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Le monde selon Uchu tome 1 sur 2
EAN : 9782203097131
216 pages
Casterman (23/09/2015)
3.4/5   31 notes
Résumé :
Alice arrive dans une nouvelle école et fait la connaissance d'Uchu, camarade de classe taciturne. Il apprend à la jeune fille que leur monde est en fait un manga dont il est le héros, et qu'à ce titre il ne peut pas mourir. Alice commence alors à remarquer que des cercles contenant des mots apparaissent parfois au-dessus d'elle et a la sensation d'être constamment épiée.

Source: nautiljon.com
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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« La seule raison valable pour incorporer une chose à un roman est que ce soit la chose qu'il aurait été idéal de voir arriver à ce moment-là. » in le Monde selon Garp, John Irving

Tremblez auteurs ! Vous êtes démasqués ! Tremblez lecteurs ! Votre complicité est totale !

Et c'est aussi ce que nous montre, à sa modeste manière, une jeune auteure japonaise dans une création originale, qui se propose de mettre en scène et en abyme la caractérisation de personnages de manga avec la particularité plutôt audacieuse de faire de ses personnages des êtres pleinement conscients d'être au coeur d'un canevas sur lequel ils n'ont aucune prise réelle. Leurs réactions variées et complémentaires (du déni jusqu'à la plus brûlante lucidité) vont meubler le canevas et c'est ainsi que le jeu de pouvoir entre les créatures et leur démiurge peut débuter, pour le plus grand plaisir des voyeurs que nous sommes.
Il ne s'agit donc pas d'un propos pédagogique sur la création globale dans son environnement professionnel, comme le fut Bakuman, mais d'un jeu de miroir assez finement mené entre créateur, actants et lectorat d'une histoire.
Et pour ce faire, Ayako Noda ne fait pas seulement un bris du quatrième mur, elle crève aussi le plafond !

Elle nous décline cela dans un simple diptyque. Et la première remarque à faire, c'est qu'elle a très bien négocié sa tension narrative, nous donnant l'envie réelle d'enchaîner immédiatement le volume 2 à la suite du 1.
Il me fut facile d'adhérer au style graphique très épuré mais très personnel que nous propose avec beaucoup d'assurance la jeune artiste. Noda a choisi de planter son décor dans le très exploité genre school life, celui des collégiens ordinaires, ce qui est vraiment très pratique à la fois pour les passages tranches de vie, à la fois pour les romances, à la fois aborder pas mal de clichés qui émaillent souvent le genre. Elle le fait en gardant sa personnalité graphique bien à elle, car, si chaque personnage a "la tête de l'emploi", correspond à un des archétypes attendu du genre, il n'en garde pas moins son caractère unique : ses émotions sont dessinées avec réalisme et son design est bien distinctif. Bien joué. A noter qu'Alice est un modèle de regard à fort potentiel d'intensité.

Le mélange showing/telling laisse planer l'ambiguïté. L'auteure est à la fois distanciée et omnipotente.
Laissant les personnages s'exprimer en pur showing, elle se permet toutefois de rappeler sa présence par de petits détails disséminés avec brio.
Le gros point fort réside quoi qu'il soit dans la façon dont elle laisse ses personnages se débattre dans le canevas de base qu'elle a prévu pour eux. Sachant que derrière la marge qu'elle semble leur laisser, reviendra toujours en compensation un recadrage de sa part.
Ce qui paraît imprévu pour le lecteur est bien entendu sous contrôle, même rétroactif. Car un auteur sait rebondir ! Les personnages peuvent donner l'impression d'improviser, mais elle sera toujours en mesure de rectifier tous les tirs. Un personnage a envie d'expérimenter la mort ? Qu'a cela ne tienne, il y a toujours une solution pour le sauver s'il n'est pas décidé qu'il disparaisse. Un Deus ex machina qui peut parfois nous faire sourire tant il est capillotracté (qui n'a jamais senti ça dans un manga ?). Une jeune fille réalise avec horreur que sa pudeur peut être bafouée lorsqu'elle prend sa douche ? Pas de problème, l'auteure, femme de son état, n'exploitera pas ce vieux poncif fan service qu'on reproche souvent: la scène inutile des filles sous la douche. Un personnage se rebelle trop ? Et bien, l'auteure le laisse "mariner". Il a le mérite de se poser les bonnes questions et donc de nous représenter, quel que soit notre déplaisir face à son physique et son caractère. Un personnage se réfugie dans le déni et fait une fixette pathologique sur un amour non partagé ? Pas de souci, il faut un obsessionnel de service. Il serait bas dans le sondage de popularité, mais il revalorise le lecteur, qui se sent tellement "mieux que ça". Un personnage devient si récalcitrant et imprévisible que s'en est délicat à gérer ? Fort bien, mais l'auteur a les moyens de le mettre de côté, voire échec et mat tôt ou tard.
Alice et Uchu sont pour moi les personnages via lesquels l'auteure a le plus crypté les processus de création. Alice se meut avec beaucoup de sérieux et de grâce dans un schéma narratif et actanciel qu'elle ne remet pas en question. L'auteur la fait évoluer sans difficulté puisqu'elle nourrit une intrigue déjà posée.
Uchu est au contraire un symbole de la création par le personnage. Il est de ces protagonistes qui dès le départ ont tant d'importance que l'auteur ayant construit l'essentiel de l'histoire en partant de leur caractérisation, prend le risque de devenir un peu "prisonnier" de celle-ci dans la gestion de son scénario. Il en arrive à en savoir autant que l'auteur (Uchu devient omniscient dans l'histoire). Dès lors, pour s'en sortir, l'auteur peut envisager une pause avec lui...

