Citations sur Bed bug (122)
- L'amour, c'est tout sauf logique. Si c'est logique, c'est pas de l'amour.
-C'est quoi alors?
- De la raison, de la résignation, de la distraction, du calcul, de l'application, de la répétition... Au choix.
- Waouh! Rose, t'es dingue!
- Ce sont les autres qui sont dingues, moi, je suis vivante, perspicace.
page 214-215
Faire semblant, c'est éviter les problèmes, les repousser à plus tard. On peut faire semblant tout le temps si on veut. On risque juste de passer à côté de sa vie.
page 142
Je suis seule, c'est tout. On est tous seuls. Chacun dans sa petite boîte. Le bonheur n'existe pas. C'est une carotte pour nous convaincre de rester sur terre. Sinon tout le monde se tirerait.
page 79
Tomber en amour, c'est tomber en flaque.
page 63
- Ce n'est pas si simple. Les gens ne sont pas noirs ou blancs. Gentils ou méchants. Aimables ou haïssables.
- Tu la défends toujours!
- Non, je ne la juge pas, c'est différent. Quand on juge, on n'est pas juste. Je n'aime pas te sentir en colère contre ta mère. Ce n'est pas de la colère, d'ailleurs, mais de l'amour blessé. Et puis.....
- elle n'est pas la seule coupable.
page 47
- Non, je tiens à payer. On partage.
- Trop tard! il s'écria en abattant sa carte de crédit. Prenez vite, garçon! Mademoiselle ne veut rien accepter d'un homme.
Le garçon rit:
- Ha, ha! toutes les mêmes! Un coup, elles nous provoquent, l'autre coup, elles minaudent, et toujours, elles nous maltraitent. Vous voulez que je vous dise? C'est nous, les hommes, qui sommes harcelés. On devrait porter plainte.
page 31
Tu n'es pas la première à tomber sur un caméléon ! Tu devrais plutôt te demander pourquoi tu n'as pas songé à interrompre le massacre et à partir?
Une lecture de circonstance en ces temps de dénonciation.
"...un baiser chaud, velouté, un long baiser tranquille, qui prend son temps, qui rassasie, intrigue, qui donne et se retire, appuie un peu pour promettre, fait naître un frisson des reins jusqu'à la tête, un bon baiser bien donné, avec une autorité tranquille, parfois furieux, parfois peureux,... un baiser qui chavire...
La délicieuse guerre des corps qui se désirent...."
p. 19 ... et c'était bien connu, loin de son vrai moi, on ne vaut pas tripette, on s'étale comme une carpette, et on crie aux passants marchez-moi dessus!
p. 20 ... Babou se peint les orteils en bleu marine. Elle parle à ses doigts de pied. Ses dix petits marins. ...
...
- Pourquoi tu parles à tes doigts de pied?
- C'est une habitude que j'ai prise, petite. Je me réveillais et je les comptais. J'avais toujours peur d'en avoir perdu un pendant la nuit, ...
p. 21 ... Leo ... s'essuyait la bouche tel un essuie-glace déchaîné...
p. 28 ... Les gens méchants sont souvent malheureux.
p. 29 - La malveillance, c'est de la paresse intellectuelle.
p. 47 ... Ce n'est pas de la colère, d'ailleurs, mais de l'amour blessé...
p. 104 "Il faut recréer le passé pour s'en débarrasser" disait Balzac
p. 167 Elle n'aimait personne... Elle dormait seule dans un grand lit. 1 big bed avec un big bug. Bed bug. Bed bug.
p. 228 ... Lui donna un baiser de coccinelle.
Leo parcourait les lèvres de Rose, donnait des petits coups de langue, des petits coups de lèvres. Mordillait, caressait, léchait. Rose gémit pour lui montrer qu’il était sur le bon chemin. Elle resserra les bras autour de son cou, se frotta contre lui, chuchota « mmm, c’est bon… ». L’encourageant à continuer. Un début de plaisir chauffait ses reins, ses seins. Elle commençait à bouillonner.