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On connait certainement autant, sinon plus, Joyce Maynard, une des grandes romancières américaines d'aujourd'hui, pour son histoire d'amour avec J.D Salinger lorsqu'elle avait 19 ans (épisode rappellé dans le moyen Oona et Salinger de Beigbeder) que pour son oeuvre littéraire, pourtant de fort belle tenue,.

Cette histoire d'amour fait le sel de ce roman Une adolescence américaine, publié récemment en poche chez 10-18 mais écrit en 1973. Dans cette autobiographie écrite à 19 ans, et qui suite à un article que Joyce Maynard avait publié dans le New York Times,elle , témoigne de sa génération et . J.D. Salinger, de trente-cinq ans son aîné, va lui répondre.

Très vite, elle quitte l'université pour aller vivre chez lui. Durant leur liaison orageuse, elle donne suite à cet article et raconte avec une désarmante maturité : la guerre du Vietnam, Woodstock, la télévision et la minijupe, l'(in)égalité des sexes, les prom nights– une jeunesse américaine, dans un monde en mutation.

Mêlant avec une vraie maitrise mémoires, histoire culturelle et critique sociale, cette biographie écrite dans la maison de Jerry Salinger ( excusez du peu) et dans la foulée de cet 'article pour le New York Times Magazine, est une plongée saissisante et percutante dans l'esprit des sixties. qui nous ont rarement paru aussi perceptibles que dans ce beau et puissant texte.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Une adolescence parmi d'autres dans les années 70 pour une jeune fille plutôt originale, même si elle aurait aimé se conformer davantage au modèle dominant… Je remarque que dans tous ses romans ou textes non fictionnels, on retrouve toujours des adolescents chez Joyce Maynard, un garçon dans Long week-end, des filles devenues mères dans Baby love, deux jeunes femmes dans Les filles de l'ouragan, deux soeurs adolescentes aussi dans L'homme de la montagne. Ces jeunes gens qui habitent dans de petites villes américaines ont sans doute quelque chose de leur créatrice.
Concernant Une adolescence américaine, la jeunesse de l'auteure est bien palpable dans ces textes, et si on se retrouve bien dans certains souvenirs, cela marche un peu moins bien avec d'autres… même si on se souvient toutes d'avoir été snobée par une grande blonde, au rire en cascade comme ses boucles de cheveux, l'une des plus populaires bien sûr, si on reconnaît aussi les petits mots qui passaient entre les rangées de tables au collège, si on connaît (chez les autres uniquement) l'obsession du look parfait, d'autres aspects sont plus américains, comme les clubs scolaires ou les bals de promotion. le petit défaut de ces chroniques, et leur charme aussi, est d'avoir été écrites à peine quelques années après l'adolescence de l'auteur, entre dix-huit et dix-neuf ans, mais ce manque de recul est plutôt rafraîchissant. Si certains chapitres sont marqués du sceau de leur époque, la guerre du Vietnam, la mort de Kennedy, les Beatles, d'autres sont plus intemporels, malheureusement, les comportements adolescents qui se reproduisent de générations en générations n'étant pas toujours les plus faciles à vivre.
Ce n'est sans doute pas le livre avec lequel commencer pour découvrir Joyce Maynard, quoique le plus logique puisque ce sont ses premiers écrits, qui dénotent déjà d'une jolie plume pour son âge. J'avoue toutefois que ce que j'ai trouvé plus d'intérêt à la préface écrite en 2012 par l'auteur qu'à ces chroniques sympathiques mais pas transcendantes.
Lien : http://lettresexpres.wordpre..
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Ce livre de Joyce Maynard, publié en 2013 par Philippe Rey, a été écrit en 1972 par la romancière alors qu'elle n'avait que 19 ans. Il s'agit d'un recueil de chroniques ayant pour thème ses années d'adolescence : de 1962 à 1972. Avant ces chroniques, une très intéressante préface, écrite par Joyce Maynard en 2012, restitue l'ouvrage dans son contexte de l'époque. On apprend notamment qu'au moment de l'écriture de ces chroniques, la jeune fille avait abandonné ses études pour vivre avec le célèbre écrivain Sallinger (il avait trente ans de plus qu'elle).

J'ai pris mon temps pour lire ces chroniques, à la fois sérieuses et très fraiches. Certains thèmes m'ont davantage parlé que d'autres, ne connaissant pas tous les détails du contexte politique et culturel de l'époque aux Etats-Unis. J'ai pu faire toutefois le rapprochement avec l'évolution des moeurs en France à la même époque : mai 68 notamment.

Joyce Maynard a vécu ses années jeunesse en observant ce qui se passait autour d'elle, en étant un peu décalée par rapport aux autres (elle ne buvait pas, ne se droguait pas, n'était pas une fille "populaire"). Son regard distancié est intéressant. Sur certains points, elle est toutefois parfaitement en phase avec les autres filles : le culte de la minceur (déjà), l'obsession de l'apparence (ça s'est aggravé depuis, hélas...).

