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EAN : 9782036000247
320 pages
Larousse (03/02/2021)
3.43/5   27 notes
Résumé :
Quand après des années de galère, Marianne et Tom décident de réunir dans leur maison familiale des Cévennes leurs six meilleurs amis pour partager leur bonheur retrouvé, ils ne se doutent pas que le week-end de retrouvailles va virer au cauchemar. Tensions, jalousies et secrets d’alcôves rejaillissent et les renvoient à une question que l’on s’est tous posée à un moment ou un autre : qui sont en réalité nos vrais amis, jusqu’où iraient-ils pour nous prouver leur lo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Merci à Babelio et aux éditions Larousse pour l'envoi de ce roman dans le cadre de la masse critique. J'ai un peu de mal à le chroniquer car je n'aime pas faire de reproches à un livre... Quand un livre n'est pas pour moi, je préfère le laisser choisir ses lecteurs plutôt que de le placer sur le billot. "Un livre,"c'est comme un ami. Quand tu le lis, tu te sens proche de lui." (J.Alcorn) C'est justement le hic ici. Plus j'entrais dans le coeur du livre et moins je me sentais proche de lui. Il y a des points positifs indéniables : une écriture très simple et fluide, un roman construit comme un Cluedo géant où chacun a -au sens littéral- un cadavre dans le placard. Une tension dramatique palpable dès les premières pages (on sent bien que les personnages ne seront pas à la fête... et que le week-end cévenol risque rapidement de tourner au jeu de massacre). Des rebondissements à gogo, tous plus improbables les uns que les autres mais qui donnent du rythme au récit. Une peinture au vitriol de l'amitié qui relève clairement de l'humour noir et de la caricature. Tous les ingrédients de la farce sont présents dans cette comédie humaine : mensonges, trahisons, paris vaudevillesques, combats de coqs, lâchetés...mais pour apprécier ce roman, prière de prendre beaucoup de distance avec la vraisemblance et la moralité : le récit flirte avec le burlesque ! La fin est glauque à souhait, ce choix de l'auteure peut refroidir.
NB : beaucoup de coquilles pour un livre édité, c'est étonnant
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Après ma récente découverte du « feel-good » me voilà transporté dans le « chick-lit » comme ils disent. Mais jusqu'où vais-je m'arrêter ?
Comme écrivait à juste titre Michel de Montaigne qui n'en est pas à son premier essai :
« Je réponds ordinairement à ceux qui me demandent raison de mes voyages que je sais ce que je fuis mais non pas ce que je cherche. »
N'y allons pas par quatre chemins, ce n'est pas avec ce roman que j'ai trouvé le mien…

Je suis déçu, tout d'abord par l'intrigue qui s'articule sur un pari potache à peine vraisemblable servi par un certain nombre de personnages vaudevillesques auxquels je ne me suis jamais attaché, moi qui suis pourtant tellement affectueux.
Leur suffisance, leur cruauté et leur comportements saugrenus m'ont finalement amené à cordialement les mépriser.
Ensuite par ce regroupement d'amis qui n'est qu'un prétexte à une caricature sociale grotesque où le tourneur-fraiseur est la lie de la société.
Pour un raté malingre mais fils de docteur, travailler de ses mains est tout aussi abscond que pour un bobo parisien dépasser le périphérique.

Rejoignez Marianne la plus équilibrée, son conjoint Tommy le loser invétéré, son ami Ben un peu taré mais pas seulement, ainsi que Jean-Rob' puant d'orgueil ou Fred arrogant et méprisant, sans oublier, charlotte la nymphomane, Karen l'amerloque déjantée et Julie très niaise et très introvertie pour faire un Cluedo rigolo.
Je tiendrai le chandelier dans la véranda en pensant à Melle Rose qui m'a toujours fait rêver et ce, pour éviter les coup-bas et échapper aux poncifs de leurs réactions hypocrites.

Pardonnez-moi d'être passé à côté d'un possible second degré masqué par les lourdeurs de la conduite abracadabrante des protagonistes d'où surgissent des rebondissements plus aberrants les uns que les autres. Ils méritent tous des claques, faisant passer Feydeau pour un amateur avec ses portes qui claquent.

Entre amis, c'est bien connu, on tue comme on respire, alors venez prendre un grand bol d'air dans les Cévennes, peut-être y trouverez-vous l'intérêt de Catherine Monroy à vous faire partager les péripéties débridées et les mésaventures aux curieuses coïncidences qui coulent dans ses veines.

Merci à Babelio et à Larousse romans pour l'envoi de cette masse-critique privilégiée.
J'ai l'espoir que ce commentaire caustique attirera les lecteurs, persuadés que je n'ai peut-être rien compris à l'humour noir et la vie trépidante d'une jeune citadine branchée minée par des besoins compulsifs d'avoir des amis mais de ne pas en être une.


