Dix petits hommes blancs

Une nouvelle édition de ce polar québécois, un texte mêlé de critique sociale et technologique.

Un clin d'oeil aux « Dix petits nègres » d'Agatha Christie, mais une intrigue qui n'a rien a voir avec les oeuvres de la célèbre britannique. Il ne s'agit pas d'un huis clos, les victimes seront éparpillées dans les arrondissements de Paris.

Un richard trouvera d'abord son fils nu, mort, dans sa cour. Il veut certes qu'on retrouve le meurtrier, mais il veut encore plus éviter le scandale. Il faudra donc du temps avant que les liens puissent se faire, d'autres hommes blancs au physique de jockey devront mourir pour compléter le tableau. Chose inquiétante pour les enquêteurs, la presse et surtout les médias sociaux ont constamment une longueur d'avance sur la police. Il semble bien que les meurtriers cherchent la publicité.

L'intrigue est intéressante, mais de longs échanges épistolaires alourdissent le texte et on se demande parfois si l'auteur hésite entre l'essai ou le roman.

Un livre intéressant par son regard sur la société numérique, sur les médias et les « vérités alternatives » qu'ils transmettent…

2.5 Je suis décue. Je n'ai probablement pas choisi le "bon" livre de cet auteur pour en faire sa découverte. Ou ce n'est tout simplement pas mon genre de lecture. J'aime bien l'imagination débordante avec des tueurs formés pour se débarrasser des intrus mais, à mon avis, l'histoire part dans tous les sens. Trop de personnages. Et l'intrigue ? Elle ne m'a pas accrochée... Avavnt de choisir ce livre, j'aurais dû me renseigner davantage sur le style. Une lecon pour moi: ne pas juste acheter parce que la version numérique était en solde.... Mais ca n'enlève rien à l'écriture de l'auteur. Si vous aimez ce genre, allez-y!

J'ai aimée Dix petits hommes blancs mais encore une fois, la tétralogie des gestionnaires de l'apocalypse est indéclassable. Les mêmes personnages sont de retour mais de moins en moins intéressant (selon moi). Les personnages n'évoluent pas beaucoup d'aventures en aventures.
Mais au dela des qualités ou des défauts des personnages ce sont plus leurs aventures, leurs activités qui sont intéressantes. le talent d'écriture de Jean Jacques Pelletier est toujours aussi significatif. Je lirai le prochain à cause de cela mais j'ai bien peur que la lecture de cet auteur cesse après, les aventures de Théberge, Nathalya et Prose perdant de plus en plus d'intérêt à mes yeux.

Une histoire de complot sur la population mondiale qu'il y a trop de monde sur la terre. Manipulation des réseaux de télécommunication. Meurtres de dix petits hommes sélectionnés au hasard. Tout ça dans un livre avec des belles idées sauf que moi, j'ai des bouts que j'ai pas compris, quand c'est trop politique comprend pas trop

Une découverte de cet auteur canadien; il y a beaucoup de personnages et j'ai eu du mal à identifier qui était qui; l'intrigue n'est pas trés vraisemblable et on retrouve l'influence de Stieg Larsson dans le personnage de Natalya mais pas aussi brillament; Je suis restée sur ma fin (ou faim?) et d'ailleurs on a le sentiment que l'auteur introduit 'un prochain épisode'. Un polar un peu trop prévisible à mon goût.