D'un milieu plutôt aisé, Joyce Maynard n'aborde pas ici l'adolescence des jeunes gens de milieux défavorisés. le roman qu'elle a écrit juste après, "Baby Love", complète assez bien, de ce fait, "Une adolescence américaine". J'ai trouvé que les deux livres formaient, d'une certaine façon, un dyptique.

Une auteure dont je sens que je vais tout lire !

PS : je ne me lasse pas de regarder la photo de cette couverture, qui représente Joyce Maynard adolescente... Comment ne pas avoir envie d'en savoir plus sur l'adulte qu'elle est devenue ?

Lien : http://sylire.over-blog.com
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Heureusement qu'il y a la préface réécrite par l'auteure en 2012, elle nous éclaire bien sur la teneur des écrits qui suivent. Il faut bien comprendre qu'elle était très jeune quand on lui a commandé ce livre : écrire sur les adolescents de l'époque. J'ai trouvé ce récit très américain, forcément, on retrouve presque des clichés de ce que nous de l'autre côté de l'océan pouvons connaitre par la TV ou le cinéma.
Ma fois, j'ai apprécié me plonger dans les années 70.
Pour un premier livre, j'ai ressenti une certaine maturité dans le style, une jolie plume prometteuse. Vu que je n'ai rien lu d'autre que ce présent roman, je pense pourvoir tenter d'autres titres dont qui m'attend quelque part sur mes étagères.
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Ce livre a été écrit en 1972 par Joyce Maynard alors qu'elle n'avait que dix-neuf ans. Un an plus tôt, cette jeune fille s'était retrouvée sous les feux de rampe grâce à un article paru dans le New York Times. Devenue un modèle représentatif de la jeunesse américaine, des centaines des lettre lui parviendront. Parmi elles, une de J.D. Salinger, l'écrivain de L'attrape-coeurs. Sa relation avec J.D. Salinger a fait l'objet d'un livre Et devant moi, le monde. Une adolescence américaine s'inscrit dans la suite de son article sur la jeunesse américaine. Paradoxalement, Joyce Maynard se trouve souvent en décalage avec les jeunes de son âge. Et avec regard doublé d'une certaine distance, elle nous offre le portait de toute une génération dans un contexte politique, social et culturel.

Sans s'arrêter à l'observation, elle parle d'elle. La jeune fille avec ses préoccupations de fille, son enfance, ses envies professionnelles, son rapport à l'écriture. Brisant certains idées reçues en décrivant sa génération "nous sommes fatigués, souvent plus par ennui que par dépenses physique, vieux vant d'être sages, connaissant le monde non pour m'avoir parcouru mais pour l'avoir vu à la télévision. Chaque génération pense qu'elle est spéciale. (...). Ma génération se distingue davantage par ce que nous avons manqué que par ce que nous avons gagné car, dans un certain sens, nous sommes à la foi les premiers et des derniers. Les premiers à considérer la technologie comme allant de soi. Les premiers à grandir avec la télévision. (...). Nous avions les Beatles, mais pas ceux de l'époque où ils étaient mignons et se ressemblaient tant avec leurs costumes assortis et leurs chansons qui vous faisaient pleurer. Ils nous sont tombées dessus comme une mauvaise blague - plus vieux, barbus, mal accordés. Nous avons hérité de la guerre du Vietnam juste après le début de la vague - trop tard pour brûler les cartes d'incorporation et trop tôt pour ne pas être incorporés. "
Une génération qui n' a pas connu les problèmes d'argent et qui sans renier l'argent " jouait au pauvre et vivait en riche", qui a consommé de la drogue ( l'auteure dit avoir goûté mais sans y trouver d'intérêt).

Une période où être populaire au lycée signifiait être influent, exister aux yeux des autre. Rien n'a changé....
Le culte du paraître toujours et encore, celui de la minceur entrainera Joyce Maynard dans le cercle de l'anorexie.

De ce témoignage ancré dans L Histoire, l'intemporalité et l'universalité de certains sujets sont frappants. Tout comme le regard mature et les réflexions de Joyce Maynard. Un livre devenu hérisson par le nombre de marque-pages que j'y ai inséré..

L'avant-propos rédigé à l'occasion de la sortie de ce livre en France par l'auteure est touchant par sa sincérité.
Je ne me lasse pas de lire cette auteure ( Baby love , Et devant moi, le monde, Les filles de l'ouragan), de la découvrir avec ce sentiment particulier de nouer un lien comme avec Annie Ernaux.

