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Indochine tome 1 sur 4

Maza (Autre) Maza (Autre)
EAN : 9782413019848
56 pages
Delcourt (26/08/2020)
3.58/5   6 notes
Résumé :
Arrivé en Indochine pour piloter des P47 Thunderbold, Armand volera aussi à bord d’hélicoptères et participera à tous les engagements importants, les accrochages avec les premiers chasseurs chinois à la frontière de la RC4 jusqu’à Diên Biên Phu. Plusieurs fois cité à l’ordre de l’armée, plusieurs fois cassé, joueur invétéré et buveur impénitent, Armand se croyait immortel. Aujourd’hui, il l’est.
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Jour J

Fred Duval

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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Armand Baverel, est le héros de cette nouvelle série consacrée à la guerre d'Indochine, pilote Français ayant réellement exixté.

Une scène de combat aérien pour l'entame de cette série met l'eau à la bouche, dynamisme, humour, histoire, intrigue, voyage et aventure tous les ingrédients sont là pour intriguer le lecteur que je suis.

L'auteur sait très bien où il veut nous emmener et je suis rentré dans cette série doucement mais surement et c'est plutôt bon signe.
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Premier épisode de la saga indochinoise du téméraire, intrépide, drôle, jouisseur Armand Baverel...
Du moment qu'il y a des ailes et un moteur, il fait voler n'importe quoi.
On commence en fin de seconde guerre mondiale où il côtoie des P-51 Mustang et des P-47 Thunderbolt dont les dessins sont très beaux.
Puis, grâce aux libertés qu'il prend avec les règles de l'armée de l'air, il est "promu" en Indochine où la hiérarchie est un tantinet moins présente, pénurie de moyens oblige.
Ici, c'est entre amis, on s'arrange entre nous...
Le seul fil conducteur : loyauté envers les frères d'arme.
Je n'ai jamais vu autant de crash d'avions pour un seul homme. Aujourd'hui, vu le prix à l'unité d'un rafale, il serait viré illico. Hier, malgré le peu de moyen, c'était un héros.
Série à lire de un à quatre, elle le mérite.
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Alsace, 1er janvier 1945.
Le passage de l'an cela se fête qu'on soit proche ou non du front. de toute façon, les Schleus sont exsangues, on n'est pas près de les revoir faire voler les rares coucous qui leur restent…
Voilà ce que mes compagnons et moi pensions le 31 décembre lorsque nous avions fait venir d'accortes demoiselles pour partager avec nous quelques bonnes bouteilles… Et plus si affinités !
J'étais censé être en alerte, installé dans mon P51-D, prêt à décoller dans les deux minutes. J'ai pleinement profité de la soirée et de la nuit, mais c'était sans compter sans ces teignes de Boches qui, alors qu'ils savaient qu'ils avaient perdu la guerre, sont venus nous casser les roustons. J'ai été le seul à pouvoir m'installer dans mon chasseur lorsqu'ils sont venus nous mitrailler et bombarder avec leurs Focke-Wulf. Tous les autres appareils ont été détruits au sol, ainsi que notre mess. Faute de temps, je suis parti sans mon parachute. Je me suis offert deux nazis avant d'être touché. Heureusement que des P47 Thunderbolt sont apparus pour me sauver la mise. Faute de parachute, j'ai dû me cracher avec mon Mustang. Je m'en suis sorti vivant avec quatre fractures, six côtes fêlées, des jambes dans le plâtre et de multiples autres contusions… Et une cour martiale en prime ! Faut dire que j'aurais dû être en alerte dans mon avion et que je n'y étais pas. Qui plus est, j'étais complètement ivre…

Critique :

Si vous espérez découvrir une authentique page d'histoire, encourez-vous vite ! Oui, Armand Baverel fut pilote dans l'Armée de l'Air, mais le récit que vous trouverez dans cet album lui fait vivre des aventures fantaisistes. Déjà, l'histoire commence avec un Armand Baverel qui pilote dans l'US Air Force… Il s'y serait engagé en 1943… La carrière du vrai Baverel débute en 1948 à l'âge de 19 ans. En 1943, il aurait eu 14 ans… Et il ne s'engage pas dans l'Armée de l'Air française comme pilote, mais comme mécanicien. Oui, il deviendra pilote, mais en 1955… Bon ! Laissons là l'Histoire avec un grand H se reposer. La pauvre en a bien besoin tellement elle est malmenée et penchons-nous sur cette fiction…

Jean-Pierre Pécau crée un scénario très divertissant avec un héros, une vraie tête brûlée, beaucoup de courage, d'inconscience et un sacré désir de profiter de la vie. Les règlements ne sont pas faits pour lui. Ils limitent, voire ils annihilent son plaisir. En clair, il n'en fait qu'à sa tête. L'aventure se lit vite et est plaisante.

