Autant j'avais été époustouflée par la force et la justesse de ton, la précision des descriptions et des petites (et grandes) lâchetés des personnages de'
Suite française', autant la description très balzacienne (trop ?) de '
David Golder' d'
Irène Nemirovsky m'a déçue.
C'est son premier roman publié.
Oeuvre de jeunesse sans doute ...
'
Le bal' traitant des relations acides entre mère et fille avait tellement plus de force qu'il y en a dans ce portrait de financier en pleine déconfiture se laissant dépouiller par ses femme et fille sans scrupules.
Par ailleurs, l'antisémitisme omniprésent dans ce roman laisse un sentiment amer, à la lumière de la destinée de l'auteur ...
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