Ces biographies « exceptionnelles » tissent le fil rouge de l’ouvrage. Mais l’autrice documente aussi une présence noire plus anonyme mais qui n’en est pas moins importante selon les époques, comme celle des esclaves au XVIe siècle.
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Par les récits de vie mêlés de figures afro-européennes, l'historienne Olivette Otele donne à voir la complexité des relations entre les continents africain et européen depuis plus de deux mille ans.
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L’ouvrage d’Olivette Otele a fait grand bruit lors de sa sortie en Angleterre en 2020, bien au-delà des pays anglophones.Sa traduction, aujourd’hui, permet de comprendre le retentissement de ce travail effectivement inédit sur la présence africaine en Occident depuis l’Antiquité. Travail qui a infléchi les programmes scolaires au Pays de Galles...
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Note de l’auteure et du traducteur
La traduction française de cet ouvrage recourt de manière générale au masculin dit « neutre » dans le cas de formes plurielles collectives. Nous aurions souhaité adopter, pour ce livre, des formes plus inclusives, mais l’usage fréquent de formes doubles (« les Noires et les Noirs »), après discussion avec notre éditeur qui préférait éviter le point médian, nous a semblé alourdir indûment la lecture.
Il est à noter que cette question linguistique fait l’objet d’évolutions importantes dans l’aire francophone depuis quelques années, et que ce livre apporte aussi, sur un plan historique, sa contribution dans la lutte contre l’invisibilisation des Africaines et des afrodescendantes.