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le 07 janvier 2015 j'ai pris ma naïveté en pleine gueule, comment imaginer qu'avec deux trois coups de crayon bien inspirés, on puisse prendre du plomb dans la tête, et faire voeux de maturité, c'est bon enfant le dessin, ce n'est pas un truc pour adulte fanatique, faut un putain de recul pour piger l'humour et le rire à satire déployé…

De toute façon j'y comprends que dalle moi au fanatisme, je suis resté un fan platonique, le genre de pecno qui aime se tripoter la bonne humeur en regardant pour la 100 ème fois le « Retour de Jedi », sans pour autant rêver de rouler des paloches à « Choubaka », et une fois le film terminé, je range mes trips de gosse, je fous mon pyjama je m'endors comme un Charlie, anonymement, le fanatisme platonique au bord des lèvres, et je reste moi en toute circonstance, rien à foutre des idéologies, chacun sa merde et ses délires, j'aime les gens, mais je fuis leur connerie… donc j'aime personne…

Du coup moi le 11 janvier 2015, je suis resté casanier dans mon canapé, la flemme au bout des pieds, aigri de part mon prochain, je cultive depuis toujours une sorte de désabusement, et voir tous ces gens ensemble mains dans la peine, j'en ai presque éprouvé une sorte de malaise : Mais combien connaissait « Charlie Hebdo », combien connaissait les victimes, combien comprenait cet humour si dessiné, combien condamnait cet humour si particulier, alors oui le symbole était légitime et beau quoi que j'en critique : descendre dans les rues crier son incompréhension, ça fait des trucs à se raconter, et des selfies à diffuser, chacun pourra se vanter et dire :

"j'y étais, tu t'en rends compte, j'y étais…j'ai foutu 4 heures pour y aller, et 8 heures pour rentrer mais putain ça valait le coup de kalachnikov tiens..."

- Heureusement que t'habites qu'à 10 bornes hein !

Et tous ces politiques accompagnant cette marrée humaine pour la liberté d'expression souvent fouettée au nom des droits de l'homme censuré…

Bien sur que je caricature, mais n'est ce pas la mine de crayon d'un journal satirique ?

alors ouais je n'aime pas trop quand il y plein de monde, alors des millions de personnes qui me marchent sur les godasses, et c'est la sale gueule assurée, et tout ça à cause de trois paumés perdus dans le monde étrange de l'absurdité, armés pour faire couler leurs drôles d'idées à coup de lâchetés….

Je suis pudique, mes larmes sont restées bloqués au bord de ma télé…

On nous répète à longueurs de morts que l'alcool est dangereux pour la santé, surtout sans modération, pourtant l'excès aura sauvé la vie d'un certain LUZ, mais à quel prix de culpabilité, un verres, deux verres, un anniversaire bien arrosé et le réveil reste une effluve de la veille, un songe irréel, un retard et c'est la douche froide, sanglante, déchirante, ses amis, sa famille, ses frères de crayon qui sont couchés sur un sol maculé d'un rouge meurtrier, juste pour un fou rire bien dessiné, juste pour un délire de plus condamné par une majorité de lacunes satiriques…

J'adore cet humour si scandaleux, insouciant, provoquant, tout ce qui ne fait pas l'unanimité, tout ce qui est tabou, gênant, et le CUL en fait parti pourtant le cul c'est marrant, jouissant, et bandant, et LUZ le dessine avec sentiment et satYrisme...

« Faites l'amour et non la guerre »… Un adage que je m'emploie à respecter du mieux que je baise… et du mieux que je ris…

LUZ nous dessine de manière émouvante avec son coup de crayon si personnel, son profond désespoir, son incompréhension, ses doutes, ses peurs, et sa PEINE insatiable…

Peut-on se remettre d'un tel traumatisme, aucune idée, je lui souhaite de tout mon humour et ma sympathie le meilleur dans ce monde chelou dans lequel nous survivons…

Faut pas rigoler avec Mahomet… Mais pour ce que j'en ai à branler…

A plus les Charlie…

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Mercredi 7 janvier, 18h, au 36 quai des orfèvres. On lui demande de raconter ce qu'il a vu. Mais peut-il seulement mettre des mots sur cette tragédie. Existent-ils, ces mots? A défaut de parler, Luz dessine. A sa manière. Avec sa rage. Son incompréhension. Sa douleur. Sa tristesse. Il ne peut dessiner qu'un petit bonhomme, figé, abasourdi, de grands yeux disproportionnés. Des dizaines de petits bonhommes qui ne semblent pas comprendre. Il se rappelle comment c'était avant le 7 janvier. C'est facile: c'est le jour de son anniversaire. Or, cette année, il est arrivé en retard dans les bureaux de Charlie Hebdo. Il a fêté son anniversaire la veille au soir. Il a un peu picolé. Alors pour se faire pardonner il a amené une galette, comme il le fait chaque année. Ce sera la dernière fois. Un simple retard qui lui aura sauvé la vie...

