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EAN : 9782265143975
464 pages
Fleuve Editions (15/10/2020)
3.91/5   82 notes
Résumé :
Le sous-lieutenant Georges Kabla, petit génie tout juste sorti de Polytechnique, effectue son stage au centre radioélectrique des Alluets-le-Roi, en réalité une base d’écoute de la DGSE. Sa mission ? Paramétrer Face Mort, un algorithme de reconnaissance faciale extrêmement sophistiqué. Quand la machine déclenche une alerte après avoir détecté et analysé une vidéo, la France se retrouve en première ligne face à une conspiration impitoyable…

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Depuis « Kaboul Express » de Cédric Bannel, je ne me souviens pas avoir lu un thriller aussi captivant que « Face Mort ».

Stéphane Marchand, son auteur, polytechnicien est ingénieur de l'ENSAE, l'école de la statistique et du Big Data, et chacun sait … que « la statistique est la forme raffinée du mensonge ». le sous lieutenant Georges Kabla, réincarnation adolescente de notre romancier, optimise pour la DGSE « Face Mort », un programme d'intelligence artificielle dédié à la reconnaissance faciale, (mais pas que …).

Ce logiciel tient une place importante dans l'intrigue mais, heureusement, s'efface derrière nos vaillants agents dans un scénario très addictif. N'étant pas convaincu personnellement de l'infaillibilité de l'informatique, je n'ai pas été surpris de constater que le correcteur orthographique laisse passer en page 328 « les ruines de la ferme solaire, dont je n'ai évidemment parler (sic) à personne » !

Le contexte sanitaire actuel, déroule un tapis rouge sous les pas du romancier, qui nous confronte à un empoisonnement bactériologique, pimenté de nanotechnologies et de manipulation génétique, aussi terrible que ciblé.

Cette menace du « big one » avec des milliers de morts rejoint les craintes du « Kaboul Express » de Bannel et des « Vladimir » de Jean-Marie Albert

Concevoir l'arme, financer les recherches, fabriquer le vecteur, former les combattants, sont les chapitres qui dévoilent les ramifications du complot en Italie, Algérie, Qatar, Chine et Libye.

Mais qui tire les ficelles ?
Qui cible la France et ses dirigeants ?
Quel pacte occulte nos élus ont ils rompu ?

Délicieusement et politiquement incorrect, le roman décrit les rouages de l'Elysée avec un Président ancien banquier, un secrétaire général, bouclier ou fusible de son chef et des Servies Spéciaux dont certains officiers ont trempé dans les magouilles.

Toute ressemblance avec des faits établis ou des personnages existants serait purement fortuite … mais me sont revenus en mémoire les Foccart, Grossouvre, Bérégovoy, Guéant qui ont occupé des fonctions comparables à l'Elysée … et puis franchement… qui imaginerait un financement libyen ou émirati dans une campagne électorale ?

Deux femmes, et ce n'est pas banal dans un thriller, imposent leur jeu. Maxime Barelli, capitaine particulièrement efficace pour « faire le ménage » en neutralisant les terroristes au Moyen Orient. Ibtissam al Charouk, fille d'un notable libyen, dopée par la vengeance. Leur duel est haletant et laisse le lecteur pantois lors de la lecture des dernières pages.

Passionnant roman, qui recoupe nombre d'actualités, projette plusieurs menaces potentielles et s'achève fort moralement, à mon humble avis, mais vous êtes libre de ne pas le partager ;-))

Merci aux Editions Fleuve Noir de m'avoir adressé cet ouvrage lors de la Masse critique de septembre … qu'ils acceptent mes excuses pour cette lecture tardive imposée par l'exil du deuxième confinement.
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Face Mort est un roman comparable par sa qualité littéraire, son actualité et l'intérêt de son intrigue, à Pukhtu de DOA.

L'action se situe de nos jours au coeur de la lutte contre le terrorisme et ses nouvelles formes. La France, présente militairement au Sahel, gère de plus en plus difficilement les conséquences de la guerre qu'elle a déclenchée en Libye en 2011 et fait face à l'instabilité du pays : « Des bandes qui viennent du Niger ou du Tchad, un vrai bordel. Faites gaffe. Ne croyez pas que vous serez en Libye, vous ne serez nulle part. Les frontières, c'est fini. Un vrai merdier. Et vous serez tout seuls dedans. »

Les anciens alliés, ceux qui l'ont aidée à se défaire Khadafi sont maintenant soumis au chantage du Djihad qui les fait passer pour des traîtres ayant pactisé avec des mécréants. Ils la lâchent les uns après les autres « Après avoir conquis un énorme territoire à cheval sur l'Irak et la Syrie, Daech avait dû plier bagage sous la pression des bombardements. Ils venaient reconstruire le califat en Libye. »