En temps que lecteurs, nous sommes inclus dans cette interaction entre un créateur et ses personnages. Nous sommes même interpellés, via le propos véhément d'un des personnages: Lya.
Nous sommes "Le monstre". Et nous le faisons souffrir, car le poids de notre regard est insupportable.
Nous avons donc notre part de responsabilité clairement signifiée.Beaucoup penseront à la problématique posée par The Truman Show, pour le coup.
Ayako Noda est mine de rien plutôt sans concession sur la co-responsabilité autorat lectorat dans le développement d'un parcours de personnage (coucou le système de prépublication, mais aussi coucou les codes et les poncifs qu'elles utilise à loisir pour mieux les détourner ou les tourner en dérision).

Pour conclure. L'intrigue est efficace car même si on ne parvient pas à s'attacher complètement à tous les personnages, leur destin nous interpelle.
Et surtout cette intrigue fait sens. Eux et nous, même combat : l'illusion de la liberté ?

On ne s'attend pourtant pas à ce que les personnages s'émancipent de cette histoire, le principe de réalité ne nous le permet pas. Certains pourraient faire résilience et accepter leur sort, d'autres pas et, tels les symboles de ces personnages qu'un l'auteur ne parvient plus à développer sans "souffrir", disparaître. On se demande par contre si l'auteure ira jusqu'à en faire mourir un. Ce qui est sûr, c'est que ces jeunes gens n'ont pas un sort si enviable en première lecture, puisqu'ils passent d'un démiurge à l'autre. L'auteur les dénote, le lecteur les connote. Jamais ils ne sont vraiment libres. Même ce qu'un lecteur va imaginer sur eux c'est encore un chemin imposé par autrui.

De la même façon qu'un lecteur de fiction ne fuit jamais tout à fait la réalité, un personnage de fiction ne peut fuir son créateur, ni son lecteur. Sa seule échappée belle est dans notre coeur.

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Nouvelle venue dans son lycée, Alice fait la connaissance des jumeaux Shinri et Uchu. Si le premier est gai et amical, le second est taciturne et taiseux. Quand il décide de ne plus suivre les cours, Alice, déléguée de classe, se rend chez lui pour lui apporter le travail à faire et peut-être le remotiver. Mais Uchu détient un lourd secret, sa vie a basculé le jour où il s'est rendu compte qu'il était un personnage de manga. le monde dans lequel il évoluait jusqu'alors avec insouciance n'est pas réel. Uchu assume mal d'être un héros né de l'imagination d'un mangaka et d'être épié dans chacun de ses gestes par un lecteur. Au lycée, d'autres ont pressenti quelque chose, sans connaître la vérité. Iya, par exemple, est au plus mal, depuis qu'il sent sur lui le regard d'un monstre, avide et curieux.

Dans ce manga très original, Ayako Noda explore la vie de personnages conscients de n'exister que par la main de celui qui les dessine. Cela donne lieu a beaucoup de questionnements sur le sens de leur vie, le destin et en quelque sorte Dieu puisqu'ils sont entre les mains d'une mangaka qui décide de leur sort. Sombre par certains aspects : l'impossibilité de vivre sous le regard intrusif du lecteur, l'idée que l'on ne choisit rien, que tout est décidé par un autre, l'histoire n'est pas dénuée d'humour, celui de Shinri qui, contrairement à son jumeau, aimerait beaucoup être le héros du manga, et celui de certaines scènes, comme celle où Alice fait tout son possible pour attirer l'attention du lecteur afin de le détourner de son amie qui prend une douche. Un lien se crée entre les personnages, l'auteur et le lecteur, même si celui-ci, perçu comme un monstrueux voyeur n'a pas le beau rôle. Et pourtant que ferait tout ce beau monde sans personne pour s'y intéresser..?
Ce premier tome est une vraie bonne surprise qui étonne, interpelle, questionne. Ayako Noda n'a pas fait traîner les choses et conclut son histoire en seulement deux tomes. On a hâte de savoir comment tout cela va finir...
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Voilà un manga qui ne manque pas d'originalité. On se demande même comment l'auteur a pu murir une idée pareille.
Les mangas mettant en scène des Mangaka ou ayant pour sujet l'art du Manga lui-même sont nombreux comme Bakuman, La vie en rose, etc..., mais celui-là détonne par son coté ubuesque et 4eme dimension.
Mais ce récit est aussi et surtout agrémenté de l'épice qui fait que tout fonctionne : la comédie romantique avec son triangle amoureux évidement (mais pour en savoir plus il faudra lire l'ouvrage!).