Qu'il est difficile de mettre des mots sur cet album... Album que l'on souhaite évidemment salutaire et bienfaiteur pour Luz. Il se livre ici, sans tabou, sans barrières, et couche ses émotions, son ressenti et son mal de vivre sur papier. Quelle rage et quelle tristesse dans ses dessins et dans ses mots! Et quelle envie de vivre aussi! Une envie qui le ferait presque rougir... Même si le désir de reprendre les crayons est revenue, elle est différente. Cet album nous émeut réellement. Une lecture éprouvante, émouvante et profondément humaine.

Catharsis... au-delà des mots...
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Luz et le double effet kiss-cool.

Première gueule de bois le 7 janvier, au réveil, suite à un anniversaire un peu trop arrosé, normal.
La seconde, beaucoup plus violente et durable, quelques heures plus tard, en découvrant tous ses potes sur le carreau. Lui qui aurait dû en être s'il n'avait pas vénéré Bacchus plus que de raison. Comme quoi l'alcool sauve des vies, Luz en est une preuve vivante. Survivante.
Il en a réchappé. Une chance et une malédiction pour celui qui porte désormais le syndrome de Lazare comme une croix, un boulet annihilant tout désir.
Dessiner, pour quoi faire ?
Aimer, comment ?
Vivre, pas envie...

Petit à petit, le bonhomme se relève.
Catharsis comme catharsis, lente résurrection par le prisme de l'image et du verbe qu'il affectionne depuis toujours.
Si le patient est encore convalescent, il semble vouloir relever la tête, avoir retrouvé le désir de se battre, d'avancer.
A mille lieues des dessins satyriques de Charlie Hebdo, Luz se fait ici poète nostalgique et désenchanté, perdu en un monde qu'il ne comprend plus.
Totalement largué sur tous les plans, il en est un qui pourrait bien lui redonner l'envie. Non, Johnny, tu te tais.
La parole est à Camille, sa muse, qui l'appelle régulièrement "mon ange", lui le survivant.
L'amour comme refuge, comme moteur, Luz-tu cru ?
Lui oui, plus que jamais...
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C'est l'histoire d'un mec qui arrive en retard à son boulot, le jour de son anniversaire.

La veille, il est allé dîner au restau. Ce matin-là, il a un peu traîné. C'est normal. C'est pas tous les jours qu'on fête son anniv'. Ça n'arrive qu'une fois par an. Il a envie de profiter de son amour.
Parce qu'il l'aime, parce qu'il s'en fout d'arriver en retard. Parce que baiser, c'est encore ce qu'il y a de mieux à faire, le jour de son anniversaire. Mais c'est surtout parce qu'ils s'aiment.

C'est l'histoire d'un mec qui en arrivant au boulot envoie des textos à sa femme pour lui dire :
C'est le carnage.

Comment tu veux continuer à vivre après ça ? Avec cette boule au ventre qui t'envahit, qui te suit partout, qui t'emmerde même quand tu lis tranquillement du Stephen King.
Comment tu peux continuer à vivre avec ça ? Avec ces flics qui envahissent ton quotidien, qui te suivent partout même quand tu passes un moment romantique qui donnerait presque envie de chialer avec ta femme au bord de la mer, à vous perdre tous les deux là-bas, loin, tout au bout de la ligne d'horizon.
Comment tu vas continuer à vivre avec ça ? Avec tous ces Charlie qui ont envie de te serrer dans leurs bras mais qui ont déjà oublié qu'ils étaient Charlie. Avec ces rêves qui n'en sont plus, qui transforment tes nuages en formes noires, terrifiantes, terrorisantes ...terroristes.
Comment tu vas continuer ? Sans tes potes.

Heureusement, ton amour est là. « Heureusement. » Merde ! Que vient donc faire ce fichu adverbe ici ? Il n'a pas honte de pointer le bout de son nez ? Peut-être qu'il fait bien d'arriver timidement.

Regarde, tes p'tites bites hébétées, on dirait bien qu'elles reprennent du poil de la bête. Elles sont comme des p'tits bonshommes maintenant et ...
... elles marchent.


(Merci à l'éditeur Futuropolis et bien sûr à Babelio pour l'envoi de ce livre. Celui-ci garde et gardera une place particulière dans mon cœur.)

