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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ayant apprécié l'an dernier "Sous le soleil de Key West", c'est avec plaisir que je me suis plongé dans le dernier roman de Priscilla Oliveras : Les amants de Key West.
Je remercie Mylène des éditions L'Archipel pour l'envoi de ce service presse via net galley.
Photographe de renom, Alejandro n'avait pas revu sa ville natale de Key West, en Floride, depuis douze ans. Mais, après un grave accident, le voilà contraint d'y retourner.
Sur place, il retrouve son envahissante famille d'origine cubaine – son père, notamment, qui ne lui a jamais pardonné d'avoir "abandonné " les siens, ses amis d'enfance et surtout Anamaría, son amour de jeunesse...
Alejandro et Anamaría ne se sont jamais pardonné leur rupture. Aussi les retrouvailles entre les deux anciens amants s'annoncent-elles électriques...
Les amants de Key West n'est pas à proprement parler une suite, même si on retrouve Luis, le frère d'Anamaria et Sara sa fiancée, influenceuse sur les réseaux sociaux. On peut très bien lire cet ouvrage sans avoir lu le précédent, ce n'est pas dérangeant.
J'ai aimé me retrouver de nouveau à Key West. J'ai apprécié l'ambiance très estivale qui se dégage de ce roman. Ça se déroule sur une île entre la Floride et Cuba, il fait beau, il fait chaud... Ambiance qui est également électrique par moment étant donné qu'Alejandro et Anamaría ont été amours de jeunesse ; mais qu'ils n'ont pas réellement digéré leur rupture, survenue il y a pourtant douze ans.
C'est sympathique, c'est un couple qui fait des étincelles. Il y a beaucoup de non-dits, de rancoeurs.. C'est sur qu'avec eux on ne s'ennuie pas :)
J'ai passé un bon moment de lecture car l'histoire est bien ficelée, les personnages ont une personnalité très intéressante.
Je n'ai pas envie d'en dire plus, de peur de trop en dévoiler ce qui serait dommage.
Les amants de Key West est un roman que je recommande pour les vacances et il mérite bien quatre étoiles :)
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Suite de Sous le soleil de Key West, cette romance suit cette fois Anamaria, la petite soeur de Luis et seule fille du clan Navarro. Elle va retrouver son amour de jeunesse, Alejandro, revenu malgré lui à Key West, à la suite d'un accident.
Le couple vedette de cette histoire est vraiment charmant. Anamaria arrive enfin à trouver sa voie et se démarque de la carrière de pompier, tradition familiale, pour lancer sa société de bien-être et yoga. Alors le retour d'Alejandro remet en cause sa confiance en elle. de son côté,  le photographe mène la carrière de ses rêves, mais les tensions avec son père lui pèsent et revoir Anamaria le replonge dans le passé.
Si les deux protagonistes occupent la place de choix de cette histoire, les personnages secondaires ont une vraie place dans l'intrigue et l'on retrouve avec plaisir Sara et Luis, protagonistes du premier tome.
L'histoire d'amour est au coeur du roman, pourtant, comme dans le premier tome, un des personnages va devoir résoudre les tensions qui existent avec un membre de sa famille.
Key West offre un cadre agréable et chaleureux à cette romance, parfaite pour l'été, à lire sur le sable, les pieds dans l'eau.
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À noter que ce roman se déroule après Sous le soleil de Key West, que je n'ai pas lu, mais cela ne gêne pas la compréhension, les deux romans étant indépendants. Les quelques allusions de l'autrice à son premier roman enchanteront les personnes l'ayant apprécié, et permettront aux autres lecteurs, dont je fais partie, d'avoir un aperçu de l'histoire d'amour entre Sara et Luis. Une histoire d'amour qui ne m'attire pas outre mesure, à l'inverse de la nouvelle romance qui semble se dessiner à l'issue de ce roman…

Depuis quelques jours, j'enchaîne les romans des éditions de l'Archipel puisqu'après Duel au soleil et Dent de dinosaure, j'ai dévoré en deux soirées Les amants de Key West. Il faut dire que ma première rencontre avec Priscilla Oliveras s'est particulièrement bien passée, sa plume m'ayant d'emblée séduite, tout comme sa capacité à construire une intrigue douce et mouvementée à la fois, et développer des personnages humains dans leurs faiblesses, et attachants dans leurs qualités !