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Merci à Babelio et aux éditions Larousse pour l'envoi d'Un ami si dévoué de Catherine Monroy.
***
Marianne et Tom galèrent depuis plusieurs années. Tom a perdu son boulot il y a quatre ans et ne trouve rien d'autre. de plus, tous deux essayent désespérément de faire un bébé sans y parvenir. Et brusquement, tout s'éclaire : Tom est engagé comme DRH dans par une boîte solide, et Marianne est enfin enceinte. Il faut fêter ça ! Ils décident d'inviter les six personnes qu'ils considèrent comme leurs meilleurs amis, ceux qui ne les ont pas lâchés pendant leurs années difficiles. Ceux-ci viendront les rejoindre pour une semaine dans la maison des parents de Marianne, dans un village assez isolé en Lozère, sous le prétexte de fêter les quarante ans de Marianne. le couple leur annoncera alors les bonnes nouvelles
***
On rencontrera d'abord Karen, « Fucking Karen », l'Américaine, qui volontairement ne garde pas ses amants ; suivra JR, pour Jean-Robert, à qui tout semble réussir : beau gosse, bonnes études, riche, ancien petit ami de Marianne ; puis Julie, prude institutrice bigote et athlétique à fortes tendances suicidaires ; Fred, le médecin charismatique à qui tout réussit, ex grand amour de Marianne ; Charlotte, perpétuellement en mode drague et grande consommatrice d'amants en tous genres, ex petite amie de Tom ; sans oublier Ben, ami d'enfance de Tom, le narrateur. Ils ne se sont pas vus depuis 10 ans et, de l'avis même de Tom, Ben fait tache dans le groupe : milieu modeste, pas d'études brillantes, succession de petits boulots, bref, un prolo…
***
Je ne suis malheureusement pas le bon public pour ce genre de romans. Les personnages stéréotypés, les multiples rebondissements, les innombrables invraisemblances, les coucheries réelles ou simulées, les aventures officielles ou secrètes, avouées ou tues, réprimées ou revendiquées m'ont agacée dès le début, au point d'avoir la tentation d'abandonner dès la page 40, puis après un effort, de nouveau à la page 82 à cause de l'incroyable et stupide pari entre Fred et Tom… J'ai continué pour pouvoir faire honnêtement cette critique. La condescendance des personnages envers Ben et Julie, parfois envers d'autres, m'a dérangée fréquemment. À titre d'exemple, page 255, : « Dans [une poche] se trouvaient […] des billets soigneusement pliés en six comme le font les pauvres ». Certaines remarques du narrateur, présenté comme un personnage sympathique, m'ont vraiment déplu : « il avait simplement le tort d'être blond or Marianne n'avait jamais aimé l'odeur âcre de leur peau, ça ne se discute pas » (p. 30). Je pourrais multiplier ce type d'exemples. Quant à l'amitié qui est annoncée comme le sujet du livre, elle se trouve ici bien malmenée ! La seule amitié qui peut par moment sembler sincère, c'est celle qui existe entre Julie et Marianne, mais elle se trouve tempérée, voire abîmée, par les jugements que porte Marianne sur Julie. Bref, je n'ai pas aimé ce roman, vous l'aurez compris. Je suis toujours un peu gênée de faire une mauvaise critique, mais je relativise en me disant que d‘autres vont adorer précisément ce qui m'a si fortement déplu…
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Aïe. le pitch semblait intéressant mais le résultat est pour ma part très décevant. J'aurai du mieux me renseigner sur l'auteure avant de postuler pour ce Masse Critique Privilège. Car je ne suis pas cliente des séries de TF1 et M6.

Donc un couple qui a vécu des années de galère rassemble ses meilleurs amis dans une maison familiale des Cévennes pour leur annoncer deux bonnes nouvelles : l'arrivée d'un bébé tant espéré et la fin de 5 ans de chômage pour Tom. Vu le titre et le bandeau d'accroche on sent bien qu'il va y avoir du mouvement et des révélations.

Le livre commence d'une manière très classique pour ce genre de roman. Il me semble étrange que ces amis présentés comme intimes du couple se connaissent si peu entre eux, mais c'est un détail. C'est Tom qui nous narre les évènements en voix off et à posteriori. Les chapitres sont courts et l'intrigue se met en place tout doucement, jusqu'à la blague potache qui va déclencher tout le reste.

