A nouveau des femmes effacées dans le récit historique.
Merci à
Léa Mormin-Chauvac de les réhabiliter, elles qui sont les symboles des luttes féministes et antiracistes. Un récit enrichissant comme je les aime, dont on ressort moins bête et surtout qui met en lumière celles qui, avant
Senghor ou
Césaire, ont posé les bases de ce qui n'était pas encore appelé la négritude. A découvrir assurément !