J'ai ainsi adoré partir à la rencontre de deux anciens amants qui, après une rupture difficile, vont avoir l'occasion de renouer et, avec un peu de chance, faire table rase d'un passé marqué par douze longues années de silence. Mais les choses s'annoncent, a priori, mal engagées… Anamaría, malgré la pression de sa mère, n'a aucune envie de revoir et prendre soin de son amour de jeunesse qui lui a brisé le coeur en quittant Key West pour réaliser ses rêves et fuir son père, en attendant d'elle qu'elle sacrifie tout pour le suivre. Et Alejandro n'a aucune envie de rester en convalescence dans sa famille, alors que son père lui a déjà depuis longtemps fait comprendre qu'il n'était plus le bienvenu, et qu'il a encore du mal à accepter ce qu'il considère comme une trahison de la part de son ex-petite amie. Sans son accident l'ayant gravement blessé, il n'aurait d'ailleurs jamais accepté de remettre les pieds dans sa ville natale où tellement de souvenirs le relient au passé…

Ce roman laisse une large place à la romance entre deux anciens amis et amants qui vont très vite réaliser que leur attirance d'antan est encore bien présente qu'ils le veuillent ou non. Malgré des échanges parfois tendus, chacun reprochant à l'autre leur rupture, on ressent pleinement leur très forte alchimie, leur connivence et cette complicité qui ne demande qu'à renaître de ses cendres. Pour ma part, j'ai adoré les voir évoluer ensemble, hésiter, douter, mais aussi réaliser que les blessures du passé ne demandent qu'à être définitivement pansées. Leur relation, pleine de tendresse et parfois un peu obscurcie par la peur d'être blessé, ne devrait pas manquer de faire battre le coeur des lecteurs, et leur donner très envie d'assister à un beau happy end entre deux personnages attachants qui semblent faits l'un pour l'autre. Anamaría et Alejandro nous offrent ainsi de très beaux moments durant lesquels les souvenirs du passé se mêlent aux espoirs du lendemain, un lendemain que le couple va devoir forger à son image.

L'autrice a réussi le tour de force de proposer une histoire d'amour belle et tendre qui s'impose à nous comme une évidence, mais qui n'est pas non plus exempte de difficultés, bien qu'elle ne se révèle jamais dramatique. En effet, si Anamaría et Alejandro se sont toujours aimés, ils ont également toujours eu entre eux le poids des attentes familiales et une vision de l'avenir assez différente. Ce sont d'ailleurs ces deux points qui les ont séparés il y a plus de dix ans et qui menacent maintenant de faire vaciller leur relation actuelle. Une relation sur laquelle ils se refusent à mettre un nom, mais qui compte énormément pour eux, malgré la menace d'un compte à rebours qui pourrait signifier la fin de tout ou, au contraire, le début d'une belle aventure à deux.

Peut-on aimer sans concession, tout en restant fidèle à ses propres rêves ? Peut-on concilier l'envie d'évasion et de découverte du monde de l'un, et le besoin de racines de l'autre ? Voici deux questions parmi de nombreuses autres soulevées par la relation entre une Anamaría ayant su trouver sa place au sein de sa communauté et un domaine professionnel dans lequel s'épanouir, et un Alejandro dont les aspirations professionnelles le conduisent par monts et par vaux. Je n'en dirai pas plus si ce n'est que j'ai apprécié que l'autrice rappelle que si ce n'est jamais facile, il est bien souvent possible de trouver des compromis ne nécessitant pas le sacrifice de l'un au profit de l'autre.

J'ai également beaucoup aimé suivre Anamaría dans le développement de son activité professionnelle dans laquelle elle semble vraiment s'épanouir, et faire des étincelles, que ce soit grâce à son dynamisme, ses multiples compétences, sa gentillesse ou sa sincère envie d'aider les autres. L'aide de sa future belle-soeur, une influence qui croit en elle et qui lui a ouvert son carnet d'adresses, n'est pas non plus étranger à son succès… Quant à Alejandro, photographe de talent, il semble réussir à exprimer dans ses photos tous les mots qu'il se refuse à prononcer, les maux sur lesquels il évite de s'appesantir, les émotions qui l'assaillent au gré de ses rencontres, la beauté des décors et des paysages qu'il découvre, et la vie qui pulse en chacun des êtres vivants qu'il photographie.

