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3,81

sur 531 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est bien intéressant d'aller vers la simplicité, ça permet de conserver une bonne santé et tout et tout, d'être plus léger dans son corps et son esprit.
Il y a plein de bons conseils mais je crois qu'une vie tranquille sans petits excès à la longue c'est .... emm.
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Un livre que l'auteur destine aux femmes. Cette distinction est assez décevante et incompréhensible. Passée cette digression, ce guide pratique suscite une ouverture vers une vie simple et sobre pour un mieux vivre.

Se délester du superflu pour tendre vers un essentiel. Un art de vivre qui s'oppose avec notre société de consommation et d'artifice.
L'auteur témoigne d'une expérience personnelle et s'appuie de la culture japonaise. Elle invite le lecteur, sans prétention, à réfléchir sur sa manière de vivre, redéfinir nos besoins.

Je vous conseille de lire ce guide par petites touches de manière à prendre le temps de faire germer la réflexion et de trouver votre propre opinion et d'intégrer son contenu selon son curseur de vie.

L'auteur structure son récit en trois parties: matérialisme et minimalisme, le corps et le mental.
Mon cerveau étant régulièrement encombré de pensées futiles, débiles, anxiogènes ... et j'en passe. C'est naturellement que je me suis orientée en première lecture vers le chapitre: le mental ! Pour terminer ma lecture vers l'excès du matérialisme. Vous l'aurez compris, il n'y a pas d'ordre. C'est selon vos besoins de l'instant présent et d'un mode de vie bien personnel.

Un guide aux conseils simples pour s'inspirer, à lire et revenir dessus selon son besoin ou quelques années après comme une piqûre de rappel. Bien pour débuter ...
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Mon avis sur ce livre a été au départ extrêmement mitigé. J'éprouve toujours une grande méfiance vis à vis des occidentaux qui essaient coûte que coûte de transformer certaines notions de spiritualité asiatique en méthodes « clef en main ». Avec le temps cependant, je dois bien admettre que j'ai repensé plusieurs fois à ce livre depuis sa lecture en 2005.

Après tout Dominique Loreau parvient à éviter quelques pièges récurrents dans ce genre d'adaptation à la méthode pratique. Cela vient sans doute du fait que, concernant l'Asie, l'auteure a vécu suffisamment longtemps au Japon pour « savoir de quoi elle parle ». Son expérience est très significative et donne une assise solide à son exposé.

Il existe cependant des maladresses, notamment cette sensation permanente du livre « écrit par une femme pour d'autres femmes ». D'où un sentiment de va et vient permanent entre l'essentiel et le futile, qui déroute régulièrement. « Le diable est dans les détails » semble penser Dominique Loreau, mais parfois, ces derniers finissent par « encombrer » une démarche dont l'objectif était à priori tout le contraire, soit une recherche de simplicité et de fluidité.

« L'Art de la simplicité » est donc un livre ô combien pragmatique, pour le meilleur et pour le pire.
Après tout, Dominque Loreau a l'immense mérite d'avoir pointé en temps et en heure l'immense bénéfice que nous aurions à revenir vers un style de vie du type « simplicité volontaire ». Et de ce point de vue, le livre répond à nos attentes. C'est un vaste tour d'horizon, très complet, qui est accompli par l'auteure, à qui rien n'échappe : Maison, ameublement, rangement, hygiène, beauté, alimentation, relations ou santé mentale. Cet inventaire à la Prévert a somme toute son mérite. Il semble démontrer que, pour retourner à la simplicité (ou la conquérir), la partie peut commencer à tout instant, dans n'importe quel domaine. Cessons de nous presser le citron avec mille interrogations théoriques et intellectuelles aussi stériles que futiles : il faut passer à l'action. Où ? Ici et maintenant, tout de suite, et dans les gestes les plus simples de la vie quotidienne. C'est là sans doute l'idée la plus « séminale » du livre. On le savait déjà depuis longtemps, lorsqu'il faut passer aux applications pratiques... les femmes ont souvent un temps d'avance sur les beaux parleurs que nous sommes.

On pourra parfois critiquer l'aspect « recettes en vrac » du livre mais que pour mieux revenir, à tête reposée, sur les principes de vie sur lesquels il s'engage. de ce point de vue, qu'y aurait-il à redire ?
Dominique Loreau va dans le bon sens, je n'en doute pas un seul instant. Il ne restera plus aux uns et aux autres qu'à faire la part des choses et de se poser la seule question qui importe véritablement : Pourquoi désire-t-on simplifier sa vie ? N'est-ce qu'une façon parmi tant d'autres de pratiquer l'art de la fuite ou est-ce l'envie, plus exigeante, d'aller à l'essentiel afin, d'enfin, « vivre avec le monde ». Car en Occident, l'idée selon laquelle il faut renoncer en partie à son « ego » et à son perroquet, le mental, afin de devenir enfin « soi-même », n'est populaire que dans le discours. Les méthodes se succèdent mais le désir enfantin de « toute-puissance » s »y adapte en permanence.

