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Sonia Mabrouk (Autre)
EAN : 9791032905708
128 pages
Éditions de l'Observatoire (21/04/2021)
3.58/5   43 notes
Résumé :
« Une civilisation meurt juste par lassitude, par dégoût d'elle-même », écrit Michel Houellebecq. Alors que l'effondrement civilisationnel nous guette, Sonia Mabrouk passe au scalpel idéologique les acteurs qui menacent notre équilibre sociétal et propose un nouveau Sacré autour duquel se retrouver : la France.

Autrefois minoritaires, six groupes mettent en péril la société telle que nous la connaissons et l'avons construite, en étendant de manière te... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Sonia Mabrouk ?
Je connaissais la journaliste pugnace, je découvre une analyste rigoureuse et lucide.
Son essai est très court, mais en dix petits chapitres percutants elle dresse un tableau réaliste de l'état de la société française dans lequel elle explique les principales menaces qui pèsent sur notre pays et esquisse des réponses à y apporter.

Que cela fait du bien de lire sous sa plume à peu près tout ce que je pense !
En fait, ce que de nombreuses personnes pensent. Parce qu'en discutant ici ou là avec des amis, des voisins ou des gens que je ne connais pas (le marché est un excellent lieu de discussion, que ce soit avec les maraîchers ou avec les autres clients), je me rends compte que de nombreux constats qui sont de simples constats de bon sens sont très largement partagés.
Le problème est que la majorité, composée de personnes plutôt paisibles, est souvent silencieuse, alors que les opinions minoritaires sont fréquemment portées par des gens assez excités et jusqu'au boutistes. En caricaturant à peine, on peut dire qu'on n'entend qu'eux, qu'ils imposent leurs opinions, et que quiconque ose penser différemment est aussitôt affublé de tous les termes les plus insultants : xénophobe, raciste, islamophobe, fasciste et j'en passe.
Et sommé de se taire.
Il n'y a plus de discussions possibles, ceux qui s'opposent à la doxa bienpensante sont bâillonnés. Il n'y a qu'à regarder la plupart des émissions de télévision pour s'en rendre compte.
On peut aussi observer ce qui se passe dans la plupart des universités ou écoles dites "grandes" où le débat contradictoire est impossible et où de nombreuses personnalités ont interdiction de s'exprimer.
Drôle d'époque !
Enfin, drôle est une façon de parler, parce que je ne trouve rien de drôle dans tout cela.
C'est intellectuellement affligeant, parce que le débat d'idées est important pour nourrir la réflexion et c'est inquiétant pour notre société qui devient totalitaire.
Et le bon peuple est prié de penser qu'on le protège des mauvaises pensées. Non, c'est pire : il est prié de ne plus penser du tout.
Pour cela, je pense que la crise du covid a fortement accéléré le mouvement et qu'elle arrange bien des dirigeants... et c'est pour cette raison que certains ne sont pas trop pressés d'en sortir.
Métro, boulot, dodo, Netflix et matchs de foot... quel beau programme lénifiant !

Dans son essai, Sonia Mabrouk démonte certaines pensées que l'on voudrait nous imposer, elle analyse, elle explique et donne quelques arguments pour s'y opposer.
Non conventionnelle, elle dérange. le flot d'insultes qu'elle reçoit quotidiennement sur les réseaux dits "sociaux" le prouve.
Elle dérange car elle nage un peu à contre-courant dans une profession où il est de bon ton de rester dans la bienpensance martelée à longueur de journée.
Elle dérange quand en tant qu'immigrée d'origine tunisienne elle dit aimer la France. Eh oui, à notre époque folle, c'est mal vu !
Elle a sa liberté de penser, sa liberté de ton et une façon bien à elle d'interroger les politiques qu'elle déstabilise en refusant les faux-fuyants et la langue de bois.

Dans une civilisation qui se délite et fonce droit vers des abimes de stupidité, cette lecture m'a fait du bien.
Elle offre un rayon d'espoir et prouve qu'il reste encore un peu d'intelligence dans ce pays où les lumières semblent bien éteintes.
Sonia Mabrouk n'a pas peur de dire haut et fort son amour de la France, de sa civilisation, de son histoire. Pas un amour béat, mais un amour réfléchi, rationnel.
La France n'est pas parfaite et de toute façon, aucun pays ne l'est. Mais si l'on reste objectif et que l'on ouvre les yeux sur le monde, on se rend compte que la France n'est vraiment pas le pire endroit où vivre.
Surtout lorsque l'on est une femme.
Je suis entièrement d'accord avec le thème de fond de cet essai : nous devons nous battre pour que la France reste un pays où il fait bon vivre, un pays où les femmes sont respectées, un pays de liberté.

