Sa majesté royale, le Prince Ali, prince arabe, est myope comme une taupe. Il tente de le cacher aux autres car il ne veut surtout pas porter de lunettes. Hélas, quand il se met à confondre les gens, il est évident qu'il lui faut porter des verres correcteurs. Sa mère l'amène voir un optométriste et c'est sans appel: il lui faut des lunettes! On lui en donne une paire très voyante, à grosse monture dorée surmontée de couronnes. Quand son père le voit ainsi, il décrète qu'il a l'air d'un abat-jour ( à cause de son chapeau) et décrète que les porteurs de lunettes peuvent choisir leur monture ( et leurs vêtements). le prince choisi alors de se vêtir en espion et choisi une monture beaucoup plus sobre qui le met en valeur.
Tout comme l'album "Les princesses aussi ont des poux", dont la princesse ressemble beaucoup ( trop) à la princesse Merida ( de "Brave, Disney), ici, "Ali" ets dans un univers très similaire à "Aladdin" ( de Dinsey aussi). Je ne comprend pas cette tendance de certains auteurs Jeunesse de claquer les oeuvres cinématographiques de Disney, c'est donner l'impression de profiter de la manne et je ne suis pas amateur de ça. C'est manquer de créativité et d'originalité.
Donc, Ali, dont la mère ressemble trop à la princesse Jasmine, dans un univers qui ressemble à Agrabah, est complexé par sa myopie et le fait de porter des lunettes. Je n'ai pas trouvé l'histoire très cohérente, avec cette histoire de chapeau abat-jour. Ni spécialement drôle. Mais je salue l'idée de dédramatiser le port des lunettes auprès des enfants.
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Les princesses et les princes sont des enfants comme les autres - enfin presque !
"Les Princes et les Princesses aussi", une série d'albums drôles et décalés, qui fera sourire les grands et les petits !
Sous la plume irrévérencieuse de Katherine Quénot et le crayon de Miss Prickly, les petits tracas quotidiens de nos bambins sont gentiment malmenés afin de dédramatiser les situations gênantes, mais communes.