A la DGSE les points de vue différents entre « politiques » « gens de terrains » et « technos » se confrontent autour des dossiers sensibles. Un jeune stagiaire, le lieutenant Kabla est chargé de paramétrer Face Mort un logiciel d'intelligence artificielle qui allie la reconnaissance faciale au recoupement des données de contexte concernant les personnes qu'il a identifié : « L'algorithme avait faim. le petit lieutenant avait passé plusieurs semaines à le gaver à l'aide de toutes les bases de données antiterroristes assemblées minutieusement par les correspondants de la maison. »

Alors qu'il soumet au logiciel la vidéo d'une exécution en Libye, Kabla met à jour une nouvelle avancée du dossier Sauterelle, un dossier dormant depuis une dizaine d'années « (…) assorti d'un très haut niveau de secret et le petit lieutenant ne faisait pas encore partie des heureux habilités.  »

Sur le terrain, que fricotent dans une zone déserte de Libye, « Une belle Libyenne de l'Est », « Umberto Sica, le scientifique italien » recherché par la France et un Algérien « le docteur en botanique, Ali Mokhtari. » - alias Fakir pour la DGSE - ?

Sur le terrain toujours, la capitaine Maxime Barelli, en réserve de l'armée, est pourtant chargée avec ses hommes, de la «  Neutralisation sélective » de djihadistes : « C'était tout simplement plus facile et moins coûteux de liquider ces salopards en Libye que dans les banlieues de Paris ou de Strasbourg.  (...) Ceux que Maxime Barelli recherchait étaient organisés, ils avaient réussi à échapper pendant des mois aux meilleurs services de renseignement du monde.  »

Parmi les Français partis faire le Djihad en Syrie et exfiltrés en Libye, « Simon Chassan, le petit malfrat de Montauban, avait beau s'être transformé en moudjahid, il avait toujours les mêmes difficultés à manier les idées abstraites. À Montauban, il n'avait été qu'un banal délinquant, en train de perdre un combat inégal contre le bégaiement. Il n'intéressait même pas la police (…) En prison, trajectoire classique. Il y a rencontré des salafistes, en particulier un type qui se faisait passer pour un imam alors qu'il était épicier, mais l'arnaque au faux imam est fréquente, en prison (…) À Raqqa, il s'est installé dans une villa abandonnée avec cinq autres Français de Montauban et de Toulouse (…) il était toujours candidat pour les exécutions, ce qui est plutôt rare. Il est considéré comme pieux. »

La mise en scène et en perspective des lieux de combats, des combattants, des services de renseignements, des représentants de l'Etat, est très réussie et m'a fait penser à la série le Bureau des Légendes. L'enchaînement rapide et tourbillonant des événements maintient le lecteur en alerte, l'inventivité et le réalisme de l'auteur donne une coloration extrêmement réaliste à son récit.
Bravo.

Tout laisse à penser au lecteur, loin des informations convenues et du politiquement correct en vigueur sur le sujet, que cela pourrait bien se passer comme nous le suggère Stéphane Marchand, dans la réalité, et plus fort, pourrait même se dérouler tandis que confortablement installé, il lit son roman..
Un autre point fort du récit est la description de la mise en oeuvre d'un très haut niveau de technologie par les services de renseignements (Drones, satellites, télécommunications, intelligence artificielle) mais aussi par les terroristes, qui donne tout son sens au terme internationalisation du terrorisme. Les frontières n'existent plus et les « théâtres d'intervention » peuvent exister partout dans le monde.

Le lecteur acquiert très vite la conviction qu'entre les politiques, obnubilés par la réélection du Président, les militaires, les gens de terrain, les praticiens ou les scientifiques requis pour apporter leur savoir, les objectifs sont différents pour ne pas dire antagonistes.
Sous les ors de la République, « Le secrétaire général de l'Élysée cherchait ses mots pour transmettre au Président une partie de son stress, en vain. Dans les yeux du président de la République, il lisait son impossible mission : il allait devoir régler cette affaire tout seul.  »
Mais, « Les présidents passaient, les services restaient.  »

Le tout a une odeur discrète de financement libyen de la campagne de 2007, je ne vous dit que ça !

Le final est stupéfiant.

En résumé, un roman réussi sur un sujet très actuel, dont je recommande la lecture !
Lien : https://camalonga.wordpress...
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« Face Mort », c'est l'outil de référence, l'intelligence artificielle qui peut trouver n'importe qui, n'importe où. Son aide est précieuse pour les hommes de terrain qui doivent débarrasser la Libye des Djiadhistes, partis de Syrie qui souhaitent former un Califat libyen. La mission de départ, assez simple, prend un virage à 180°, lorsqu'il faut arrêter une attaque dépassant largement les frontières françaises et libyennes.