Avant tout, une prise de conscience collective est indispensable, et ce livre peut y contribuer.
L'actualité récente qui a vu un policier se faire froidement abattre parce qu'il dérangeait un deal de drogue et une femme se faire immoler par un barbare obscurantiste montre que la tâche est rude mais devrait collectivement nous motiver.
Nous ne pouvons plus rester les bras croisés, il en va de notre civilisation, de notre survie.

Je ne suis pas forcément d'accord avec tout de A à Z dans cet essai, mais j'approuve la démarche et la majeure partie de ce qui est écrit.
Et je salue le courage de Sonia Mabrouk !
Elle lance un appel au peuple français : le temps de l'insoumission est venu. (La véritable, pas celle d'un certain parti...)

Je suis prête.
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Les bras me sont tombés, la tête aussi. Je n'ai pas compris. J'ai lu Sonia Mabrouk, grande journaliste à l'intelligence féroce, et je me suis sentie si bête, si stupide de ne pas avoir saisi son "bon sens" que j'ai failli pleurer. Pourquoi je ne parviens pas à comprendre son raisonnement? Qu'est-ce qui, dans mon cerveau, fait défaut? Sonia Mabrouk écrit son inquiétude pour la France, non, pour la civilisation "occidentale", et moi, naïve, idiote, abrutie, je suis reste bouche bée, yeux grands ouverts, admirative de sa clairvoyance mais inquiète de ma cécité. Qu'est-ce donc qui ne va pas chez moi?

Cesses de plaisanterie, la plume de Sonia Mabrouk, pompeuse, pond un texte lacunaire. Très lacunaire. La "journaliste" est si sûre de ces propos qu'elle se libère du poids de l'argumentation. Pourquoi expliquer, argumenter quand on sait que l'on a raison? Pourquoi défiler le fil de sa pensée quand elle est le fruit exquis du "bon sens"? Oui pourquoi se fatiguer quand le but est de prêcher les convaincus? Ceux qui n'ont pas son "bons sens" peuvent aller se torcher le cul avec ce qu'ils peuvent trouver, ses papiers bâclés par exemple?

Bâclés oui parce qu'il n'y a aucun raisonnement dans ce texte. Il n'y a que des incantations, des alertes, des avertissements et des propos assénés comme des évidences. Sonia Mabrouk avertit : la civilisation occidentale est en danger. Elle va s'écrouler, s'effondrer sous les coups des "décoloniaux", "écologistes radicaux", "islamo-compatibles", "néo-féministes", "intersectionnalistes". Il faut donc que la France s'arme en conséquence. Point. Et si, comme moi, vous cherchez à comprendre le pourquoi du comment vous pouvez aller voir ailleurs si vous y êtes. le doute n'est pas permis ici. Ici, il y a de l' "évidence" et du "bons sens".

Mais moi je suis bête, terriblement bête et je doute, je m'interroge, je questionne:
Qu'est-ce que la civilisation occidentale? Comment se définit-elle? A quoi reconnait-on sa fin? Et quand a-t-elle commencé ? Une poignée d'individus considérés comme radicaux suffit à la miner? Sérieusement? Elle est si fragile la civilisation occidentale?
Qu'est-ce que la civilisation musulmane? Elle se définit par opposition? C'est à dire? Plus exactement?
En quoi contester la violence illégale, disproportionnée et illégitime exercée par certains policiers nuit à la République, plus largement à la France, plus largement à la civilisation occidentale?
En quoi le radicalisme de certains mouvements portent atteintes à la civilisation? Concrètement? On ne cesse de me dire que la droite domine en France et que l'extrême-droite avance à pas rapide. Et c'est les gauchos le danger? Je ne comprends pas.
Il n'y a aucune évidence pour moi. Il faut me dire et m'expliquer parce que je ne saisis pas. Comment? Que Sonia Mabrouk ne soit pas d'accord avec les uns et les autres, d'accord; qu'elle l'exprime, fort heureusement, mais de grâce que le fil de son raisonnement soit convenablement posé et établi. Il serait temps, quand même, de mettre un terme à ces combats de coqs stériles et puériles qui opposent les uns aux autres dans cette cour de récréation d'enfants pourris gâtés. Sonia Mabrouk est en plein dedans. Elle fustige, à juste titre, celles et ceux qui la déconsidèrent parce qu'elle s'oppose à leurs propos mais emploie exactement les mêmes travers. Celles et ceux qui ne sont pas d'accord avec son "bons sens" sont des " islamo-gauchistes" ou "islamo-compatibles", de "dangereux" énergumènes qui portent atteinte à la civilisation occidentale et qui n' "aiment pas la France". Sérieusement? le débat est bas.