Lien : http://fibromaman.blogspot.f..
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Ce n'est pas un secret pour ceux qui suivent ce blog, j'aime vraiment beaucoup Joyce Maynard. J'ai lu plusieurs de ces romans, dont un coup de coeur avec Long week-end, qui est une histoire absolument magnifique. Je peux aussi citer Les filles de l'Ouragan, Baby Love ou encore L'Homme de la montagne.


J'adore son style et elle fait partie des auteures dont je veux découvrir tous les ouvrages. J'avais vu passer ce livre en bibliothèque, mais je ne l'avais pas pris tout de suite. Quand je l'ai vu en librairie en poche, je me suis laissée tenter.


Ce livre est découpé en plusieurs chapitre, un chapitre par an. Cela commence en 1962 et cela termine en 1973. Avant cela, il y a une première préface datant de 2013, spécialement pour la première édition française, puis une deuxième préface qui date de 2012, lors d'une réédition j'imagine. Et enfin, il y a la préface d'origine. Oui, cela fait beaucoup de préfaces avant d'entrer dans le vif du sujet!

J'ai été un peu déçue, je dois le dire. Je préfère nettement ses oeuvres de fiction. Je l'ai lu d'un bout à l'autre, assez rapidement mais je n'en ressors rien de particulier. Certaines chroniques étaient intéressantes, mais plusieurs jours après l'avoir fini, quand j'essayais de me rappeler certains passages, j'avais un peu de mal.
Son style est agréable, bien que moins dans ses romans je trouve, mais tout de même agréable.


J'ai eu du mal à éprouver un intérêt particulier pour cette génération et cette époque que je ne trouve pas particulièrement intéressante. Peut-être que j'en ai déjà trop entendu parler?


Le seul problème qu'on pourrait trouver – et qu'elle avoue d'ailleurs sans problème – c'est qu'elle n'est pas très représentative de l'adolescent moyen de ces années-là. Elle les observe -de loin- est capable de les décrire, mais n'a pas « vécu » les expériences de ses camarades. Comme elle le dit aussi très justement, c'est de son milieu social dont elle parle, un milieu plutôt favorisé, mais qui n'était pas le milieu prioritaire du pays.


De plus, elle écrit à 19 ans sur l'adolescence. On peut dire qu'elle manque un peu de recul, ce qui en fait un témoignage très frais certes, mais un peu sévère parce que cette période de sa vie n'a pas encore eu le temps de « reposer » dans son esprit.

On voit ses pensées sur la guerre du Vietnam, le culte de l'apparence ( ou plutôt le culte de la maigreur qui fait son apparition) les drogues et relations sexuelles chez les adolescents, la révolution culturelle avec les Beatles…


———————————————

C'est la première fois que Joyce Maynard me déçoit un peu…j'ai bien aimé cette lecture, mais sans plus. Cette génération ne m'intéresse pas tout simplement.

Mais je n'oublie pas de prendre en compte son âge au moment de l'écriture. Elle s'est améliorée sans problème! Je préfère tout de même ses livres de fiction et je vous conseille de commencer plutôt avec un des autres romans que j'ai cité en début d'article.
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Dans ce livre composé d'articles publiés dans différents magazines américains et écrits quand l'auteure avait environ dix-huit ans, elle dresse un portrait d'une certaine jeunesse américaine des années soixante. Elle appuie parfois sur des points très intéressants, comme le fait que si pour un garçon, il est assez facile de trouver une équipe à laquelle appartenir, la seule équipe possible dans son école, c'était celle des pom-pom girls dont Joyce Maynard n'a jamais fait partie. Elle critique aussi l'enseignement et cette impression qu'elle a eue et que nous, français ne connaîtrons que plus tard je pense, de servir de cobaye à de nombreuses expériences sans cesse abandonnées, comme celle de ne plus mettre de notes ou au contraire, d'utiliser un tableau d'honneur. Elle explique très bien le sentiment d'appartenance à cette génération Beatles et la révolution que fut ce groupe pour les jeunes d'alors. La manière dont elle oppose Les Beatles et les Rolling Stones me paraît extrêmement pertinente.
On se reconnaît dans l'adolescente qu'elle fut, celle qui est toujours dans les dernières à être choisie quand on compose une équipe. Bref, elle touche. Mais elle a aussi, bien sûr, les défauts de sa jeunesse (et dans l'avant-propos, Joyce Maynard le reconnaît), ce manque de recul par rapport à certaines de ses grandes idées.
Lien : http://vallit.canalblog.com/..
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Joyce Maynard raporte dans ce petit récit son adolescence de 1957, ses 12 ans à son entrée en faculté. A 18 ans elle a écrit au directeur du New York Times pour lui proposer des articles. Cet audace a été le premier pas vers son succès littéraire.

Mais Joyce Maynard écrivait déjà depuis longtemps puisqu'elle a commencé, dès le CM2, à  écrire des textes pornographiques pour ses camarades avides de connaissances sur le sexe.