Plonger dans ce livre, c'est plonger dans une réalité qui nous semble impossible, pourtant, même si c'est un roman, Face mort est criant de vérité. Tous les ingrédients sont là pour permettre une immersion totale dans les arcanes de la DGSE, de l'Etat et de ses possibles travers. À l'heure du terrorisme réel, on ne peut s'empêcher de penser que l'auteur se sert d'une réalité dérangeante comme base à son intrigue.

Polytechnicien de formation et journaliste d'investigation, c'est un domaine qu'il connaît bien et cela se sent à la lecture. On aime ou on n'aime pas le genre, mais il faut au moins reconnaître que tout est crédible.

L'imagination d'un auteur ne fait pas tout et parfois la vérité n'est pas loin. Alors oui, on peut avoir du mal à imaginer un jour, le président de la République, ancien banquier, mais cela n'est, à mon sens, pas là par hasard. Notre monde, est régi par les banques et le profit, donc il n'y a qu'un pas pour que l'un d'eux devienne le maître à bord du bateau France.

Les ficelles, pour la domination ou la lutte se font en coulisse et l'auteur, décortique avec brio ces manipulations.

C'est un techno thriller que j'ai beaucoup apprécié, car tout est cohérent. de plus, il n'y a aucun temps mort, qui aurait pu lasser. L'écriture est concise, nerveuse avec un rythme soutenu, et une immersion aux côtés des personnages. Des personnages bien brossés et très crédibles, avec les doutes et les convictions de chacun. Rien ne manque pour en faire une bonne série…

C'est à la fois terrifiant et passionnant. le fait d'utiliser l'intelligence artificielle, pour lutter contre le terrorisme sert de base à une réflexion sur l'utilisation de « Face Mort » dans notre quotidien et c'est franchement flippant. Les dérives pourraient être importantes et je ne suis pas certaine que cela résolve le problème. Et c'est un peu ce que veut dire l'auteur, lorsqu'il évoque, à travers un personnage, l'immersion que l'Etat ou les Etats, font dans la politique de certains pays. La course aux richesses ouvre la porte aux compromis, aux ententes et lorsque l'on n'est plus d'accord on fou le bordel. Aujourd'hui, la Libye est devenue l'ennemie alors qu'elle était l'amie d'hier… Au passage, on glisse les doutes sur des financements…

Les amis d'hier sont les ennemis du jour, les Djihadistes sont devenus les ennemis de certains et les amis des autres. Tout est bon, pour asseoir sa position. Mais les Hommes partent, ne restent que les actions…

Si vous mélangez la politique de ces dernières années, les luttes, les fuites, les accusations, ajoutez-y toutes les technologies nouvelles de reconnaissance facile, de surveillance rapprochée, vous obtiendrez Face Mort de Stéphane Marchand.
Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Face mort est un logiciel ultra performant de reconnaissance faciale qui permet entre autre de traquer les terroristes qui ne manquent pas d'imagination quand il s'agit de tuer le plus de monde possible. Ici, un groupe de fanatiques travaillent à l'élaboration d'une arme chimique qui cible les victimes en fonction de leurs gênes. Une course poursuite s'enclenche entre les services secrets français et les terroristes avant que ceux-ci n'interviennent sur le sol Français.

Un roman qui nous plonge dans les coulisses de la DGSE avec tout un tas de personnes qui oeuvrent dans l'ombre. Deux personnages féminins occupent plus particulièrement la scène avec du “bon” côté la capitaine Barelli et celle qui est passée du “mauvais” côté, la libyenne Ibtissam. Un duel s'engage et une course contre la montre est activée.

Un thriller sur fond d'espionnage haletant et criant de vérité qui fait froid dans le dos.
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Le logiciel nouvelle génération Face Mort livré à la DSGE sensé utilisé les ressources du Web afin de prévenir les menaces terroristes est mal exploité et délivre malheureusement des informations fantaisistes...
Jusqu'au jour où le petit lieutenant Kabla est missionné pour apprivoiser l'intelligence artificielle.
Il y parvient avec brio,mais le résultat fait froid dans le dos : une menace imminente d'un genre totalement inédit d'une dangerosité jamais atteinte risque de frapper la France...
Un roman d'anticipation à l'ambiance suffocante qui fait réfléchir à l'aspect double tranchant des progrès scientifiques qui à la fois permettent d'espérer enrayer les maladies les plus graves mais,mis entre de mauvaises mains, ils pourraient aisément entraîner la destruction de l'espèce humaine...
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
A la DGSE, les ordinateurs avaient commencé à mouliner dès 6 heures du matin, Face Mort en première ligne. L'algorithme ne céda pas à l'émotion ambiante. Ce n'était pas son genre. Il pointa au contraire des corrélations très factuelles. Le quotidien Publico était en difficulté financière, et son deuxième plus gros actionnaire était la compagnie électrique Energias de Portugal. Celle-ci était à son tour détenue à 20 % par la compagnie d'Etat chinoise China Three Gorges. Rien de tout cela n'était bien secret. Mais là où le paramétrage fîgnolé par le petit lieutenant fit des merveilles, ce fut pour un autre lien que personne n'avait établi. Dans la galaxie des modestes filiales prometteuses que couvait la compagnie d'Etat chinoise, il y en avait une qui ne concernait l'électricité que de très loin : Smart Flower.
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Les amateurs de calcul mental apprenaient avant les autres que le futur président venait de fêter ses vingt-huit ans. Deux petites croix rouges, visibles seulement si on regardait soigneusement, surplombaient le marié et le père de la mariée. Le premier, Marwan, avait été assassiné en 2011 par un groupuscule djihadiste, même pas un an après cet heureux événement. Mais c'était l'autre décès qui attirait l'attention. Fatik Al Charouk, le très corpulent père, était mort très récemment, une mort que le journal enjolivait de mystère. Qui l'avait tué ? Pourquoi ? Que savait-il ?