Au-delà de cet équilibre entre aspirations personnelles/professionnelles et désidératas amoureux, qui n'est pas toujours facile à atteindre pour des personnes aux objectifs de vie très différents, l'autrice aborde également avec brio la complexité des relations familiales, une source puissante de motivation et de soutien pour avancer dans la vie, mais aussi parfois un frein difficile à surmonter. Ainsi, si Anamaría a toujours pu compter sur le soutien inconditionnel de sa famille, de ses frères protecteurs, d'une mère envahissante, mais bienveillante, et d'un père dont elle est le joyau, Alejandro lui a dû et doit toujours évoluer en eaux troubles, entre un frère, une mère et une grand-mère adorables, et un père qui l'a depuis fort longtemps rejeté. Ce dernier n'a, en effet, pas accepté que son aîné refuse de reprendre les rênes du restaurant familial, vivant cela comme un affront et une marque d'ingratitude envers un héritage familial construit à force de dur labeur et de sacrifices, la famille d'Alejandro ayant dû fuir Cuba sous Castro.

Le père d'Alejandro m'a exaspérée à plus d'un titre, mais le personnage permet à l'autrice d'évoquer le poids des attentes familiales, parfois écrasantes, et la difficulté pour certains parents d'accepter que leurs enfants ne suivent pas la voie toute tracée qu'ils avaient prévue pour eux. À cet égard, il y a une scène qui m'a beaucoup émue, parce qu'elle concrétise une chose à laquelle Alejandro a toujours aspiré sans jamais se l'avouer, tout en nous offrant un moment père/fils d'une rare intensité. J'ai également été très émue par la manière dont le photographe de génie réussit, à travers son art, à construire un magnifique pont entre présent et histoire, qu'elle soit familiale et/ou collective. Collective, car l'histoire de Cuba et des personnes qui ont dû fuir Castro est tissée en toile de fond… Que ce soit grâce aux quelques mots espagnols glissés par-ci par-là que j'aurais d'ailleurs aimé voir traduits en notes de bas de page (oui, j'ai l'envie saugrenue de comprendre tout ce que je lis), la cuisine ou l'immersion dans la vie de deux familles cubaines, l'autrice offre d'ailleurs une petite incursion dans la culture cubaine.

En conclusion, entre rancune, doutes, interrogations, espoirs et échanges auréolés de sensualité, assistez aux retrouvailles mouvementées entre deux anciens amoureux, dont la complicité évidente et l'alchimie indéniable, malgré de longues années de séparation, ne devraient pas manquer de vous faire battre le coeur. Voici une romance addictive et facile à lire parfaite pour l'été et les personnes en quête d'une histoire d'amour laissant néanmoins une large place à la famille, et soulignant l'importance des racines et des liens familiaux. D'ailleurs, mention spéciale pour l'adorable Lulu, une petite fille qui devrait vous faire fondre…
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Après le happy end prévisible de Sous le soleil de Key West, Luis est à présent en couple avec Sara, et nous allons suivre cette fois sa sympathique jeune soeur Anamaria, la coach sportive. Dans l'épisode précédent, nous avions appris qu'elle se relevait peu à peu d'une rupture difficile, et Sara se proposait de l'aider à percer sur les réseaux sociaux et à développer son activité.
Coup de théâtre. Alejandro, qui l'avait abandonnée pour courir le monde comme photographe, est obligé de revenir à Key West, blessé lors d'une prise de photos, et incapable de rester seul.
Il revient à contrecoeur, les différends avec son père, qui voudrait qu'il reprenne le restaurant familial ne sont pas apaisés, bien au contraire.

Une jolie comédie romantique, à l'ambiance assez prenante, que j'ai lu d'une traite. Mais je suis un peu partagée sur ce roman.
J'ai l'impression qu'il ne se passe pas grand chose qu'on ne sache ou se doute dès le début, c'est un peu répétitif.
Je ne dois pas être faite pour les comédies romantiques !

