« À ces retrouvailles qui ne furent qu’un mirage. Je me souviens de cet été. Il était semblable à la lumière de tes yeux. Je m’en allais au loin, ne sachant que faire. Ma respiration fut coupée, trahie. Mon corps fut transpercé par cette immense douleur. J’étais dans un état pitoyable, déplorable. Tout me paraissait comme dans un rêve, pire un cauchemar apparent. Qui me semblait si vivant.
Quand je te voyais, je me sentais respirer, voyager. Délice des mots e... >Voir plus