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Pour des millions de français il y aura dorénavant un avant et un après 7 janvier 2015. Un après plein de crainte, de douleur, d'incompréhension et de révolte face à tant de haine, de bêtise, d'injustice et d'intolérance. Mais si la France a perdu ce jour-là quelques-uns de ses symboles les plus forts de la liberté d'expression, d'autres ont perdu en plus des amis, des proches, des membres de leur famille…

Pour Luz, la peine est double puisque en plus de porter le deuil de ses collègues et amis, il doit vivre avec l'obsession terrible et angoissante que, sans son retard, il aurait dû faire partie des victimes du massacre… Comment continuer à vivre et à avancer quand on vit avec la peur au ventre ? Peut-on continuer à dessiner et à s'exprimer librement quand plane au-dessus de soi la menace de mort ?


Avec « Catharsis », Luz nous livre un album exutoire dans lequel il se met en scène dans son quotidien d'après les attentats. En préambule, le dessinateur déclare « Un jour, le dessin m'a quitté. le même jour qu'une poignée d'amis chers. A la seule différence qu'il est revenu, lui. Petit à petit. A la fois plus sombre et plus léger. » « Catharsis », c'est la preuve que malgré l'angoisse, malgré la menace, malgré la tristesse, la vie continue. C'est la réconciliation d'un artiste, d'un penseur, avec lui-même et avec son art. Des planches tantôt inquiétantes, torturées mais bien plus souvent drôles, impertinentes, cocasses, voire tendres, qui nous offrent un regard singulier, à la fois juste et aiguisé sur « l'après ».

Pas de chronologie dans l'enchaînement des planches (ce n'est pas un journal intime !), même si l'ensemble forme un tout cohérent et intimement lié. Si le noir et blanc dominent, la couleur s'invite parfois pour souligner la violence d'un moment ou d'une émotion. le dessin au trait épais et au geste rapide, caractéristique de l'auteur, est particulièrement vivant et expressif. Difficile de donner un avis sur un ouvrage aussi intime et personnel. Tout ce que je peux dire c'est que j'ai été profondément émue et bouleversée par ce rappel à une actualité encore brûlante et par la manière dont Luz se confronte à la réalité. Un ouvrage nécessaire à l'auteur, mais qui l'est, je pense, tout autant pour ses lecteurs.


Un grand merci à Babelio et à Futuropolis pour ce partenariat !
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J'ai lu hier soir l'album de Luz et voulant en dire quelques mots ce matin, je découvre un défilé de billets datant de 2015...
Autant dire que "réagir" huit ans après le massacre de Charlie, c'est s'inscrire dans une démarche émotionnellement décalée.
Lorsque le 7 janvier de cette année funeste ma fille m'a téléphoné pour me dire qu'il venait d'y avoir un attentat terroriste dans la rue et dans les locaux de l'hebdomadaire satirique, j'ai été saisi d'une terrible appréhension.
Lorsque j'ai su, j'étais broyé par la tristesse.
Comme beaucoup, j'adorais ces irrévérencieux bons vivants, représentants d'une tradition de libres-penseurs au verbe émancipé, au coup de crayon génial et irréductible.

Face à ce commentaire "tardif" et aux très nombreuses réactions suscitées en temps réel par ces évènements et par l'album de Luz paru en mai de la même année, je vais pour une fois être très bref et m'en tenir à l'essentiel de l'essentiel.

J'ai donc lu hier - Catharsis -, mot qui dans le domaine de la psychologie signifie : "thérapie utilisant l'extériorisation des traumatismes vécus."

C'est ce qu'a fait Luz dans cette oeuvre qu'il refuse de qualifier de BD :
" Ce livre n'est pas un témoignage, encore moins un ouvrage de bande dessinée, mais l'histoire de retrouvailles entre deux amis qui ont failli un jour ne plus se croiser."

Le 7 janvier est le jour de l'anniversaire de Luz. Il a rendez-vous dans les locaux de Charlie pour la conférence de rédaction. Il traîne et est en retard.
Ce retard va lui sauver la vie.
En arrivant dans la rue Nicolas-Appert il croise les frères Kouachi qui viennent de tuer ses collègues et amis. Eux ne le reconnaissent pas. Il monte dans les locaux et se trouve face au carnage laissé derrière eux par les assassins.
C'est à partir de là que le mot catharsis prend tout son sens.

