Nuit

Où on retrouve Martin Servaz, le flic toulousain aux prises avec Julian Hirtmann ce tueur insaisissable avec qui il joue au chat et à la souris depuis de nombreuses années, dès glacé le premier roman de Bernard Minier.

Ici,  il est associé à Kirsten Nigaard, une flic norvégienne, peu bavarde et tout aussi obsédée par le même tueur.  

Intrigues et personnages secondaires, tout est bien amené, et ce nouvel opus est tout aussi palpitant que les précédents ... 

Bref, j'ai aimé ! 

Vivement le prochain ouvrage de cet auteur !
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Tome 4 et j'aime toujours autant. Lisez mes commentaires de glacé, le cercle et n'étains pas la lumière. Je suis toujours du même avis.

Jamais un auteur de thriller n'avait réussi à me captiver autant et sur autant de tomes. J'ai plutôt tendance à les fuir. Avec Bernard Minier ce n'est pas le cas.

Enfin ! La suite des aventures de Martin Servaz et de Julian Hirtmann ! Nous l'attendions tellement... la voilà.

Finalement, je ressort de cette lecture plus que mitigée.. je resterai vague dans ma critique afin de ne pas spoiler les éventuelles personnes passant par là et n'ayant pas encore lue cette suite.

Le livre démarre sur les chapeaux de roues avec un épilogue autour d'un nouveau personnage: Kirsten Nigaard, inspectrice Norvégienne. Cet épilogue nous laisse d'ailleurs sur un fond de questions.
Kirsten est une femme sombre, froide, qui semble cacher énormément de choses. Tout au long de notre lecture règne autour de ce personnage une ambiance particulière nous plongeant en pleins doutes et questionnements.

On retrouve forcément Martin, notre cher Martin! Lui aussi démarre sa réapparition sur les chapeaux de roue... Je n'en dirais pas plus. Un plaisir de le retrouver, de retrouver sa fine équipe (notamment Samira et Vincent Espérandieu) même si celle ci est plus que mise de côté dans ce tome... Quel dommage.

Malgré de nouveaux personnages plus que nombreux, jusqu'à parfois se mélanger un peu, j'ai trouvé dans ce tome quelques longueurs que je ne connaissais pas auparavant pour Bernard Minier. On met du temps à plonger véritablement dans l'histoire, notamment à faire le lien direct avec Julian Hirtmann.

Le face à face a finalement bel et bien lieu mais s'est avéré quelque peu décevant. Par rapport à certaines longueurs que j'aurais évité, j'aurais souhaiter que cette confrontation soit plus développée.

Je ne dirais rien sur la fin, hormis le fait qu'elle fut trop rapide pour moi, un peu cuicui sur certains points, et pas assez détaillée sur d'autres. J'ai été très frustrée concernant le dénouement autour de certains personnages.

J'ai apprécié malgré tout ma lecture et ai été heureuse de retrouver cette suite. Bernard Minier a le don de nous créer une ambiance réaliste, sombre et de faire vivre ses personnages ainsi que leur histoire passée.

Concernant les dernières lignes, J'ai apprécié être plongée dans le futur, même si selon moi ce passage reste très rapide par rapport à Gustav. La fin ouverte me laisse perplexe. Je suis heureuse de savoir qu'il est possible que d'ici plusieurs mois je retrouve de nouveau Servaz. Je me questionne par rapport à Marianne et aimerait avoir une suite dans un prochain tome. Mais ce qui prend le dessus sont mes doutes globaux sur une éventuelle suite. Est ce que cela ne sera pas de trop?? A voir si suite il y a, et quelle suite...

Cela commence dans un train en Norvège, puis sur une plate forme pétrolière en mer de Norvège, puis cela continue à Toulouse et à Saint Martin dans les Pyrénées, avec une petite incursion en Autriche pour la fin.

Un psychopathe suisse qui réapparait, une mystérieuse enquêtrice norvégienne, un non moins mystérieux enfant, un coeur perforé d'une balle sur le toit d'un wagon de marchandises, un couple de pervers sado maso, un chalet dans la montagne, un chef d'orchestre et un chirurgien autrichiens, tels sont une partie des ingrédients de ce roman touffu et plein de rebondissements. Sans oublier le boeuf- carottes obstiné à faire chuter Martin Servaz.

Le twist final est assez surprenant et inattendu.

Encore une fois, la météo joue un rôle important dans ce livre. Il neige beaucoup et il fait toujours froid.

