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3,78

sur 206 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est suite à la critique de Foxfire que je me lance dans la lecture de ce premier tome d'Alix. Il fallait bien que je corrige cette lacune, sachant que ladite bande dessinée se trouve dans la bibliothèque de mes enfants !

Découverte sympathique. On suit Alix, un jeune gaulois esclave qui se trouve malgré lui au beau milieu de tensions et rivalités entre puissants de Rome. Plein d'énergie et de droiture, il va affronter des dangers à de nombreuses reprises, croiser la fourberie mais aussi faire de belles rencontres…
L'histoire est agréable car dans ses aventures, Alix voyage du moyen orient à la Gaule, en passant par Rhodes et l'Italie. On ne s'ennuie pas, l'histoire est pleine de rebondissements. Y'a pas de temps morts, c'est clair.

J'ai constaté en revanche que je suivais davantage les textes que les illustrations que j'ai moyennement appréciées. Beaucoup de personnages qui se ressemblent tous… Mais n'étant pas une adepte des bandes dessinées, je ne suis pas la meilleure juge en la matière. Je fais donc juste part de mon ressenti.

Cela demeure un agréable moment de lecture.

Challenge Livre Historique 2019
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Après avoir lu la série d'Alix Senator, je voulais découvrir les origines d'Alix avec la série originelle.
Évidemment, la BD a bien vieilli et le style d'écriture est bien d'époque. Tout comme la jeunesse de Blueberry, les textes sont très descriptifs et c'est parfois assez lourd à lire et cela donne un rythme haché au récit.
Pour un premier tome cela n'est pas si mal et donne tout de même envie de connaître la suite des aventures du jeune héros.
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Ce premier épisode des aventures d'Alix date de 1948. Il raconte les péripéties d'Alix, un jeune gaulois recueilli par les romains et qui participe à l'histoire à son insu. Jeune homme courageux et loyal, Alix fait preuve d'intelligence pour se sortir des ennuis dans lesquels il a tendance à tomber. Dans cet épisode, il se fait faire prisonnier mais arrive à se libérer. Il devient le protégé d'un puissant romain et aide Rufus et Jules César à déjouer des complots.

Ce premier opus nous fait donc découvrir un univers historique, l'antiquité, et un jeune héros, Alix, gaulois mais loin d'être le barbare que l'école enseignait à l'époque. Avec un dessin minutieux et pointilleux, Jacques Martin propose ici un premier album abouti au niveau artistique. Pour une bande dessinée datant d'avant les années 50, le dessin et les couleurs sont superbes, même si nous remarquerons facilement que les techniques d'aujourd'hui sont bien différentes, il n'empêche que l'album est très bien réalisé. Je regrette seulement les bulles répétitives de la description des faits qui apparaissent dans presque toutes les cases. Même si l'auteur a étudié en profondeur cette époque pour nous retracer des faits qui se sont réellement passés et nous les expliquer de manière pédagogique, la masse d'information devient à force assez contraignante. Enfin, je trouve que le scénario laisse une part trop importante à la chance insolente du jeune héros, un peu comme les premiers albums de Tintin.

