Trois Baisers

bon ! pour ceux qui suivent un peu mes chroniques, vous savez que je ne suis vraiment pas du genre à abandonner un livre en cours et je trouve toujours quelque chose de positif dans un roman .... Mais là, je n'ai pas pu ! tant j'ai adoré les 3 premiers volets de la serie et finis sans difficultés les trois suivants alors qu'ils sont plutot moyens...mais ici , non! Les personnages phares sont là mais il ne se passe rien ...ça n'avance pas ...l'histoire n'a ni queue ni tête (à force de vouloir faire se croiser des histoires entre elles, ça devient complétement incohérent et improbable) . Les personnage deviennent des caricatures d'eux même. Bref, j'ai tenu 173 pages sur un pavet de 850...dommage !
Encore une fois, à vouloir faire des suites, et des suites pour vendre ....on se brûle les ailes

Si l'histoire est prenante au début, elle devient vite ennuyante! Une catastrophe! La lecture est longue et on a du mal à lire le livre jusqu'au bout. de plus, les personnages sont assez grossiers, le langage est vulgaire...

C'est le tout premier Pancol que j'ai lu... je pense ne pas en lire d'autres. Dommage.

On l'a tellement martelé l'idée de lire du Pancol que j'ai fini par céder. Et quelle déception. Déjà, je n'ai pas du tout adhéré au style. Elle a le mérite d'en avoir un, mais je le trouve trop pénible à lire, comme si c'était écrit par un enfant un peu dérangé. La succession de phrases courtes m'a profondément agacé. On dirait une liste de courses écrite par un robot. Mme Pancol, il existe des conjonctions de coordination, vous savez!
Du côté de l'histoire, ce n'était pas plus réjouissant. C'est très bateau, mais en multipliant les points de vue et les chronologies, ça veut paraitre alambiqué.
Bref, première et dernière fois que je lis cette auteure.

Quelle déception ! Après avoir été enchantée par les deux précédentes trilogies de Katerine Pancol, je me faisais une joie de retrouver ces personnages que j'avais tant aimés. Je me suis finalement ennuyée : intrigue inexistante, rien ne se passe, ton moralisateur. Et le style : pauvre, artificiel et répétitif.