Les mots ont un sens, plusieurs mêmes. Ils n'ont pas la même raisonnance, pas le même son. Et c'est de leur richesse que nous souffrons. C'est de notre incapacité à les penser que viennent nos difficultés Nous ne prenons pas le temps de les définir et de tracer leurs contours. Alors nous débattons, discutons, hurlons, bataillons dans le vide car l'essentiel n'y est pas. Moins on définit, plus on se perd. Les coqs qui se battent s'amusent à animer la galerie et les autres, comme moi, qui ne s'y reconnaissent pas, regardent, ahuri, la bêtise se complaire devant l'intelligence qui se perd.
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Sonia Mabrouk a écrit un bref et très intelligent essai qui doit défriser nombre de nos intellectuels placés plutôt à gauche de l'échiquier de la pensée française. N'importe, elle n'est pas la seule, ni la première à dénoncer cette dépréciation, cette culpabilisation permanente de notre pays, de son histoire, et par là-même, de la civilisation occidentale, elle-même, par une multitude de groupes aux objectifs forts disparates : écolos radicaux, islamo-compatibles, décoloniaux, féministes ou néo-féministes, racialistes, etc.
On pourrait penser que ces groupes qui se prétendent "intersectionnels" en ce qu'ils croient percevoir une convergence de leurs idées et de leur lutte, sont sans influence sur le fonctionnement de notre société.
En réalité, de fil en aiguille, avec la complicité des réseaux sociaux, le recul peureux de la classe politique ainsi que l'aveuglement de l'intelligentsia, (de gauche pour l'essentiel) ces groupes sapent la République par un harcèlement continuel, mettent en péril la nation française, sa culture, la civilisation qu'elle a contribué à créer.
Il est temps de retrouver la fierté d'être Français, la fierté des racines judéo-chrétiennes de la France, sans rejeter, bien sûr, l'apport d'autres cultures. Cependant, quoiqu'on en dise, ces racines sont constitutives de ce pays, de son histoire. Et, il n'y a aucune raison de les effacer sous peine de voir disparaître la France.

La solution pourrait, selon elle, résider dans une sorte de retour vers le sacré, de retour vers un christianisme laïc si je puis m'autoriser cet oxymore.

Evidemment, Sonia Mabrouk a écrit un essai de parti pris, de défense de la France, de son histoire, de ses valeurs. Je la soutiens sans réserve, même si je considère que si l'histoire ne s'accommode guère de jugement de valeur (l'histoire est l'histoire et on ne peut rien y faire et les condamnations sont inutiles, encore moins les repentances ; la génération actuelle n'est pas responsable du passé.) En revanche, il est possible de poser un regard moins partiel et moins partial sur l'histoire de France et d'en reconnaître tous les aspects y compris les plus sombres que le roman historique a tendance à gommer.
Si Napoléon a été un grand homme d'Etat pour les Français (les Britanniques qui l'ont vaincu peuvent s'autoriser à penser le contraire), les Antillais peuvent lui préférer la Convention qui a aboli l'esclavage et déclaré que tous les hommes naissent libres et égaux, etc.
Sait-on que Saint Louis qui disait la justice sous son arbre, a été grand persécuteur des Juifs ? En tant que Protestant, je préfère Henri le grand à tout autre monarque de France.

De toute façon, j'aime ce beau pays que l'on appelle France et dont la Martinique est un petit morceau, depuis si longtemps, n'en déplaise à ceux qui déboulonnent des statues sans réflexion, et nous devons la défendre contre tous ceux qui vivent sur son sol en la méprisant. Ce qui est insupportable.

Ce petit livre est sorti en même temps, de la maison d'édition l'Observatoire, qu'un autre petit livre tout aussi intelligent, sur des sujets "parents". Il s'agit de Racée de Rachel Khan, dont j'achève la lecture.

Pat.






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Ce livre, qui n'est pas très long, a deux mérites :

* Il réuni plusieurs thèmes progressistes et montre leurs points communs : la déconstruction de la société. Elle montre aussi certaines incompatibilités et incohérences;

* ces thèmes ne sont pas caractérisés comme des dérives, comme on le voit dans plusieurs autres livres, mais comme des menaces à notre société.

Sonia Mabrouk nous appelle à l'insoumission à ces tendances idéologiques.

Ce livre mériterait, probablement, un petit chapitre aussi sur l'antispécisme, même s'il est mentionné rapidement. Je me suis demandé aussi s'il ne fallait traiter les sujets avec plus de profondeur, mais pas sûr que ce soit une bonne idée. Par contre, il aurait été bien d'avoir un peu plus de références.