Dans l'ensemble, une très bonne dessinée qui n'a presque pas pris une ride avec les décennies qui nous séparent de sa création.
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
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Profitant du fait que la mediatheque que je fréquente est fort bien achalandée en bande-dessinées, j'ai emprunté quelques tomes de la série Alix.
Je me rappelle vaguement en avoir lu quelques albums dans ma jeunesse, ( en cachette chez mes cousins... ) et j'avais envie de me rafraîchir la mémoire.
Mon erreur a été d'emprunter ces albums juste après avoir terminé de lire la série Murena......
Je pense que je n'ai peut-être pas su apprécier complètement ce premier album de la série, étant encore imprégnée du style du duo Dufaux/ Delaby.
Les dessins sont encore un peu hésitants, avec des personnages un peu figés, voire légèrement déformés. J'avoue que j'ai eu un peu de peine avec les bulles fort remplies de commentaires, quelquefois un peu inutiles à mon avis.
L'histoire n'a pas été sans me rappeler Ben-Hur : le jeune homme qui fait tomber une pierre d'une terrasse, qui se fait adopter par un romain, la course de chars.....
Il faut cependant que je reconnaisse qu'on ne s'ennuie pas une seconde dans cet album qui est une longue course poursuite semée d'intrigues.
J'ai pu apprécier l'exactitude de certains détails historiques , comme par exemple les vêtements des guerriers sarmates.
En résumé, je pense que je lirais régulièrement un album de cette série, mais à petites doses....
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Souvenir, souvenir… Je redécouvre le premier opus des aventures d'Alix, qui date de 1956. Cette relecture m'étonne aujourd'hui, car le graphisme diffère beaucoup de celui des autres albums. Les vignettes sont petites, surchargées, et surtout les personnages me semblent dessinés d'une manière presque maladroite. de plus, le scénario est vraiment compliqué: Jacques Martin nous fait passer brusquement de l'Orient à l'Occident, avec des péripéties trop nombreuses. Par exemple, fallait-il imaginer dans l'aventure un tremblement de terre ? Quant à la course de chars, elle frise le plagiat de "Ben-Hur", etc. A côté de cela, je pense que certaines subtilités échappent aux plus jeunes lecteurs. Toutefois, le plus agaçant est encore ailleurs: un manichéisme caricatural oppose les "méchants" (notamment Arbacès) et les "gentils" (le père adoptif d'Alix, par exemple). Pour une raison obscure, Pompée est présenté sous un jour défavorable; c'est le contraire en ce qui concerne César. En fait, cette dichotomie est partout affichée dans les aventures d'Alix.
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Il est des évidences qui n'apparaissent que peu à peu au fil de ses années. Plus jeune, j'étais un lecteur assidu de Journal de Tintin que je courrais acheter chez mon buraliste dès sa sortie. Je n'aurais jamais songé à mal à propos d'Alix. Ce n'est qu'aujourd'hui après sa relecture qui vient de suivre celle des aventures de Jhen du même Jacques Martin que j'ai fini par comprendre combien ses jeunes héros blonds sont ambigus.
Dévêtu, tout au long de cette aventure où son pire ennemi se déguise en femme pour le tromper, Alix ne côtoie aucune femme. Le doute me prend et je découvre qu'effectivement l'auteur a volontairement joué sur cette ambiguité homosexuelle. Mais lorsque je songe à l'extraordinaire complaisance de Jhen pour le personnage infâme de Gilles de Rais dont il est l'ami beaucoup trop indulgent au su de ses criminelles activités pédophiles, le malaise s'installe.

En dehors de cette attention, éveillée depuis, apparaissent aussi l'invraisemblance de ses aventures aussi chargées que l'était le dessin et ses bulles. Mais rien de tout cela ne peut effacer ce plaisir nostalgique d'une enfance retrouvée en feuilletant ces pages jaunies par le temps !
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Le dessin des personnages n'était pas encore bien fini, Alix l'intrépide est le premier d'une série de 18 albums qui commence en 53 av. JC. Dans cette aventure Alix se fait un ennemi "Arbacès" qu'il retrouvera fréquemment (un peu le Olrik de Blake et Mortimer). Paru, sous formes d'épisodes dans Tintin, on sent les histoires parfois un peu décousues avec de trop nombreux rebondissements.
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Je n'avais jamais lu ce grand classique de la BD. Bien sûr on voit qu'elle est datée, le dessin comme le style d'écriture ne sont pas très modernes. En revanche, le cadre historique est bien rendu et bien documenté. L'histoire ne manque pas de rebondissements qui s'enchaînent sans aucun temps mort mais Alix échappe à tout, cela manque donc de crédibilité. Malgré tout j'ai passé un bon moment de lecture et je lirai d'autres tomes.
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Cela fait longtemps que cette série m'intrigue, puisqu'elle a à première vue tout pour me plaire : de l'aventure, de l'histoire, l'Antiquité, Rome, la Grèce, l'Égypte.
Si les dessins permettent de se plonger dans ces différents univers et regorgent de détails, le scénario m'a plutôt déçue, puisqu'il ne semble être qu'une succession de fuite et de coups de chance du héros, qui, loin de vraiment réfléchir, semble simplement porté par son destin qui lui fait rencontrer tel et tel grand personnage de l'époque.
Je me suis ennuyée à la lecture, qui ne recèle pas de grande complexité; l'aspect rebondissements sans fin et sans réelle explication finit lui aussi par lasser.
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Je n'ai jamais trop adhéré à Alix. L'histoire est, pour moi, trop linéaire. Les aventures du jeune esclave gaulois devenu citoyen romain par le concours des circonstances et pris dans les jeux de pouvoir du Trium Vira, me semble toujours trop simpliste. le jeune homme semble posséder toutes les qualités modernes. Il se comporte toujours avec honneur et ne défaille jamais. Même s'il n'a certainement aucune éducation martiale, il arrive à défaire des officiers de la légion. Si je dois reconnaître un travail sérieux de Jacques Martin, au niveau des costumes, je regrette que la société Romaine ne soit pas mieux rendue. C'est peut-être le rythme qui me dérange plus, cette impression de péripéties en cascades qui ne laissent pas le temps de respirer ou de comprendre.
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