Le style réaliste et le trait fin mais dynamique, voire nerveux, d'Ayako Noda permettent une immersion et un transfert total dans l'histoire.
Le dessin de l'auteur semble vivant et en mouvement constant, ce qui est remarquable car, encore une fois, l'auteur brise le code et inverse la situation : le manga deviendrait réalité !
Les artifices du genre illustré tels que les onomatopées, enchevêtrements de cases, dessins ou images, etc..., sont discrets et prennent tout leur sens au fur et à mesure de l'avancée de l'histoire.
Les trames sont elles aussi choisies de manière à ne guère y prêter attention afin de ne focaliser que sur les personnages.
Parfois même les cases sont complètements épurées pour relever une tension, un suspens, ou accentuer un évènement.
Ayako Noda a ainsi extraordinairement travaillé et usé de nombreuses techniques afin de capter l'attention du lecteur, tout comme l'enseignant doit le faire en regards de ces élèves dissipés.
Et pour parfaire le tout, l'environnement scolaire de l'histoire nous conditionne à rester attentif.

D'autre part les mises en scènes sont diablement suggestives, presque toujours en rapport avec les études et l'enseignement.
On constate une sacré discipline, les classes sont parfaitement ordonnées, les bureaux alignés, les bibliothèques remplies et les tenues des étudiants sont toutes identiques !
Les enseignants sont, par contre, absents, souvent représentés par des ombres, sauf un. Et comme par hasard il s'agit du professeur de dessins Koichi Samejima.
Le petit détail marquant sur les enseignants, et la discipline de fer inculquée au Japon, est cette entrée en classe de l'un des professeurs exigeant des élèves de saluer puis de s'assoir... Et les étudiants de s'y atteler.
Le sérieux des jeunes du pays du soleil levant est aussi remarquablement illustré lorsque l'on aperçoit des chambres idéalement rangées, des bureaux studieux avec le matériel rangé façon 5S etc...

La leçon de dessin donnée par le fameux professeur Koichi Samejima se révèle pleine d'humanisme, d'égards et d'attentions vis à vis des petites têtes..., euh..., brunes (non pas blondes...).
Cette leçon tombe à pic dans le récit, car l'enseignant insiste sur la notion de volume à donner dans un dessin (par définition sur une feuille en 2D).
De nombreuses allusions et/ou indices, selon que l'on voit les choses, sont suggérés à travers ce cours. C'est un vrai régal pour l'oeil attentif et le cerveau vif du lecteur.

Coté scénario, cela est bien construit, le récit se lit d'une traite, et au fur et à mesure de l'avancement, des évènements étranges et anodins apparaissent comme pour confirmer la théorie d'Uchu.
Ceux-ci influent donc fortement sur le comportement des protagonistes qui finissent tôt ou tard par se poser les questions existentielles : Suis-je vivant ? Quel sens dois-je donner à ma vie ? Etc...
Par ce biais, Ayako Noda, interpelle aussi le lecteur à la réflexion sur sa propre existence parmi les milliards d'individus.
Elle nous donne une brillante leçon philosophique et humaine sur l'acceptation de son être, du regard des autres et surtout de la condition humaine (ou destinée).
Elle montre ainsi que chacun est libre de ses actes, mais qu'ils ne seront jamais sans conséquences, et souvent jugés, interprétés, répétés ou pas etc...
Elle nous définit et illustre merveilleusement bien le déterminisme et la causalité.

Voilà donc un enseignement de sagesse, d'humanité, d'humilité, de fatalité, d'existence....
Une superbe morale sur la vie.
Merci madame la professeur !

Lien : http://www.7bd.fr/2017/09/le..
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Un manga dans lequel les personnages se rendent compte qu'ils sont dans un manga... Que voila une intrigue... intriguante !

