Le bestial serviteur du pasteur Huuskonen

Tout commence bien. C'est à dire qu'au début du livre les bases sont jetées pour faire de l'histoire une comédie farfelue à souhait.
Tout vacille dans la vie du personnage principal, un pasteur proche de la cinquantaine. Son mariage bat de l'aile, il perd la foi et ses repères, et comme s'il n'avait pas assez de problèmes, ses fidèles lui offrent un petit ourson orphelin.
C'est mignon un ourson, mais il faut s'en occuper ! Et puis surtout, l'animal grandit, et devient un gros ours bien encombrant.
Le hic, c'est qu'assez rapidement l'histoire s'essouffle. Les rires du départ laissent la place aux sourires, puis plus grand-chose.
Bref, je me suis lassée des facéties de l'ours, assez répétitives, et j'ai trouvé la seconde moitié du livre plutôt ennuyeuse.
En conclusion : une lecture pas désagréable, mais un livre vite lu, vite oublié.

J'ai apprécié mais sans plus .

Toujours original comme auteur, drôle, imprévisible.

Mais je me suis lassée des péripéties de nos deux compères, l'homme d'église et son ours.
Des cours de repassage pour l'ours aux messages du fin fond de l'espace, de la Laponie à la Méditerranée...A la fin plus rien n'étonne.

Une histoire drôle et un ton cynique pour relater cette relation étrange entre un homme et son ours. Dommage que cela soit vite soporifique.

Comédie farfelue qui peut faire jubiler à certains passages, mais que j'ai trouvée trop décalée à mon goût.

Tout commençait pourtant bien: une ourse et ses oursons qui dévalisent la réserve du traiteur avant un banquet, et l'accident terrifiant qui s'ensuit, arrachant au lecteur moults éclats de rire, totalement injustifiés au regard de l'horreur de la situation. Et puis très vite, lassitude, le comique n'a plus fonctionné, les péripéties ont perdu leur intérêt. Dommage!

Désolé, mais j'ai pas accroché. Je ne trouve pas le livre drôle, limite ennuyeux par moment.
On reste néanmoins suspendu à l'histoire, bien curieux d'en connaître la chute. le style est certes agréable.
Je l'ai au moins fini. Ouf, il était temps.