La stabilité n'existe donc nulle part, et l'univers n'est qu'un vaste tourbillon dont nous découvrons chaque jour de nouveaux centres, qui doivent bientôt céder la place à des centres plus éloignés encore, autour desquels il se meuvent eux-mêmes.
L'histoire ne s'offrirait à nous que comme un inexplicable mystère ou un étrange caprice de la Providence, si l'on cessait d'y voir l'effet né de l'ordre universel.