Enfin, last but not least, j'aime souvent regarder la dernière phrase des livres. Celle ci est spectaculaire :

Ayons le courage de renouer avec le tragique de l'Histoire. Ayons foi en nos figures héroïques. Ayons le regard accroché aux cimes. Ayons l'audace de porter fièrement l'héritage occidental et, plus singulièrement, le roman tricolore. Je le dis avec d'autant plus de force que, cet héritage, j'ai appris à le connaître, que, cette histoire, j'ai appris à l'aimer depuis ma Tunisie natale. On peut être née ailleurs et défendre avec force le rêve français et, au-delà, la civilisation. L'heure de la soumission est venue.
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Dans son livre, madame Mabrouk identifie les menaces qui pèsent selon elle sur les démocraties occidentales. Il s'agit plus d'un survol ou d'une synthèse que d'une analyse en profondeur. Les éléments soulevés sont néanmoins plus que pertinents et je n'ai pu qu'acquiescer au danger des dérives identifiées. le discours de droite de l'auteure est franc et direct. Elle n'hésite pas par exemple à s'attaquer aux groupes minoritaires s'édifiant à tout moment en victimes. Cet audace de l'auteure qui va à l'encontre des idées arrêtées est pour le moins rafraichissante. La conclusion du livre de madame Mabrouk est quant à elle moins convaincante et me semble nébuleuse. Selon elle, la référence à une notion de 'sacré' serait la solution aux menaces soulevées. À mon sens, elle aurait eu avantage à utiliser des concepts et des termes plus simples et concrets tels le sens de l'honneur, la fierté, la tradition et l'héritage pour faire passer son message.
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critiques presse (1)
Actualitte
16 juin 2021
Un court essai, à peine plus d’une bonne centaine de pages, dans lequel la journaliste prétend révéler, le malaise français, qui tend inévitablement vers le déclin civilisationnel.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Cessons de regarder l'effondrement de notre civilisation comme des sismologues observant un tremblement de terre. Interdisons-nous la fatalité. Ne nous laissons pas mutiler. Retrouvons le goût de la grandeur et le sens de l'honneur. Décadenassons notre fierté. Exaltons l'âme de la France.
Si le sursaut ne vient pas, le risque est grand de se retrouver orphelins d'une histoire, d'un rêve, d'une légende française. Nous avons collectivement une dette à l'égard de la France. Il nous est interdit de renoncer. L'heure de l'insoumission a sonné.
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On imaginait, sans doute naïvement, que devant des faits irréfutables et d'une grande barbarie, tout ou une grande partie du moins de la classe politique allait finir par se convertir au réalisme. Mais chaque fois, le même scénario se répète. De peur de froisser une partie de la population toujours prompte à se sentir stigmatisée, par crainte d'emprunter au vocabulaire du Rassemblement national et par là même de lui donner raison, par petits calculs politiciens, nombreux sont ceux qui n'osent toujours pas mettre les mots sur des situations incendiaires, contribuant ainsi, par leur déni et leur aveuglement, à jeter encore plus d'huile sur le feu.
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Dans le monde merveilleux des nouveaux antiracistes, la race est ainsi statufiée. De leur point de vue, la race conditionne notre façon de percevoir et de vivre le monde.
Un tel mouvement ne fait pas que s'affirmer, il est en voie de radicalisation poussée. Et gare à tous ceux qui ne souscrivent pas à cet idéal multiculturaliste et antiraciste.
Si vous n'y adhérez pas, si vous ne vous soumettez pas à ses injonctions, vous êtes de facto catalogué comme raciste et antiprogressiste. En écrivant ces lignes, je sais bien que le piège se referme sur moi comme sur tant d'autres. Je serai à mon tour accusée de tous les maux ci-dessus mentionnés. Mais cet opprobre dont certains vont nous couvrir pèse peu face à l'importance et à l'urgence du combat à mener pour que cesse cette logique de la déconstruction.
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La France est sommée d'appréhender sa culture comme une entité parmi tant d'autres. Ni plus ni moins. Cette injonction à noyer dans la masse sa culture et son histoire revient, comme le dit l'essayiste et sociologue québécois Mathieu Bock-Côté, à instaurer un devoir d'intégration inversé. Alors que la vocation du nouvel arrivant dans un pays consistait, jusqu'à peu, à en épouser les valeurs, l'inversion du devoir d'intégration a, au contraire, conduit les populations immigrées à s'exonérer de cette appropriation culturelle.
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En réalité, les antiracistes français ne s’engouffrent dans cette brèche [le mouvement « Black Lives Matter »] que dans l’objectif de valider leur principe d’un racisme d’État des sociétés occidentales. Ils font peu de cas de la situation des Noirs quand elle ne corrobore pas leur idéologie déconstructrice. Ils ne s’intéressent aux « victimes » qu’à la condition de pouvoir exalter un inconscient ethnocentrique qui voudrait que le Blanc soit au centre de tout, coupable de tout. Vous ne les entendrez jamais, par exemple, dénoncer les traites d’esclaves qui ont cours actuellement en Libye. Les seules « victimes » qui comptent sont celles oppressées par les Blancs.
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