Le mec de la tombe d'à côté

L'humour à la suédoise ce n'est pas pour moi ! Je me suis tellement ennuyée à la lecture de ce livre. Je suis allée au bout car j'étais partie quelques jours avec ce seul livre. Mais rien de rien, il ne m'a rien apporté, j'espérais au moins une fin originale, là aussi déception, pour moi ce n'est pas une fin, il manque au moins un chapitre. Quoique les 250 pages m'ont largement suffi !!

Elle est bibliothécaire, citadine, elle s'appelle Désirée.
Il est fermier, vit sur son tracteur, et s'appelle Benny.
Ils ont le même âge.
Ils se rencontrent au cimetière, elle a perdu son mari, et lui ses parents. Les tombes sont voisines.
Et si c'était le coup de foudre ?

Bref, ça commence comme un film de Noël. Ce livre m'avait l'air original, et très drôle. le procédé qui alterne le narrateur de chaque chapitre était bien maitrisé.
D'où une grosse déception ! C'est vulgaire, ça ne va pas au fond des choses, c'est plein de caricatures ville vs campagne, ça nous balade dans tout le livre, et ça ne répond pas à la question.
Un livre que j'oublierai très vite.

À la recherche d'un petit roman feel good, je me suis laissée conseiller celui-ci : "très drôle"
Je ne suis pas une grande connaisseuse d'humour suédois, loin sans faux, mais je me suis dit qu'il fallait tester. Et puis le titre présageait au moins une petite dose d'absurde qui peut être appréciable.
Quelques belles citations au début qui donnent envie de pousser un peu et de découvrir ces personnages, caricaturaux certes, mais une petite curiosité de savoir comment ils vont s'entendre et se trouver des points communs pour que naisse une belle histoire....
Une fois le livre refermé (heureusement qu'il est court)... Je cherche encore. Il n'y a rien. Les intrigues secondaires m'ont presque semblé plus intéressantes.

A la moitié, j'ai dû abandonner la lecture de ce livre tellement je n'ai pas apprécié la façon dont il est écrit mais aussi l'histoire qui est fade et ennuyeuse. Rien ne ressort de ce livre, il est pour moi sans intérêt, tout du long on attend des rebondissements qui n'arrivent jamais, aucune émotion, je suis vraiment très déçue d'avoir perdu mon temps à lire ce livre.

Le meilleur chapitre de ce récit est le premier : la rencontre de Benny et Désirée. La tombe du mari de Désirée est proche de la tombe de la mère de Benny. Un jour, ils se sourient et c'est le début d'un amour. Mais Désirée est une bibliothécaire solitaire dans un appartement impeccable tandis que Benny est éleveur et s'occupe seul de ses vaches : deux vies, deux univers pas vraiment compatibles.. C'est là qu'on sombre dans le cliché, débité sur le ton de la tragicomédie. Un chapitre du point de vue de Benny ; le suivant , du point de vue de Désirée. Deux êtres qui ne peuvent pas s'accorder, parce qu'ils viennent d'univers sociaux différents ou parce qu'ils sont trop différents, simplement. J'ai eu l'impression d'avoir lu plein de fois cette histoire et parfois bien mieux racontée. Certes, la fin est un peu décalée mais ne rachète pas totalement l'ensemble.

Fan des clichés poussifs ? Ce roman est pour vous ! D'un côté, la bibliothécaire, forcément intello, fan d'opéra et de poésie, fraîchement veuve mais pas vraiment éplorée, avec l'horloge biologique qui la travaille. de l'autre, un paysan, bourru et bourrin, crado et bas de plafond, vieux garçon qui vient de perdre sa maman. Et une histoire d'amour éclot entre ces 2 là, que tout oppose. Enfin, une histoire d'amour, c'est vite dit, car elle n'a de cesse de vouloir le changer (le sortir de sa pauvre condition de bouseux) et lui, il veut juste une bonne pour se mettre les pieds sous la table et le satisfaire au lit. Voilà voilà... Aucun intérêt !

J'ai emprunté ce livre a ma bibliotheque car j'en avais entendu parlé. le début l'a plus mais presque arrive a la fin, j'ai abandonné ça lecture. Je n'accroche vraiment pas. Je n'arrive pas a savoir ou veut en venir l'auteur.
Extrement deçu mais on ne peut pas aimer tous les livres qu l'on lit.