C'est surtout le résumé qui m'a attirée ici, la couverture ne m'inspirant pas plus que ça, parce que ce n'est pas commun de nous faire participer ainsi au manga à travers notre rôle de lecteur. On lit le manga ou plutôt on "épie" les personnages de ce manga, et certains s'en rendent bien compte et nous affublent du rôle de "monstre". Et je trouve que le tout est assez bien mené.
Je ne savais pas tellement à quoi m'attendre, c'est un peu différent des livres dont vous êtes le héros mais en même temps, on intervient sans vraiment intervenir comme dans ces derniers... Un concept intéressant, il fallait l'écrire et l'exploiter, ce qu'a fait Ayako Noda.
Et comme on est dans un manga, les personnages voient leurs propres bulles et celles des autres, que ce soit les phrases énoncées à voix haute ou les pensées. La notion d'intimité est ainsi quasi inexistante.

On se demande bien vite qui est le héros de cette histoire : Uchu ? On le voit mais pas autant qu'un personnage principal. Alice, la nouvelle arrivante ? Tous ? le lecteur ?
Je dois dire qu'Uchu m'intrigue beaucoup, justement parce qu'on s'attend à le voir plus. Alors que c'est plus son entourage qui est à l'honneur, parce que c'est justement SON entourage. Et du coup, l'auteure joue bien avec ces petites nuances et à la fin de ce tome, on se demande vraiment ce que le tome 2 nous réserve. Tant au niveau des personnages que de l'intrigue, parce que, comme on l'a fait remarquer à Uchu, on sait tous ce qui arrive à des personnages quand on referme un livre...

Je ne sais que penser de ce manga. J'ai beaucoup aimé le concept mais un aspect m'a quand même bien frustrée : les personnages, que l'on connaît peu au final. Bon, on peut dire que l'intrigue est bien pensée, parce que ces derniers évitent de trop se dévoiler, se sentant épiés... Mais voilà, j'aime bien apprendre à connaître et m'attacher à des personnages, donc petit point négatif.
C'est un bon manga, pas une lecture que j'ai adoré, mais qui m'a suffisamment intriguée pour me donner envie de lire le second - et dernier - tome.

Merci à Babelio et aux éditions Casterman pour m'avoir permis de lire ce manga.
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Alice est nouvelle au lycée. Mais dès le lendemain son voisin de classe Uchu ne réapparaît pas à l'école. Elle décide de lui apporter les cours. Elle fait ainsi la connaissance de son jumeau qui lui révèle détenir un angoissant secret.

Les deux frères se sont aperçus qu'ils étaient en réalité les personnages d'un manga !
Ils mettent la jeune fille dans la confidence et vont tenter ensemble de mieux comprendre le monde qui les entoure...

Chacun va réagir différemment par rapport à cette idée d'un démiurge qui les manipule...

Un manga en deux tomes qui évoque la construction du livre vu par le biais de ses personnages. On y trouve des propos intéressants sur la notion de cases, de personnage principal ou encore de monstre penché au-dessus d'eux.

Les héros et les paysages sont surtout esquissés mais cela entre en résonance avec l'idée que le livre se construit sous nos yeux.

Un livre décalé mais instructif avec une trame simple mais intéressante !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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critiques presse (2)
BoDoi
24 mai 2016
Un diptyque rondement mené, récit du passage à l’âge adulte et de l’acceptation de la condition humaine.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Sceneario
14 mars 2016
Un manga, en deux numéros, qui intrigue dès les premières planches, et qui devient vite assez addictif. On se perd rapidement dans ces interrogations, dans ces jeux de regards entre les personnages et le lecteur.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
"Un mois?... ça fait déjà tant que ça?
-C'est toi qui l'as dit, je te signale.
-Hein?
-A la fin du dernier chapitre. En voix off. T'as dit "C'est ainsi qu'un mois a passé".
-En voix off?
-C'était dans un bulle carrée, comme ça."
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Mais dans un manga tout n'est pas forcément montré. On ne voit qu'une partie des événements. (p.125)
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Imagine ce qui se passerait... toute une journée étalée en cases de manga.
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"Tout est bizarre ici, notre espace n'a que deux dimensions. Rien n'est palpable! Tout n'est qu'illusion! La couleur n'existe pas! Il n'y a que le noir et le blanc. De l'encre sur du papier. Des lignes et des surfaces, c'est tout!"
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Tout ce que je peux faire, c'est continuer à vivre comme avant...
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Video de Ayako Noda (1) Voir plusAjouter une vidéo
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Quand on lit une BD, on sait généralement sans aucun doute qu'on est en train de lire une BD, mais qu'en est-il des personnages de la BD en question ? Cette semaine, les coups de cœur de la librairie Point Virgule se penchent sur ces bandes-dessinées qui se jouent des codes du genre en mettant en scène des héros parfaitement conscients d'être les personnages d'une BD :
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