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Citations sur Prisonniers du paradis (38)

nous comprîmes, fous de joie, que nous avions capturé un animal qui pesait au moins deux cents kilos. La vue de la tortue morte me causait une certaine tristesse. J'avais l'impression d'avoir tué mon beau-père p82
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Est-ce bien raisonnable de se donner tant de mal pour partir d'ici ? Il me semble que cette île serait un endroit idéal pour passer agréablement les années de vie qui nous restent.
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Ces animaux savent être désagréables même à l'état sauvage.
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Lecteur, tu peux me croire, j'étais alors le plus heureux des hommes. Maintenant que tout cela fait partie du passé, d'une vie ancienne, je suis loin d'être aussi satisfait et je ne crois pas que je pourrai jamais retrouver une existence aussi paisible.
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Je lui fis remarquer que tout n'était pas parfait dans notre camp. Par exemple, nous n'avions pas la télévision.
La télévision ? Mais qu'est-ce que nous y verrions ? Le spectacle de la souffrance humaine, entrecoupé de divertissements, de rires absurdes et insensés, de publicités ! Bien sûr, il y a aussi des émissions intéressantes, . Moi, par exemple, j'aimais bien les documentaires sur la nature et les animaux ou sur des régions du monde comme celle où nous nous trouvons aujourd'hui.
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Est-ce bien raisonnable de se donner tant de mal pour partir d'ici ? Il me semble que cette île serait un endroit idéal pour passer agréablement les années de vie qui nous restent.
Il déclara qu'il ne comprenait pas pourquoi nous tenions tant que ça à retourner dans un monde déchiré par les guerres, pour payer des impôts, acheter des produits coûteux et superflus, avoir un cancer du poumon ou quelque autre maladie, écouter les jérémiades continuelles de nos épouses au sujet de leurs jambes enflées et de la laverie toujours bondée. L'Europe était en pleine pénurie énergétique, il y faisait froid, et pour ce qui était de la démocratie occidentale, inutile de partir d'ici, l'organisation de ce camp était bien meilleure. Il marmonna qu'en ce qui le concernait, aucune des deux chambres du Parlement britannique ne lui manquait le moins du monde ! Il évoqua encore l'entrée de la Grande-Bretagne dans la C.E.E et se mit presque en colère : nous étions complètement fous de vouloir quitter cette île !
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Je suis journaliste. Un Finlandais tout ce qu'il y a d'ordinaire: un individu mal éduqué, avec des ambitions limitées, une veste usée et un caractère sans relief.
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Un signe que le socialisme s'est vraiment réalisé ici est que nous n'avons pas besoin de police.
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Je me fis plusieurs fois la réflexion que, partout dans le monde et quelles que soient les circonstances, les femmes sont décidément toujours les mêmes.
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J'ai bcp aimé, le style Paasilina allie toujours une vision positive des choses et l'originalité des situations qu'il fait vivre à ses personnages. Un de mes auteurs préférés.
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