J'ai cependant aimé, comme dans le premier volume, l'ambiance et la découverte de Key West, un bout des États-Unis plutôt atypique, vraiment le bout du bout ! Plus proche de la Havane que de Miami. Et les mamas cubaines si aimantes et si envahissantes.
Et ici encore, l'importance du regard que portent les parents sur leurs enfants. Cette fois, c'est le père, son soutien ou son rejet, qui conditionne toute la vie d'Alejandro.
Et j'ai été très émue par son voyage sur les traces de sa famille.

Au final, une lecture facile pour voyager cet été.
Ce n'est pas une suite, il peut être lu séparément et s'attache à d'autres personnages. Même si j'ai trouvé agréable d'avoir lu le précédent et de savoir ce qui s'est passé "avant". Mais ça ne m'aurait pas manqué sinon.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Une romance très agréable à lire et qui fait du bien durant l'été : le soleil Cubain, l'Amour, la plage... Un dépaysement total !
J'avais adoré le premier roman traduit de l'auteure "Sous le soleil de Key west", et du coup, mes attentes étaient très fortes pour ce deuxième roman.
J'ai parfois trouvé quelques longueurs, sans doute liées au fait que le récit soit raconté à la 3eme personne du singulier.
Malgré ce petit bémol, j'ai passé un bon moment de lecture !
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Je tiens tout d'abord à remercier @netgalleyfrance et @editions_archipel pour m'avoir permis de découvrir « Les Amants de Key West » de @prisoliveras
 
C'est le premier roman de cet auteur que je lis. Bien que j'ai eu quelques difficultés à entrer dans l'histoire, j'ai passé un agréable moment. L'écriture est fluide. L'auteur nous propose une plongée dans la communauté cubaine installée à Key West en Floride, avec ses traditions, sa culture et son héritage à entretenir.
 
C'est la rancoeur qui anime Anamaria. Alejandro, son premier amour, l'a abandonnée pour aller courir le monde et faire des photos. Alejandro éprouve le même sentiment à l'égard de celle qu'il a jadis aimé qui a alors refusé de le suivre. Entre Anamaria et Alejandro, ce n'est que non-dits et malentendus et cela dure depuis dix ans. Les années ont passé, chacun a fait sa vie ou a tenté de faire sa vie mais il y a toujours un trouble lorsqu'ils sont en présence l'un de l'autre, une attirance entre eux. Anamaria et Alejandro ne peuvent faire abstraction de leurs souvenirs comme de leurs sentiments. Leurs mamás cubaines sont prêtes à tout pour qu'ils se remettent ensemble.
 
Anamaria qui est ancrée dans la tradition veut, tout comme Alejandro, réussir professionnellement. Elle est déterminée. Alejandro a des choses à régler avec son père qui n'a pas compris son choix de carrière et son refus de reprendre le restaurant, l'affaire familiale créée par son grand-père.

Un roman à emmener à la plage qui fait une belle place à la famille, qu'elle soit de sang ou de coeur.
 
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Comédie romantique. On en parle de cette sublissime couverture??

J'avais déjà beaucoup aimé le premier tome concernant le frère de Anamaria. Et Key West… je n'en reparle même pas, une de mes villes chouchou.
On est donc avec Anamaria, à la tête d'une petite entreprise de fitness et Alejandro, devenu photographe professionnel.
Un amour de jeunesse, des promesses non tenues, des vies qui prennent des chemins différents… pourtant tous les deux ne se sont jamais oubliés.
12 ans ont passé, Alejandro est en convalescence à Key West. Il va retrouver Anamaria. Les liens vont peut à peu se retisser mais les obstacles du passé seront ils plus franchissables maintenant sous le soleil de Floride?