Les dessins de Maza des avions sont d'une facture correcte, mais les humains n'ont pas une qualité de trait qui permette par exemple de les identifier avec la seule vue. le texte des bulles permet de savoir qui est qui. On est loin de la qualité d'un Buck Danny pour ce qui est des traits des personnages.

La mise en couleur de Jean-Paul Fernandez est agréable.

La couverture de Manchu ne décevra pas les amateurs.

Dans l'ensemble une bonne fiction même si pour moi on est loin des qualités d'Angel Wings, par exemple. … Comment ? … Que dites-vous ? … C'est parce que dans Angel Wings il y a une superbe nana avec deux nichons gros comme des pastèque ? M'enfin ! Quel manque de tact ! Vous voulez vraiment déclencher une troisième guerre mondiale avec les lobbys féministes ? Ne comptez pas sur moi ! Et ne me traitez pas de lâche ! J'ai épargné pour ma retraite et je tiens à en profiter !
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Suite au fiasco d'une intervention après une intrusion de l'aviation allemande, Armand Baverel se retrouve à l'hôpital avec des côtes cassées et de nombreuses contusions. Après de nombreux mois en réalisation, ses supérieurs lui laisse deux choix. Soit la radiation à vie, soit son engagement dans l'aviation en Indochine. La France manque d'aviateurs et s'il accepte, l'armée passera au dessus du fait qu'il était en état d'ébriété en vol. Direction l'Asie pour ce qui devrait être en théorie une partie de plaisir... Mais une fois arrivé, celui ci déchante vite. Les avions sont de vraies passoires qui peuvent exploser ou avoir au mieux des dératés. Jean Pierre Pécau signe une nouvelle série sur fond historique en s'intéressant au destin d'Armand Baverel personnage haut en couleurs ayant existé entre 1929 et 2015. Il est accompagné de Mazza le dessinateur de Wunderwaffen, la voltige il maîtrise ! C'est d'ailleurs comme ça que commence l'histoire de cet album. L'histoire est plutôt lente mais est probablement nécessaire pour compter les débuts de cet aviateur hors du commun. Mais c'est un peu confus les diverses missions effectuées ne sont pas claires et manquent de contexte. Au point qu'entre les deux dernières pages, on ne comprend absolument pas ce qui c'est passé. À voir pour la suite mais pour l'instant, je suis déçu car j'en ai très peu appris sur ce personnage qui m'était inconnu avant de lire le premier tome de cette série.
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critiques presse (2)
BDGest
29 décembre 2020
Malgré quelques longueurs et une lente mise en place, Adieu, vieille Europe offre de bonnes sensations et promet le meilleur pour la suite.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
16 septembre 2020
Un scénario prenant et rythmé, mais qui reste assez linéaire et prévisible tout du long. On devine très vite qu'il est surtout question de placer les pions, que la suite promet d'être un tantinet plus "rebondissante" et plus surprenante !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
- Du calme, petit, on fait une guerre de pauvre, ici.
- Et si ça continue comme ça, on n'est pas près de la gagner !!
- Contre des paysans dans des rizières ? Sans vouloir te vexer, Armand, même sans avion on va régler le problème.
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- Qu'en pense le chef de corps ?

- Il ne pense pas, mon petit, ici c'est moi qui pense. Lui, il est militaire, il ne peut pas tout faire.
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Conseil lecture de la bande dessinée par Stéphane Nappez, co-fondateur de l'association Baraques Walden.
Entretien mené à l'Abbaye de Jumièges (département de la Seine-Maritime)
Vidéo : Paris Normandie
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