Ce qui avait commencé à me chiffonner dans la mise en place, à savoir les personnages très caricaturaux et l'opposition de classe, se transforme en ennui. Les situations et rebondissements multiples sont généralement invraisemblables. Passe encore pour les coucheries croisées réelles ou fantasmées (un grand classique) mais l'absence quasi totale de bienveillance des uns vis-à-vis des autres, les jalousies et comportements agressifs quasi permanents me font dire que si ça ce sont des amis fidèles alors je préfère vivre en ermite. A une exception près tous les personnages sont dégoulinants de suffisance, de mépris, d'égoïsme et d'égocentricité. Ils sont cruels et semblent ne reculer devant aucune bassesse pour satisfaire leur ego ou leur jalousie. Quant au narrateur il s'enfonce tellement dans la bêtise qu'on a du mal à l'imaginer DRH. La progression de l'intrigue est soit très prévisible soit totalement rocambolesque, jusqu'à l'avant-dernier rebondissement qui m'a paru tellement absurde qu'il a provoqué chez moi un fou rire, vite éteint par la très glauque révélation finale.

S'il y a un sens plus profond à cette fable sociétale et un second voire troisième ou cinquantième degré, j'avoue humblement (ou honteusement) être passée à côté. Cette vision de l'amitié n'est pas la mienne. En fait, comme je le dis en préambule, je ne suis pas le public pour ce genre d'écriture et je comprends que mon humble ressenti très personnel puisse ne pas être partagé.