Ma lecture remonte à très longtemps et m'a marqué … mais pas dans le bon sens. J'avoue avoir eu du mal à saisir l'engouement autour de ce livre. Pour ma part, ça a été une épreuve de le terminer. Je n'aime pas lâcher un livre en cours et je me suis donc forcée à le lire jusqu'au bout, mais j'ai achevé ma lecture avec grande difficulté. La grossièreté utilisée par l'auteure m'a profondément dérangée et les personnages manquent de relief à mon sens. L'alternation des deux points de vue aurait pu être intéressante, mais elle rend l'histoire répétitive. le résumé promettait pourtant une belle histoire, mais mon enthousiasme a vite été douché.

De la Suède, je ne connais pas grand chose : le génial Ikéa et ses dédales aux petites babioles "innocemment" disposées ça et là qui ne manquent pas de remplir nos caddies gonflés de satisfaction, et les Krisprolls à la simplicité addictive (crounch crounch crounch)...
Et c'est à peu près tout. Voyez mes lacunes ! Ah non, je connais un peu la littérature suédoise, ou du moins le plus souvent, ce qu'on appelle les romans feel-good... "Vieux, râleur et suicidaire : La vie selon Ove", "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", "La bibliothèque des coeurs cabossés",... Autant de piètres souvenirs !

Gloups ! En voyant que l'auteure du "Mec de la tombe d'à-côté" était suédoise, je me suis dit que ça partait mal, mais pas complètement butée non plus, je me suis dit "voyons voir, peut être une bonne surprise". Que nenni ! Je suis définitivement fâchée avec l'humour suédois. C'est peut être culturel après tout ?

L'histoire est simple : un gars du genre paysan (j'ai failli dire gros bourrin pour coller avec le style) mais vraiment le bouseux sans finesse, sans culture (à part celle de la terre, ahaha ! qu'est-ce que c'est drôle, non je déc... !). Benny est trentenaire, exploite une ferme et vivait avec sa maman qui vient juste de mourir...
Et puis, dans le cimetière, la tombe d'à-côté c'est Désirée (qui porte bien mal son nom), une trentenaire aussi, (jeune-veuve-pas-éplorée-qu'on-se-demande-ce-qu'elle-fait-là-finalement-à-part-pour-coller-à-l'histoire), transparente comme un vase, un peu nunuche et décalée.
On ne passe pas à côté des clichés pour l'un comme pour l'autre, ça frôle le caricatural, le grotesque, le grossier, le vulgaire.
Ils se lorgnent du coin de l'oeil d'un air mi-agacé, mi-méprisant. Et puis je vous le donne en mille : ils découvrent l'un l'autre, après un sourire et une répartie pas trop concon que finalement, le mec/la fille d'à-côté n'est pas si tarte finalement ! Bon sang, on ne s'y attendait pas !
Mais s'il y avait autre chose que ce postulat de départ des opposés qui s'attirent déjà tant de fois exploités en littérature, en télé et au cinéma, une histoire, une profondeur, de l'humour, on sauverait les meubles (en kit bien sûr !... décidément qu'est-ce que je suis drôle !... arf !), mais... nan !

Je ne peux même pas dire que j'ai passé un moment sympa (car oui parfois, on peut aimer la simplicité, le sans prétention, bien amené ça peut même être chouette !). Mais là, non, je file manger des Krisprolls chez Ikéa pour me réconcilier avec la Suède ! Ahahahha !

Avec + de 700 critiques, j'hésitais à en rajouter une...
Quand je l'ai eu terminé, je n'y croyais pas, on dirait qu'il manque un chapitre. ça ne se fait pas de terminer comme ça. Il n'est écrit nulle part qu'il est en deux volumes, et d'ailleurs, pourquoi un deuxième volume ? Ceux qui ont apprécié le "mariage" de la carpe et du lapin en veulent peut-être encore. Leur façon de ne pas se dire les choses est lourde. Enfin, qu'ils se débrouillent, je n'en lirai pas plus, avec une fin comme ça (un milieu comme ça et un début comme ça), j'en ai eu assez. Ce n'est pas mon style d'humour. C'est suédois, peut-être.
Ça me fait penser à "Le monde selon Garp", "elle" veut un enfant de "lui", ça fait très biologique, mais pour le reste... c'est un peu préhistorique. C'est peut-être pas mal dans le genre, et comme il en faut pour tous les goûts, j'arrête de casser du sucre sur ce livre qui ne m'a rien fait (presque).