Lorsqu'il va reprendre ses "crayons", ce sera pour tenter "d'exorciser" cette boule au ventre ( qu'il appelle Ginette ), ses démons traumatiques qui le hantent.
Il va alors hurler, pleurer, cogner sur ces maux qui l'obsèdent... mettre des mots et des images sur "ses cauchemars, ses crises d'insomnies sévères, de paranoïa ou de nerfs, ses scènes d'amour exutoires avec sa compagne et, surtout, les doutes sur sa capacité à continuer le dessin..."
Certaines de ses planches m'ont mouillé les yeux comme " un rêve ", " Ginette ", " rouge à lèvres ", "idées noires ", " Nancy et Lee ( j'ai chialé )", " faut que je te raconte ( là, Kleenex )", " pause clope " " où va-t-il chercher tout ça ?", " le petit marmiton ( intense..)", " intempérie ", " to you ( grosse émotion )".... Et puis il y a " Roswell "... peut-être la plus forte sur le plan de la réflexion.

C'est en rouge et noir. le noir exprimant le quotidien endeuillé et la mort incarnée par les terroristes islamistes. le rouge est naturellement l'expression du sang, celui versé et celui dont on se souvient qu'il a été versé.

C'est à vif. C'est poignant. Ça prend aux tripes.
Il ne faut pas passer à côté de cette oeuvre !
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Luz s'en est sorti. Il aurait dû être avec eux, en conférence de rédaction, au sein de l'équipe de Charlie Hebdo. Mais une soirée d'anniversaire la veille, trop arrosée a fait qu'il est arrivé en retard. Deux ombres noires étaient passées avant.

Ces deux ombres noires reviennent souvent dans ses dessins, indistinctes et menaçantes. Et le rouge dans l'escalier, ce sont leurs traces de pas.

Le dessin lui est revenu, de splendides peintures à l'aquarelle parfois, pour garder une trace de ses flashes d'angoisse et de ses moments tendres de renaissance avec son amie.

Et, grâce à elle, il renaît, se reconstruit et retrouve le goût à la vie jusqu'à "en pleurer des larmes de foutre".



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Publié dans les mois qui ont suivi les terribles événements terroristes de janvier 2015 au siège du journal satyrique Charlie Hebdo, Catharsis est l'oeuvre de Luz, l'un des auteurs-stars de ce dernier qui a, par pur hasard, survécu au drame.

Catharsis rend à la fois compte d'un auteur triste, mélancolique, en colère, révolté et apeuré. Tout à la fois. Nous y suivons son désir tantôt hagard, tantôt complètement à côté de la plaque, de poursuivre le dessin malgré les circonstances dramatiques. Mais voilà, tout le confronte à sa survie due au hasard : la moindre tâche de rouge, le moindre espoir ou la moindre pluie, et c'est la tristesse qui reprend le dessus ; Luz a vraiment bien trouvé son titre, puisque sa catharsis est en marche, et nous, pauvres lecteurs, sûrement touchés aussi même différemment, ne peut que se demander de temps en temps s'il mérite de mettre son nez dans la catharsis d'un autre.

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Je ne vais pas revenir sur le pourquoi du comment Luz a écrit Catharsis, je crois que tout le monde est au courant.

Personnellement, il m'a fallu du temps pour pouvoir le lire. le temps n'était pas venu pour moi. Tout comme l'heure de Luz n'avait pas sonné ce 7 janvier 2015.
Un anniversaire un peu arrosé et un calin frauduleux ont fait qu'il serait en retard ce jour là, ce jour fatidique, pour tous ses copains de chez Charlie.

Hier, j'ai enfin ouvert ce livre... et j'en ai pris plein la tronche. Non pas par des graphismes époustouflants mais par une justesse de ton et d'humanité.

J'ai à la fois rit (bhen oui, ce cher pigeon qui a visé le président mieux qu'un tireur d'élite n'aurait su le faire me fait encore rire aujourd'hui !), j'ai pleuré, j'ai ragé et j'ai vu Luz pris de doute, enfermé aussi derrière une orde de "gorilles" (un peu ballot d'être privé de liberté de cette façon pour un défenseur de la liberté d'expression !).

J'ai bien du mal a mettre des mots sur ce que j'ai ressenti au fil des pages.;. je crois que pour ça les dessins de Luz sont suffissament explicites. Mais une chose est sure c'est qu'on ne sort pas indemne de ce livre thérapie.
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Luz, rescapé des attentats contre Charlie Hebdo, parce qu'il était en retard ce jour-là… Dans Catharsis, il se dévoile, il raconte le sa manière de vivre le choc, en finesse, drôlerie, et émotions, c'est un album de lutte, lutte pour ne pas sombrer avant tout, exutoire, et pas seulement pour l'auteur, un album nécessaire, ça prend aux tripes, c'est du lourd.
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