La nouvelle fit rapidement le tour du monde. Tous les ingrédients d'un croustillant scandale politico-fînancier étaient réunis. L'argent, le pouvoir, la guerre. Il flottait aussi un charme étrange autour de cette révélation, car la mariée avait beau offrir un sourire ravissant, des centaines de millions d'internautes sentirent leur cœur se serrer en découvrant la photo. Dans les yeux de la jeune fille, il y avait de la crainte, comme si elle avait l'intuition, au beau milieu de ce bonheur, des catastrophes à venir.
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Le Fonctionnaire reposa le combiné. Il avait encore besoin de réfléchir. Minuit était passé depuis bien longtemps. L'Elysee était plongé dans le silence. C'était rare, il fallait en profiter. La conversation avec le Président l'avait déstabilisé encore plus que l’entrevue avec le général. Il savait maintenant qu'il était seul. Le Président ne ferait rien, il ne déciderait rien. Ce n'était pas de son niveau. C'était un job de nettoyeur. Le secrétaire général de la présidence de la République connaissait la règle mieux que personne. Toute la chaîne de commandement du palais servait un objectif avant tous les autres : protéger le chef de l'Etat. Et tomber à sa place, si nécessaire. La protection était à sens unique. C'était le prix à payer pour approcher d'aussi près le pouvoir. Le Fonctionnaire avait été choisi pour être le premier maillon de cette chaîne. C'était un pragmatique. Quand un problème n'avait pas de solution, il pouvait être utile d'éliminer le problème lui-même.
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— Mais qui est capable de fabriquer ça aujourd’hui ? demanda le Belge.

Le vieux professeur n’avait pas l’habitude d’être coupé. Pourtant, loin d’en prendre ombrage, il répondit :

— Les Chinois. L’Institut de génomique de Pékin est à la pointe sur ce sujet. Ils ont la technologie, la seule question est de savoir ce qu’ils vont en faire. Car, pour être plus clairs, les projectiles peuvent cibler les cellules cancéreuses, mais on peut aussi les programmer pour attaquer des cellules saines. Elles pourraient par exemple détruire des cellules rétiniennes et rendre quelqu’un aveugle, ou des cellules de l’hippocampe pour rendre quelqu’un amnésique. Il n’y a aucune limite à ce qui pourrait être fait. On pourrait même infecter le cerveau en y introduisant de la schizophrénie synthétique, un trouble bipolaire, ou Alzheimer. »
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Pour Publico le plus petit et le plus jeune des quotidiens portugais, le scoop était phénoménal. La photo de mariage, magnifique et bariolée, barrait toute la une. La mariée était radieuse, le marié extasié, le père attendri, les invités hilares. Le tout au milieu d'un décor somptueux qui n’aurait pas détonné dans un western. Le titre sonnait comme celui d'un blockbuster : « Un banquier nommé "Zéphyr" ». La légende était volontairement énigmatique : «Janvier 2011, Sud libyen ». Mais pour un lecteur un peu averti, il suffisait de quelques minutes pour reconnaître l'actuel président de la République française et saisir que le cliché avait été pris juste avant le déclenchement de la guerre de Libye.
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Un vent nouveau plane sur le roman d'espionnage, genre centenaire aux codes bousculés par le souffle délicieusement glacé d'une modernité en marche.
Rencontre au sommet avec deux écrivains familiers de ses codes, Marc Dugain et Stéphane Marchand, qui contribuent au renouveau du genre.
On doit à Marc Dugain la récente création d'une nouvelle collection "Espionnage" chez Gallimard. Quant à Stéphane Marchand, il publie le roman "Jusqu'en enfer" (Fleuve Éditions), une immersion en apnée au coeur des services secret français.
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