Quoi qu'il en soit, ce n'est plus la sincérité de Dominique Loreau qui est alors la question, mais tout simplement la notre.
Lien : http://feuilles.de.joie@gmai..
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L'art de la simplicité est un livre profondément utile puisqu'il fait réfléchir, notamment à sa manière de vivre. L'auteur s'attache à désencombrer sa vie afin de vivre simplement et donc mieux. Il m'a semblé pourtant parfois trop extrême : chacun doit y trouver le degré qui lui convient.
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Mouais bof... je l'ai pas lu en entier, car c'est vraiment des exemples qui sont vécus dans un pays autre que la France. Certains concepts sont intéressants d'autre moins. Je n'ai pas trouvé pour ma part ce livre très utile pour de la psychologie. Plus une aide pour les gens débordé, qui ne rangent rien ...
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... et comme dit le proverbe "chassez le naturel il repart au galop", il ne faut surtout pas le ranger dans un petit coin... mais au contraire le mettre quelque part bien "en évidence", sa seule vue me fait "freiner les quatre fers"....
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Dans l'optique de me débarasser du superflu et de continuer à porter un regard neuf sur les choses et sur moi-même, je me suis mise à m'intéresser aux livres de développement personnel ; j'ai demandé conseil et on m'a alors dirigée vers le livre de Dominique Loreau.

J'avais quelques idées en tête quant au minimalisme et au matérialisme ; ça fait du bien alors de lire que "on peut le faire". J'ai adoré la première partie du livre qui prone le minimalisme et condamne notre folle envie de posséder encore et encore. La seconde et troisième partie s'intéressent quant à elles au corps et au mental ; à travers des petits chapitres, l'auteure abordera les questions des soins du corps, de la méditation, de la lecture, de l'écriture ou encore, de la nourriture. Je ne pense pas cependant que tous ses conseils soient si faciles à appliquer ; enduire son corps d'huile par exemple, sans doute un soin essentiel mais plutôt désagréable et encore faut il "oser" le faire ; ou le rituel du bain, ça doit être agréable certes, mais on se sent triste lorsque l'on ne possède qu'une douche dans sa petite salle de bain...

L'art de la simplicité est un petit livre optimiste et narcissique, un petit livre à soi, qu'on lit pour soi, un livre qui fait du bien et dont quelques passages restent logés dans un coin de notre tête lorsqu'on exécute certains des petits gestes quotidiens (les courses, les repas, le maquillage, etc). Dominique Loreau ne dit que des choses vraies ; c'est comme si on savait déjà tout ça mais se "l'entendre" dire nous conforte alors dans l'idée que rien n'est impossible. Faisons confiance à l'auteure qui vit depuis plusieurs années au Japon, le pays du Zen, que nous, Occidentaux, gagnerions à écouter et observer.
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Je vais rarement vers les best-sellers. Celui-ci m'intrigue depuis un bout de temps. Je me suis lancée dans sa lecture et j'ai eu une bonne surprise. D'une part, les propos de l'auteure collaient avec ma recherche spirituelle actuelle, d'autre part, son écriture simple et directe permet de faire sien certains trucs et astuces pour se simplifier la vie.
Je ne suis pas convaincue par tout ce qu'elle dit. Je ne crois pas qu'une maison ramenée à des bases aussi strictes que le noir et le blanc épuré me convienne mais j'ai trouvé des conseils intéressants de rangement, de lâcher prise, de méditation etc.
Dominique Loreau touche à tous les domaines de la vie dans son "art de la simplicité" et même si l'on ne peut pas tout appliquer, selon moi, certains aspects permettent de remettre en question notre mode de vie occidental avec une perspective orientale (zen, bouddhiste etc.).
Certains passages se combinent très bien avec "L'Art de la méditation" de Matthieu Ricard, pour qui veut approfondir sa recherche spirituelle.
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Un livre que j'ai trouvé révolutionnaire, car il explique les mécanismes du hoarding et pourquoi nous conservons encore et encore et pourquoi nous accumulons toujours. Ce bouquin est une véritable bouffée d'oxygène car il nous pousse à faire le ménage chez soi afin de faire le ménage en soi. Dominique Loreau nous explique avec douceur et fermeté tout l'intérêt de se séparer du superflu qui nous encombre les corps et l'esprit. Elle fait partie des trois auteurs spécialisés dans le désencombrement intérieur. C'est un petit bouquin que je conseille à tous de lire au moins une fois parce que peut-être il vous aidera à regarder ce qui vous encombre chez vous. Dernier point, l'auteur à écrit un autre livre sur le sujet mais c'est inutile, si vous avez celui-ci, c'est le plus important à avoir.
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A la fois, ce n'est pas un livre terrible, au sens où il y a des passages un peu creux et pas mal de redite. A la fois, le message principal (se débarrasser du superflu dans tous les domaines) m'a été utile. Apparemment ce livre s'adresse aux femmes, mais il est tout à fait lisible par des hommes (si on saute les passages sur le maquillage...).
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