S'il s'agit bien de sa génération, celle dans laquelle elle s'est fondue,  dont elle parle, a lucidité avec laquelle elle aborde son vécu, me l'a présentée comme un peu extérieur à ce monde ou est-ce déjà la preuve de toute l'intelligence de ce texte.

Elle nous livre les coquetterie, les premiers bals, l'introduction des fast food, de la mal bouffe, les différentes modes, les drogues, l'apparition des jeux télévisés ajoutant de la futilité En fond, de nombreuses références aux évènements qui ont marqué les années 60 à 70 : les Kennedy, Woodstock, l'apparition du mot “pollution”. J'ai aimé les références à la grande histoire en arrière plan pour nous situer dans le temps et attirer notre intêret .

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Je suis toujours curieuse d'en apprendre plus sur la vie des écrivains que je lis aussi je n'ai pas hésité longtemps avant de lire Une adolescence américaine, autobiographie dans laquelle Joyce Maynard raconte son enfance et adolescence. L'ouvrage est paru aux Etats-Unis en 1973, alors que l'auteur avait à peine 19 ans. Il fait suite à un article que Joyce Maynard avait publié dans le New York Times, dans lequel elle revenait sur sa jeunesse – bien qu'à 19 ans, on est encore bien loin d'être vieille ! Pour la petite histoire, elle avait décroché cet article au culot, en suggérant au directeur du journal de lui commander un article.

Le fait d'écrire ses « mémoires » à seulement 19 ans est autant un avantage qu'un inconvénient. D'un côté, ses souvenirs sonnent terriblement vrais ; on ne peut pas lui reprocher d'avoir comblé les trous de sa mémoire en enjolivant la réalité. D'un autre, elle manque bien évidemment de recul sur cette période de sa vie.
Certaines chroniques trouvent écho même de l'autre côté de l'Atlantique, à quarante ans d'intervalles : les petits mots échangés en classe pendant que le prof ne regarde pas, les préoccupations de look, de popularité, les garçons. D'autres sont bien plus américaines mais nous semblent peu étrangères ; les bals de promo, test d'admission à la fac et clubs scolaires ont fait l'objet de nombreux films et séries télé.

A 19 ans, Joyce Maynard affirmait déjà son style. J'ai d'ailleurs été agréablement surprise car toutes les autobiographies ne sont pas aussi agréables à lire. Par moment, j'oubliais presque que l'héroïne d'Une adolescence américaine n'était pas un personnage de fiction mais bien l'auteur. Pas de grandes révélations (pour cela, il faut peut-être lire Et devant moi le monde dans lequel elle revient sur sa relation avec J.D. Salinger – mais je ne peux dire, je ne l'ai pas lu), juste la vie d'une adolescente dans les années 1960, entre les Beatles et Jackie Kennedy, la course spatiale et la guerre du Vietnam.
Lien : http://milleviesenune.com/un..
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J'avais un peu peur de lire ce texte parce que je trouve Maynard assez inégale, et que je craignais qu'il se rapproche de Et devant moi le monde qui m'avait tellement ennuyée… En même temps, dernièrement, Baby Love m'avait bien plu et puis ma foi, en cette période où je ne termine pas les livres, je m'étais dit qu'un de plus un de moins … Alors je me suis lancée, et j'ai eu du mal. Non pas du mal à rentrer dedans parce que, la bougresse, elle sait écrire et me donner envie de lire la suite, mais du mal à m'intéresser réellement durant la première moitié du livre, probablement parce que les deux préambules sont de trop. Elle s'y montre en donneuse de leçons et ça m'a beaucoup déplu. Par contre, ensuite, on la suit dans une adolescence pas si difficile qu'elle le pense mais qui, surtout, ne peut que faire penser à tous ces films, toutes ces séries, tous ces romans qu'on a lus et qui décrivent l'adolescence américaine à tel point qu'on a l'impression de l'avoir soi-même vécue.

Du coup, on est emballée par cette description de vêtements, de ventes de gâteaux, de « prom », d'options bizarroïdes et d'inscription en fac. Tout simplement parce qu'on a l'impression de reprendre un autre roman, une autre histoire, là où on l'a laissée. On peut regretter un certain manque d'originalité, ou un côté « pauvre petite fille riche » mais enfin tout ce texte (je ne peux pas vraiment dire roman) a un côté primesautier qui m'a assez plu, un côté plan-plan qui fait qu'on se sent à l'aise comme dans une bonne vieille paire de charentaises. Et même si, parfois, c'est agaçant, c'est probablement parce que je n'ai pas encore atteint l'âge de regretter mon adolescence.

Pas la lecture du siècle donc, mais un petit feel-good roman dont il ne faut pas trop attendre pour pouvoir profiter de son côté presque universel.
Lien : http://www.readingintherain...
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