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Olivier Debernard (Traducteur)
EAN : 9782915549935
266 pages
Bragelonne (25/08/2006)
2.75/5   14 notes
Résumé :
A la fin du XXIe siècle, l'humanité passa à deux doigts de l'extinction.
L'éveil à la conscience des IA militaires plongea la Terre dans une guerre cataclysmique. Mais aussi rapidement qu'elles avaient vu le jour, ces entités disparurent, laissant derrière elles des îlots de survivants. Certains d'entre eux s'enfuirent alors dans les étoiles grâce à un réseau de portails reliant les mondes, issu de la technologie IA. Ils colonisèrent ainsi Eurydice, une planè... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Second roman (traduit) de l'auteur après la division cassini. Un space opera moderne et technologique.

Dans un univers à l'échelle galactique où l'humanité a essaimé plus ou moins chaotiquement, le clan Carlyle fait du commerce et de l'archéologie de combat à travers le réseau de trous de ver crée et abandonné par les IA qui ont accédé à la singularité et abandonné le monde connu. Lorsque Lucinda Carlyle redécouvre et débarque sur Euridyce, les différentes factions humaines vont à nouveau s'affronter pour le contrôle de la technologie découverte et qui pourrait bien anéantir l'humanité.

De la politique il y a. Les descendants idéologiques des américains, les cocos, les chinetoques (euh les chevaliers du savoir), au moins on ne peut pas dire que l'auteur est fade à ce niveau (encore qu'à l'heure actuelle, il manque la dimension religieuse extrémiste qui nous préoccupe tous).
De l'action il y a. Y compris ma préférée, la sf militaire.
De la technologie il y a. Singularité, post-humain ou la possibilité de télécharger l'humain pour le réimplanter ensuite dans un nouveau corps et son questionnement métaphysique (il y a).

Tout était là pour faire de ce roman un divertissement passionnant et pourtant, je me suis ennuyé.
Les digressions théâtrales sur Euridyce n'ont aucun intérêt créant avec d'autres, des longueurs insupportables, ce qui est un comble pour un petit one shot de 350 pages alors que des auteurs comme Hamilton arrivent à maintenir l'attention (tout du moins la mienne) sur 2000 pages.
L'action manque de coffre, les personnages de profondeur, la politique d'intérêt, la technologie de développement.

Dans le genre, préférez la série des orphelins de la terre de Shane Dix (Encore que, à la relecture de ma critique, peut être est-ce mes goûts qui ont changé, ou en tout cas ma capacité à supporter une lecture qui m'ennuie et dans laquelle j'ai du mal à m'immerger et celle à trouver des qualités à un livre que je n'ai pas aimé. Pour qui ? L'auteur ? La susceptibilité des lecteurs fans ? Fuck le politiquement correct.
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Salut les Babelionautes
Ce space opéra avait tout pour me plaire mais il lui manque je ne sais quoi pour en faire un bon roman.
L'omniprésence de la nanotechnologie et le fait que la mort n'est plus systématiquement définitive m'avait emmené a penser que j'allais découvrir un nouveau David Weber avec son Héroine "Lucinda Carlyle".
Mais le soufflet est retombée et comme fnitter je me suis ennuyé a lire des paragraphes entier sans pratiquement aucun lien avec le récit.
Merci quand même a Olivier Debernard qui a eu le douloureux privilège de traduire ce roman.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
En règle générale, les émotions des machines sont moins intenses que celles des animaux. Les machines n'ont pas besoin d'un système nerveux autonome pour pallier les hésitations d'un esprit conscient, car leur esprit conscient ne connaît pas l'hésitation. Elles n'ont pas besoin de la peur pour les pousser à s'enfuir, de la douleur pour se protéger de la destruction, du désir pour les amener à se reproduire. Leurs sentiments négatifs s'apparentent à l’agacement résultant d'une tâche inachevée ou d'un lacet défait ; en attendant le résultat du calcul d'un algorithme de recherche, elles ressentent une irritation comparable à celle d'un humain qui ne trouve pas le mot qu'il cherche. Leurs désirs positifs sont des joies glacées et sans équivoque, comme passer toute une nuit à travailler sur un projet important dans la lucidité trouble des amphétamines et de la caféine, mais sans les décharges d'adrénaline. Les machines sont cool.
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La physique intuitive est de nature aristotélicienne. Ce qui monte doit redescendre, et ce qui reste en haut doit être tenu par quelque chose.
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Fais un peu attention avec cette kalachnikov (…)
Elle n'est pas chargée. C'est juste un accessoire. (...)
Les accessoires sont toujours vrais, et ils sont toujours chargés.
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On ne devient pas plus sage avec l'âge. On devient juste un peu plus ce qu'on était déjà.
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