Comme un article récent paru dans télérama ( valeur sûre des magazines de tv qui refuse de rejoindre le marigot de tous les autres, qui se vautrent dans une pipolisation d'une vulgarité sans nom flattant une très large majorité de gaulois réfractaires lobotomisés par les réseaux sociaux et autres téléphones portables, artifices pour faire croire à tous ces gogos qu'ils ont une vie sociale.
Bref, télérama se pose la question : "qu'est-ce qui fait qu'un film devient culte?"
Pour un auteur qu'en est-il ?
son nombre de livres? ses histoires,? son style?
Bernard MINIER est parait-il un écrivain à succès!
Pendant presque 40 pages, une description insignifiante de cette insipide coupe du monde 2010, que tous les médias français n'ont traité que sous le seul angle du fait divers.
une insulte hypothétique, une grève pathétique, symbolique de la france et de la lobotisation du cerveau des footballeurs, que tous les laborieux smicards idéalisent comme des dieux.
MINIER a t'il succombé à la mode de l'information made in " gala, voici, paris match, détective,...?
Une histoire rocambolesque qui n'a pas grand intérêt et qui met en avant le passé de SERVAZ ne manière malhabile.
Dés étudiants au coeur de l'intrigue, avec toujours ce suisse en arrière plan...
Après
GLACE et AU BORD DE l'ABIME, 3ème lecture...3fois bof