Je remercie néanmoins Babelio et les Editions Larousse pour cette entrée dans l'univers de cette auteure.
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"Remarque passer de loser à serial killer, c'est une putain de promotion en tout cas ! Tuer, c'est la première fois qui coûte, après, c'est comme le serial killer....C'est la routine." (P. 51)
Après bien des années de galère, Tom vient enfin de trouver un travail de DRH dans une entreprise de fabrication de drones...un beau job qui devrait lui permettre de briller un peu auprès des amis et amies de la famille que le couple a invités pour quelques jours dans les Cévennes...ils doivent de plus leur annoncer que Marianne, épouse de Tom attend un enfant...à 40 ans. Enfin la galère leur tourne le dos.
Tous leurs copains sont plus épanouis qu'eux... plus aisés aussi .
Ce sont JR -Jean-Robert, ami de Tom depuis la fac, ancien HEC, il est celui qui a réussit et qui a une belle situation, Karen quant à elle va d'amant en amant, un peu comme Charlotte, Julie quant à elle est plus coincé et pense parfois à en finir avec la vie. Puis il y a Ben, ami de Tom depuis toujours et enfin Fred, médecin qui fut, un temps, amant de Marianne.
Tout devrait bien se passer mais...
Oui ce week-end est source de tensions, de jalousies aussi...et de disparitions. Tout n'est pas si simple que ça, d'autant plus qu'un serial-killer sévi dans les environs...la gendarmerie est sur les dents.
Le contexte est alléchant et prometteur...
On reconnait là, dans la construction du texte, les compétences de scénariste pour la télévision de l'auteure, les chapitres relativement courts se succèdent en développant de nouveaux points de vue, en mettant en scène le passé ou les caractères de certains des personnages, qu'on abandonnera pendant plusieurs pages pour les retrouver plus tard... des chapitres pour découvrir des relations nouvelles ou anciennes entre les uns et les autres...bref, les soirées ou après-midi du feuilleton se succèdent, et comme le spectateur, le lecteur ne doit pas en rater une pour ne pas être perdu...d'autant plus que certaines scènes ou actions sont un peu (voire pas mal) tirées par les cheveux...à mon goût !
Alors on retrouve toutes les ficelles, souvent un peu grosses de certains feuilletons qui font les après-midi  ou débuts de soirées de certaines chaînes...un coté "bling-bling" qui impose au scénario des Porsche, Audi, ou Lexus, des montres Rolex, des polos Ralph Lauren, des coucheries, des trahisons, du sang, des rancoeurs, des disparitions, des cadavres, des gendarmes...
J'entends parfois certains de ces clichés, toujours les mêmes, ces conversations sans toujours beaucoup de relief, ni trop de profondeur, alors que dans mon coin j'essaye de lire ....j'en suis perturbé...je le fus aussi à cette lecture qui m'a beaucoup trop rappelé ces feuilletons, mêlant bon et moins bon, ces situations parfois un peu trop tirées par les cheveux et un tantinet irréalistes...à mon goût.
Bref, le départ était prometteur...mon engagement de lire ce livre proposé dans le cadre d'une opération Masse critique, a été scrupuleusement respecté...mais ce n'était pas tout à fait le genre de livre qui convient à mon caractère, à ma réserve, à ma solitude de lecteur, aux faits de société ou à caractère historique qui me passionnent...
D'autres apprécieront bien plus, j'en suis certain.
Aussi ce livre va partir vers une nouvelle vie, vers de nouvelles rencontres dans une boite à livres ou va être donné à une médiathèque...il donnera sans aucun doute du bonheur à d'autres lecteurs ou lectrices.
C'est l'essentiel !
Merci à Babelio et aux Éditions Larousse
Lien : https://mesbelleslectures.co..
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Personnellement, cette pathologie montagnarde qui consistait à nommer chacun des pics que le regard rencontrait, me plongeait dans un ennui aussi vibrant que le jeu consistant à identifier les marques de voiture sur la route des vacances avec mes parents.
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Pour un tueur en série, s'en prendre à une fille suicidaire, ce serait presque une faute professionnelle.
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Je sais maintenant qu'un ami, c'est le monstre que l'on apprivoise chez l'autre, une créature débarrassée de ses oripeaux, qui se montre dans son effrayante nudité, que l'on persiste à aimer et à qui l'on pardonne tout. Ses névroses, ses défauts, son mauvais goût, sa connerie, ses trahisons, parce que c'est lui, parce que c'est vous, comme dirait l'autre. Et en retour, il y a une forme de servitude volontaire, une forme de masochisme consenti à accepter le regard cru et parfois cruel que l'autre porte sur soi.
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Le parking étant désert, et non sans avoir vérifié que je n'étais pas observé, je rejoignis la Modus de belle-maman, en me demandant si le concepteur de cet objet roulant, qui ressemblait plus à un jouet qu'à une voiture, avait abusé de stupéfiants.
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Cet optimisme forcené, qui m’avait séduit chez Marianne, était paradoxalement ce qui m’exaspérait le plus chez elle ; cette irréductible volonté de fabriquer de la béatitude dans les pires circonstances, une tyrannie de la pensée positive. Ce refus de regarder la face obscure de l’existence, cette incantation au bonheur proprement déprimante pour ceux qui comme moi n’y parvenaient qu’en période bissextile.
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Video de Catherine Monroy (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Catherine Monroy
Retrouvez l'émission intégrale ici : https://www.web-tv-culture.com/emission/catherine-monroy-un-ami-si-devoue-52796.html
Elle a été journaliste pour Le Figaro puis le Monde dans les pays de l'Est au moment de la chute du rideau de fer. de retour en France, la voilà chroniqueuse pour le magazine Elle. Aujourd'hui, Catherine Monroy est scénariste pour la télévision. On lui doit plusieurs téléfilms à succès mais aussi l'écriture d'épisodes pour « Navarro », « Père et maire » ou « Mes amis, mes amours ». Que ce soit avec sa plume journalistique ou celle de scénariste, c'est bien l'écriture qui est au coeur de la vie de Catherine Monroy. Et tout naturellement, on la retrouve désormais en librairie. « Gentil coquelicot » parait en 2004 chez Lattès, suivi par un roman érotique, des biographies ou un essai « L'art du mensonge » paru l'an passé chez Larousse. C'est dans cette maison emblématique qu'elle publie son nouveau roman « Un ami si dévoué ». Nous sommes en juillet, sous le soleil des Cévennes, dans une belle maison où une bande d'amis se prélassent autour de la piscine. Après quelques années de galère, Marianne et Tom ont invité leurs amis de toujours pour fêter leur nouvelle vie, un nouveau job et l'arrivée prochaine d'un bébé. Mais cette belle ambiance va se lézarder, les souvenirs vont remonter à la surface, les rivalités et les jalousies aussi. Jusqu'à ce que l'un des bons copains, Fred, suite à un pari stupide, se retrouve trucidé dans le coffre d'une voiture. Mais qui a tué et pourquoi ? Et surtout, était-ce une bonne idée de demander à Ben, l'amie d'enfance de venir donner un coup de main pour se débarrasser du corps ? Entre Cluedo et Agatha Christie, Catherine Monroy nous entraine dans une spirale infernale où chacun aurait une raison d'être coupable, où les rebondissements s'enchainent, tout cela sous le soleil estival des vacances. Ecrit comme un thriller, le roman est aussi plein de saveur et d'espièglerie et l'on s'amuse à suivre ces personnages dignes d'un Feydeau, qui s'empêtrent dans leurs mensonges. Un roman bien senti sur un sujet poussé à son paroxysme : l'amitié et ses pièges et une question qui taraude : Et vous, jusqu'où seriez-vous prêt à aller par amitié ? Car finalement, connait-on vraiment ses amis ? Une intrigue rocambolesque mais bien menée, des dialogues ciselés, des personnages joliment construits et un épilogue inattendu font de ce nouveau roman de Catherine Monroy une lecture des plus savoureuses. Un livre que vous aurez sans doute envie de prêter à vos amis. Mais réfléchissez-y à deux fois quand même… « Un ami si dévoué » de Catherine Monroy est publié chez Larousse.
+ Lire la suite
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