Je continue à lire dans l'ordre chronologique l'oeuvre de Bernard Minier. Oui je sais, j'accuse un certain retard, à ce jour et sauf erreur de ma part, l'auteur en est déjà à son onzième thriller. Nuit est son cinquième roman et marque le retour de son personnage fétiche, le commandant Martin Servaz, figure désormais mythique de la littérature policière française. Bernard Minier avait délaissé le commandant le temps d'Une putain d'histoire. Un one-shot tonitruant dont l'action se déroule loin, très loin à l'Ouest, américain. La parenthèse se referme avec Nuit. Retour aux sources et aux basiques. Certes l'histoire commence en Norvège et s'achève en Autriche, mais l'essentiel de l'action se déroule dans ce Sud-Ouest français si cher à l'auteur. Qui prend de nouveau un malin plaisir à malmener son personnage phare, pauvre Martin.

Qui se prend d'entrée de jeu une balle et se retrouve plongé dans le coma. Dont il ressortira, changé. Et profondément marqué. Mais ça ce n'est rien à côté de ce qui l'attend ensuite, à savoir un nouveau duel avec son ennemi de toujours, le tueur en série Julian Hirtmann, qui continue à semer la terreur et la mort partout où il passe.

Accompagné cette fois-ci de l'énigmatique inspectrice norvégienne Kirsten Nigaard, Martin Servaz se lance dans une chasse à l'homme haletante, une traque peu ordinaire. Avec son style musclé et diablement efficace, Bernard Minier signe une nouvelle histoire riche en suspense et en rebondissements. Cependant, dans cette série policière consacrée au commandant toulousain, j'ai préféré, à ce jour, le cercle et N'éteins pas la lumière. On verra ce qu'il en est par la suite, avec Soeurs.

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Comme je m'en suis déjà aperçu, la présence du tueur Hirtmann dans ce livre me gâche (un peu) le plaisir, même si j'aime toujours les livres de Minier. Et l'histoire de Gustav, le fils de Servaz, toujours très impliqué personnellement dans les intrigues est un peu alambiquée. C'est toujours efficace cependant et on se laisse prendre au jeu, même si on sent que l'utilisation des rebondissements commence un peu à être exagérée. Ce n'est pas e meilleur policier de Minier, mais ça tient la route, sans aucun doute.

C'est toujours un plaisir pour moi de lire un roman de Bernard Minier. Depuis le tout premier, j'aime son univers. J'aime ses personnages et les intrigues qu'il tisse. J'aime cette écriture fluide où l'on dévore les chapitres les uns après les autres sans s'en lasser. Où l'on tient à savoir comment ça va se terminer, qui sera encore en vie, comment Servaz va s'en tirer une fois de plus.

Je suis fidèle à Bernard Minier depuis " glacé " mais finalement on s'essouffle un peu à retrouver toujours les mêmes personnages .
Une jeune femme est retrouvée assassinée dans une église .On appelle Kristen Nigaard inspectrice norvégienne pour enquêter et très vite on découvre qu'elle travaillait sur une plateforme pétrolière en mer . Un ouvrier est porté disparu , il n'a pas rejoint son poste après sa semaine de repos .Cet ouvrier s'appelle Julian Hirtmann , ce tueur insaisissable que Martin Servaz connait et poursuit depuis toujours .Kristen prend alors la direction de Toulouse ville où vit Servaz .Leur seul indice consiste en un nom trouvé dans la cabine de Hirtman " Gustav ".
Tous les deux vont unir leurs efforts pour traquer le tueur mais qui mène la danse ? On se le demande bien .

C'est mon premier roman de Minier que je lis. J'avais vu la série adaptée de ces romans. "nuit" étant la suite.
On retrouve la suite des aventures de SERVAZ mais l'enquête que j'avais apprécié lors de la série, je ne l'ai pas retrouvé dans le roman.
J'ai tout de même aimé ce roman.

Dans Nuit, nous retrouvons Martin Servaz toujours pas au mieux de sa forme après quelques jours de coma suite à une arrestation mouvementée.
Martin voit arrivér la police norvégienne sous les traits de Kirsten Nigaard. La jeune femme arrive en France pour poursuivre son enquête sur le meurtre d'une femme qui travaillait sur une plate-forme offshore. Lors d'une fouille, elle a trouvé des photos de Martin, dans la cabine d'un dénommé Julian Hirtmann.
Avec les photos de Martin, il y a celle d'un petit garçon, au dos un nom : Gustav.
Martin et Kirsten vont partir à la recherche de cet enfant avec l'espoir de retrouver Hirtmann.
Les événements s'enchaînent, Martin est mis à rude épreuve aussi bien mentalement que physiquement.
Nous retrouvons également les personnages secondaires : Samira, Vincent qui vont être amenés à douter de Martin qui a été obligé de s'enfuir alors qu'il est soupçonné de meurtre.
Il se passe beaucoup de choses, mais tout est bien orchestré avec ce qu'il faut de rebondissements et une fin en points de suspension.
Bernard Minier a encore su nous embarquer dans le sombre et le sinistre : dans sa nuit.