J'ai beaucoup aimé cette romance toute douce sur des retrouvailles et la renaissance d'un amour même lorsque les années ont passé.
J'ai trouvé les familles des deux personnages trop drôles et tellement peu discrètes dans leurs tentatives de recréer du lien.
C'est mignon, c'est frais et ça sent bon l'été.
Merci beaucoup à #netgalleyfrance et #lesamantsdekeywest
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#LESAMANTSDEKEYWEST #NetGalleyFrance
Merci avant tout à NetGalley et aux Editions de L'archipel pour m'avoir permis de lire ce livre avant sa parution.
Ce livre contient tous les ingrédients pour une jolie romance estivale. le style et fluide.
Le fond est contenu dans l'importance de la famille et dans la caricature des deux mamans d'origine cubaine.
Les thèmes abordés s'entremêlent: respect des racines et réalisation personnelle, deux thèmes qui parfois s'entrechoquent, avant de trouver leur juste voie.
En prime jolie leçon d'espagnol ou de cubain à travers les dialogues en double langue.
Dépaysement assuré, un livre qui va ensoleiller vos vacances.
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Retrouver votre amour de jeunesse à qui vous n'avez jamais pardonné, et faire face aux tentatives les plus imaginatives de votre famille pour vous réconcilier...
Voilà la situation vécue par Anamaria et Alejandro dans le nouveau roman de Priscilla Oliveras. J'avais beaucoup aimé Sous le soleil de Key West l'été dernier, j'étais très heureuse de pouvoir découvrir ce tome.
Vous pouvez totalement lire ce roman sans avoir lu le premier car nous sommes vraiment sur une autre histoire et non une "suite" même si nous retrouvons certains personnages.

Alejandro, photographe, revient donc chez lui, en convalescence après une chute qui aurait pu lui coûter la vie lors d'une séance photo.
Le retour est difficile car dans sa famille cubaine, on a dû mal à lui pardonner son départ, "l'abandon" de sa famille et surtout de ne pas prendre sa place dans le restaurant familial.
Et Anamaria, qui va jouer le rôle d'infirmière, presque contrainte par sa famille et celle d'Alejandro, garde beaucoup de rancoeur depuis le départ de son amour de jeunesse.
J'ai aimé les quiproquos de leur histoire, chacun reproche des choses à l'autre, l'une d'avoir été abandonnée, l'autre qu'elle ne soit pas partie avec lui.
L'intrigue repose beaucoup sur ces non-dits, leurs retrouvailles et les manigances de leurs proches pour qu'ils se retrouvent en tête à tête le plus souvent possible.
Mais contrairement au premier tome, il m'a manqué quelques rebondissements. Cette romance se lit vite mais il n'y a pas de grands secrets, de grandes révélations, un évènement qui vient tout bouleverser et secouer nos émotions.
J'ai parfois trouvé qu'il y avait beaucoup de descriptions, qu'on se perdait un peu dans toutes les réflexions d'Anamaria et d'Alejandro.
Heureusement, la touche d'humour est présente par les interventions d'une famille aimante, soudée mais hyper envahissante.
J'ai préféré le tome 1 mais j'ai tout de même passé un bon moment de lecture.
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Les amants de Key West sont une plongée en plein dans l'ambiance cubaine de l'île de Key West en Floride, sous le soleil et les palmiers. J'ai adoré cette histoire de retrouvailles d'un premier amour perdu mais jamais oublié. Alejandro et Anamaria se sont aimés avant que des histoires de famille, la fierté et les peurs aient raison de leur relation. 10 ans plus tard lorsqu'Alejandro remet les pieds sur l'île, en colère et irritable, il se confronte à une nouvelle Anamaria déterminée à ne pas se faire briser le coeur une seconde fois. Mais pourquoi chercher à empêcher l'inévitable ?

J'ai passé un très bon moment, le décor était parfait pour la saison. le schéma bien que classique a très bien fonctionné avec moi. C'est un tome compagnon au roman Sous le soleil de Key West, que je n'ai pas lu (mais que je vais lire !) et cela n'a pas dérangé ma lecture !
L'atmosphère du roman est ce qui m'a le plus plu, j'ai adoré être le témoin de ces liens familiaux si forts et soudés qu'ils en sont encombrants parfois. Les descriptions de paysage, les mots en espagnol, vraiment j'y étais. Ce roman offre de vraies belles scènes d'amour, l'amour fraternel, l'amour familial, l'amour tout court. J'ai passé un très bon moment ! Je remercie les éditions l'Archipel et Net Galley pour l'envoi de ce service presse.
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