C'était juste un jeu

Tout d'abord, merci à la Masse critique jeunesse et aux éditions Didier jeunesse pour cette lecture!
Ma petite ado l'a dévoré la première, je ne l'avais pas vue aussi captivée par un roman depuis plusieurs mois.
Et je comprends pourquoi: dès les premières pages, la tension est à son comble, un narrateur inconnu, seul dans une usine désaffectée, se retrouvant dès le début face à un danger qui ne nous sera dévoilé que beaucoup plus tard. Juste après, on entre dans le monde du collège, avec son argot, ses élèves, ses pions et ses profs plutôt réalistes, je dois le dire !
Quatre jeunes, Zia, Hina, Tom et Simon font de l'urbex en douce autour de chez eux. Ils sont potes depuis toujours, se connaissent par coeur, et Simon, depuis quelques temps sans doute, porte un regard différent sur Zia, donc quand un nouveau débarque dans leur classe - Zach, surfeur de la Rochelle, blond - et commence à rire avec Zia, il apprécie moyennement, surtout que Zia lui reproche son attitude envers les autres. Il décide de lui faire un sale coup, le mettant à l'épreuve en lui donnant rendez-vous dans cette usine désaffectée, dans le but inavoué de lui donner la frousse.
Bien sûr, rien ne se passe comme prévu, et la situation vire très vite au drame, le vrai, et là on ne rigole plus.
David Moitet profite de ce roman pour évoquer, en filigrane, d'autres sujets tels que le divorce, le cancer, la vie en cité, etc... j'ai moi-même été prise par l'intrigue et j'ai lu le roman dans la journée. J'ai beaucoup apprécié la tournure que prennent les événements dans le chapitre appelé "le syndrome Stranger things", titre qui m'a intriguée et je pense que ce sera le cas pour tous les jeunes lecteurs adeptes de la série.
Une belle lecture en somme!

Une bande de copains qui fait de l'urbex ? Il n'en fallait pas plus pour que mon loulou emprunte ce roman à la bibliothèque et me le conseille dans la foulée. D'autant qu'il avait déjà lu et aimé "Alice" du même auteur.

Je comprends très bien ce qui lui a plu : David Moitet met en scène des amis solidaires, des lieux abandonnés à découvrir, du suspens, du danger... L'intrigue est plutôt bien menée malgré quelques raccourcis un peu faciles (les chambres d'ado sur écoute par exemple, franchement j'ai un doute).

En revanche, les personnages auraient pu être plus fouillés. Les deux adolescentes notamment, que je n'ai cessé de confondre. Et les parents sont une nouvelle fois sacrifiés sur l'autel de la caricature (le veuf rigide, les entrepreneurs absents, la mère gravement malade...). Heureusement, la capitaine de police est un peu plus nuancée.

En résumé, une histoire peu novatrice, dont le principal mérite est de se situer dans un univers rarement exploité en littérature ado. Cela suffit au bonheur de mon loulou mais pas au mien.

A toi, jeune addict aux jeux vidéos, tu risques de te faire piéger !
« C'était juste un jeu », C'est l'histoire d'un groupe d'adolescent qui se retrouve pris au piège dans un jeu de réalité virtuelle. Il doivent surmonter des défis pour survivre sinon…à leurs risques et périls. Ce livre est une sorte de mélange d'aventure, de mystère, et de suspense qui te suivra jusqu'à la fin de l'histoire.

Dans ce livre il y a 5 personnages principaux, Léo un garçon courageux et intelligent, Emma une fille déterminée et perspicace, Max un garçon sportif et loyal, Sarah une fille créative et astucieuse et enfin Nathan un garçon calme qui sait gérer des situations délicates. Chaque personnage apporte quelque chose d'unique !

L'un de mes personnages préféré est Nathan car dans les situations les plus délicates il gère les situations avec le plus grand des calmes

Impossible de lâcher le livre : plus je le lis et plus cela me captive ; ce livre est palpitant ! Il est rempli de suspense, et avec beaucoup d'imagination. Par la suite je n'ai pas vraiment eu de passage préféré car j'ai tout aimé à peu près mais j'ai surtout beaucoup aimé la troisième partie qui s'appelle le syndrome « Stranger Things », j'aime beaucoup cette série et le fait que l'auteur ait établi une référence avec leur monde , le fait qu'ils doivent survivre et rencontrés des monstres cela m'a encore plus fait aimer le livre.

Si je devais notés ce livre je le noterais à 4/5 car j'ai aimé l'histoire et surtout l'histoire était captivante mais j'ai trouvé cependant que cela était un peu long car je ne suis pas habitué à lire des romans.

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"C'était juste un jeu" est un livre captivant qui vous entraîne dans un tourbillon d'émotions et d'intrigues dès la première page. L'auteur a créé un univers riche en détails et en personnages complexes qui captivent l'imagination du lecteur.

L'intrigue est habilement tissée avec des rebondissements inattendus qui maintiennent l'intérêt tout au long du récit. Chaque chapitre apporte son lot de surprises et de révélations, faisant de la lecture une expérience immersive et addictive.
Les personnages sont superbement développés, chacun avec ses propres motivations et secrets. Leurs interactions sont crédibles et riches en nuances, ajoutant une dimension de réalisme à l'histoire. On ne peut s'empêcher de s'attacher à certains personnages tout en étant fasciné par d'autres.
L'écriture est fluide et entraînante, ce qui rend la lecture très agréable. L'auteur a un talent indéniable pour créer des descriptions vivantes et des dialogues percutants qui donnent vie à l'histoire.
En résumé, "C'était juste un jeu" est un roman brillamment écrit, plein de suspense, d'émotion et de personnages mémorables. C'est un véritable page-turner qui séduira les amateurs de littérature à la recherche d'une lecture captivante.

En gros fan de polar que je suis, j'ai été très intrigué par la couverture et le titre de ce roman qui m'ont donné envie de le découvrir.

Nous allons suivre un groupe de 4 jeunes dans leur dernière année de collège.
Ces 3ème ont pour passion l'urbex, l'exploration de lieux abandonnés (vieux manoirs, usine désaffectées...), un passe temps qui s'il ne représente pas un grand danger, ce doit tout de même d'être pratiqué selon quelques règles que ce sont fixés ces collégiens, comme par exemple la règle n°4, ne jamais pratiquer l'urbex seul.
Ce que bien sûr un des membres du groupe va se retrouver à faire suite à une mauvaise blague qui va mal tourner.
Et la, c'est le drame !

Si j'ai vite accroché au début du récit, de par ses personnages et son histoire à laquelle on se laisse prendre, j'avoue avoir été un peu moins fan de la deuxième partie, que j'ai trouvé un peu trop convenue, bien sûr on est dans du récit jeunesse mais ce que l'auteur appellera lui même le syndrôme Stranger Thing, qui veut que les ados se prennent pour des héros et affronte les problèmes seuls peut vite déranger si cela est mal géré, et c'est en cela que j'ai trouvé la fin en dessous du reste.

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