Suite et fin du combat entre la team Red (Mirai) et la team Metropoliman. Sur l'air du "un de nous deux est de trop dans cette ville", il faut évidemment qu'un des deux prétendants au titre de dieu cède la place. Mirai va-t-il se décider à tuer Metropoliman, malgré son dégoût pour la violence extrême?
Dans la team de Metropoliman, il y a un petit nabot avec la tête de
Donald Trump qui m'a bien fait rigoler... Mais passons, car
Ohba et
Obata ne lui font rien faire de particulièrement intéressant. Dommage.
On ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs. Et on n'échappe par à l'éclaircissage d'usage... que ce soit dans l'équipe de Mirai ou dans celle de Metropoliman. Les auteurs amènent un certain pathos, mais sans en faire trop.
Fidèle à la tradition de ce genre de BD, les auteurs relancent le récit à quelques pages du terme en montrant un Metropoliman manipulé par un étrange personnage, lui aussi aidé par un ange. Ce visage poupon, ce sourire enfantin cachent visiblement un grand machiavélisme. A suivre.
Personnellement, je ne suis pas emballé par ces rebondissements factices. On ne voit pas vraiment la fin ni même de fil rouge. Mirai est dépourvu de consistance, et même l'amour que lui porte Saki ne sauve pas l'ensemble en ce qui me concerne.