plus que de véritables sentiments d'amitié ou d'aversion. Et c'est d'une redoutable efficacité. Nous, lecteurs (et lectrices), entrons dans le livre de façon primaire, et animale.
Cette appréhension du texte, cette communion avec les héros du livre, suffirait déjà à nous faire considérer « Croc-Blanc » tout comme « L'Appel de la forêt » comme deux réussites exceptionnelles du roman animalier. Mais si on connaît un peu Jack London, on peut trouver des correspondances avec d'autres romans et avec sa propre vie (relisez « Martin Eden », où il se met en scène personnellement, avec beaucoup de références autobiographiques) : le rapport de l'individu par rapport à la société est une des constantes dans l'oeuvre de London. Tout comme la suprématie de la force et de la violence dans les rapports entre humains (ou entre animaux) …
Jack London a longtemps été considéré (grâce à ces deux romans et quelques autres comme « Michael chien de cirque ») comme un auteur destiné à la jeunesse. Cette observation qui n'a rien de péjoratif, bien au contraire, nous confirme que cet auteur a une belle sensibilité, et sait porter un regard attentif sur le malheur des autres (animaux et humains). On comprend pourquoi il s'est tellement engagé dans un combat humaniste (socialiste, en l'occurrence) afin de préparer un avenir meilleur où hommes et bêtes pourraient vivre ensemble, tous ensemble et chacun dans leur individualité.
Croc-Blanc a été souvent porté au cinéma, mais contrairement à « L'Appel de la forêt » qui a connu plusieurs adaptations de référence, aucune n'est vraiment fidèle au roman. Tout au plus on pourra regarder la version Disney de 1991, signée Randal Kleiser, pour la beauté des paysages et la belle interprétation du chien Jed dans le rôle de Croc-Blanc.
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Avec Croc-Blanc, j'ai vécu une expérience tout à fait inédite : j'ai regardé un film animalier de grande qualité en le lisant. Un film Disney Nature fait de mots et de phrases.

Car oui, Jack London a une écriture excessivement cinématographique, très visuelle, mais dans laquelle l'action, l'aventure occupent toujours le premier plan. Et pourtant, London a soigné son décor, il en a même fait un personnage à part entière, sans jamais s'apesantir en descriptions. le Wild, le Grand Nord, j'ai eu l'impression d'y être, de le voir, de le sentir. J'en ai ressenti, la morsure du froid, la sauvagerie, la loi, les tiraillements de la faim. J'en ai vu la blancheur, la puissance, les grands sapins et la vie qui se cache et détale. J'en ai senti l'odeur de la neige, et aussi celle de la peur et celle du sang. le Wild, sa violence et sa puissance, sous la plume de London, ce sont des images sur grand écran en haute définition.

Et dans cet univers, j'ai suivi Croc-Blanc. La rencontre de ses parents, sa naissance, ses premiers pas et ses premiers apprentissages, ses premiers effrois et ses premières réussites, ses erreurs, sa rencontre avec les hommes et avec les chiens.

Et ses sentiments. London nous offre un roman du point de vue du loup. Et quelle merveilleuse idée ! L'occasion de décrire l'instinct de Croc-Blanc, celui qui lui vient du loup, et celui, plus profondément présent, qui lui vient du chien. Cela permet également de découvrir comment ses aventures, ses déboires avec certains hommes et avec d'autres chiens ont façonné Croc-Blanc, ont sculpté son caractère et sa compréhension du Monde.

Mais surtout, le point de vue de Croc-Blanc, c'est le point de vue de l'animal maltraité par ses "semblables" parce qu'il est différent. Et par les hommes, auxquels, pourtant, il accorde une admiration et un respect qu'ils sont bien loin de toujours mériter.

Vraiment, j'étais au ciné, grand écran, son Dolby surround, fond sonore accompagnant les émotions, frissons devant la violence de certaines scènes, petite larme devant d'autres.
Et la lumière se rallume déjà...
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