Dans le discours libéral modéré en 1828, la France du gouvernement de Villèle est donc toujours complice des actes et de la politique des absolutistes espagnols et ne peut incarner la France révolutionnaire et libérale de 1789. Le journaliste dénonce "la diabolique intrigue" diplomatique mise en place entre le gouvernement de Villèle et Ferdinand VII visant à empêcher la France d'accueillir les réfugiés politiques libéraux