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4,12

sur 1014 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Les listes ont quelque chose de rassurant. Elles nomment les choses, leur donnent vie et sans qu’il soit nécessaire de dire à quoi elles servent, elles peuvent suffire à décrire un monde ou à ouvrir des perspectives sur une multiplicité d’histoires, de vies.

On ne se lasse pas de parcourir celles dressées par un Georges Perec ironique et facétieux, celles qui nomment tous les objets d’un immeuble parisien. Les témoins de la vie de ses habitants racontant leurs histoires loufoques, tendres ou érudites qui nous font faire le tour du monde en prenant toutes les formes de la littérature romanesque.

Un roman vertigineux et magistral, une prouesse littéraire écrite selon les contraintes définies par l’Oulipo (Ouvroir de littérature potentielle), un groupe d’écrivains et de mathématiciens se définissant comme des « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir ».
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Avec ce livre, on étudie dans le détail tout une foule de personnages qui habitent le même immeuble. C'est un travail délicat, précis, rempli de petites histoires, de petites nouvelles, décrivant des vies, tristes, jolies, mélancoliques souvent.

A certains passages, on croirait flancher de tristesse et à d'autres on rit beaucoup ou l'on ressent de la légèreté. le personnage de Marguerite, la miniaturiste, m'a semblé très emblématique du travail d'écriture de l'auteur.

Au coeur du roman, Bartlebooth part aux quatre coins du monde, pour peindre vingt marines, afin de pouvoir créer vingt puzzles.
Autour de lui, des tas de personnages issus de milieux différents, vivant dans des endroits grands ou petits. Les petits métiers sont célébrés, et on sent que toute cette ambiance est très parisienne. Toute la société est représentée, dans toutes ses couleurs et elle nous montre très souvent le spectacle de bien des désillusions ou des solitudes.

Un livre plein de poésie et de charme, à lire, et surtout aussi, à relire au fil du temps, pour redécouvrir les passages mal lus.
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Ouf ! Après des années de dur labeur, me voilà enfin parvenue à l'épilogue de cette Vie, mode d'emploi. Rassurez-vous, je ne lisais pas que ce roman (?), je l'ai siroté, à petites doses. Il me serait vite devenu écoeurant, à doses plus importantes !
Bref, un livre qui ne ressemble à rien que j'aie pu lire avant (et probablement que je lirai ensuite).
La figue et le raisin se disputent le nombre d'étoiles : il n'y a pas de trame en tant que telle, où est l'intrigue ? Je ne fais que bailler ! Ce foisonnement d'explications, de descriptions totalement inintéressantes sur des objets, des événements qui le sont tout autant ... affirme la première. Oui, mais l'idée est grandiose, purement géniale, toute la société française sur des dizaines d'années y est décrite sans en avoir l'air, ces dizaines de micro-récits dans le récit, ces mélanges de réalité/fiction qui font tourner la tête aux lecteurs que nous sommes, cette érudition lexicale, ce sens de la description minutieuse, c'est extraordinaire ! rétorque la seconde.
En résumé, moi, je prendrai bien un lychee en dessert.
La fan de la langue française tire son chapeau, la fan de lecture prendra des gants pour avouer qu'elle en avait plein les bottes de cette lecture interminable ... Mais peut-être retournera-t-elle sa veste en découvrant d'autres critiques ...
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Mort de Bartlebooth, hier, 1975, sur les divans verts de la salle de lecture, mort de Perec il y a précisément vingt-cinq ans, sa voix pour me réveiller ce matin, mort de Winckler, mort de Valène, et demain, ce soir peut-être, mort de marraine. L'immeuble s'écroule sous le poids de la vie. Mille romans en un, mille personnages qui se croisent et dont les destins loufoques, tragi-comiques, ridicules, toujours mus par la passion ou la folie, entrent en contact par l'immeuble, le livre et le cerveau extraordinairement fertile de Georges Perec. Qu'est-ce que c'est, lire La Vie mode d'emploi ? C'est entrer dans la joie du détail, dans le trésor de l'anodin, dans le feuilleté de l'existence. Tous les appartements débordent de fourbi dont Perec, tranquillement et malicieusement, dresse la liste que le lecteur, même s'il est distrait, parcourt sans se lasser en attendant qu'on lui raconte un destin extraordinaire, l'obsession d'un homme, culminant dans les puzzles de Bartlebooth, mais déclinée de mille manières différentes, parcourant tous les milieux possibles et imaginables, car ce qui fascine dans un tel bouquin, c'est l'imagination sans borne de l'auteur prestidigitateur qui fait sortir d'une boîte immobilière des mondes infinis, que seule la mort peut à peu près clore. Après la lecture de la Vie mode d'emploi, on ne rentre plus dans un immeuble comme avant, comme si ne s'y cachaient pas, derrière les portes fermées, les paillassons à chats ou à ramoneurs, les bottes terreuses d'enfants, les souliers vernis de cadres supérieurs en préretraite, les étagères vides et poussièreuses, les ballons crevés, les trottinettes rutilantes, les..., les..., les... (au secours, Georges, donne-moi des idées, je te plagie bien médiocrement), des hommes qui ont tous leur petit grain, leur secret, leur fétiche, des femmes passionnément amoureuses ou ennuyées, des enfants terribles ou terreux (mais peut-être justement pas là où les bottes nous auraient fait croire que...), des anciennes stars australiennes quittées par leurs cinquièmes maris, des transsexuels qui essaient d'enregistrer un disque, des..., des..., des..., des hommes qui passent dix ans à apprendre à peindre, puis dix ans à voyager dans tous les ports du monde pour y faire des aquarelles, puis le reste de leur vie à les reconstruire pour mieux les annihiler, et qui, au moment de leur mort, échouent. Malgré la disparition, et parce qu'il y a disparition, cela même qui a disparu demeure, il y a quatre "e" dans Georges Perec, il reste un W ou un souvenir d'enfance et, vingt-cinq ans après, je lis La Vie mode d'emploi.
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La Vie mode d'emploi est un extraordinaire exercice de style et le portrait d'un immeuble parisien. On y explore le bâtiment, chaque pièce ayant droit à un chapitre au moins, quatre-vingt-dix-neuf chapitres au total. Ce roman décrit le moindre détail de la vie quotidienne tout en offrant un roman attrayant. L'intrigue est un vrai labyrinthe. Un riche Anglais, Bartlebooth, entreprend d'organiser sa vie sur cinquante ans " autour du projet unique dont la nécessité arbitraire n'aurait d'autre fin qu'elle-même". Cette entreprise artistique suppose la production puis la destruction d'un certain nombre de tableaux. Je ne vous en dis pas plus... Ce qui m'a le plus marqué lors de cette lecture ? Vous allez rire : je me suis posée pour la première fois la question " combien de milliers, millions de mots compte cet ouvrage ?"
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La Vie mode d'emploi de Georges Pérec est un roman étonnant et surprenant.

D'abord par son style. L'auteur aime manier les mots et apprécie la richesse qu'offre la langue française pour lui permettre des descriptions précises des lieux et des objets qui constituent les décors de l'action. Il s'impose à employer le nom, l'adjectif ou le complément juste. Pour cela, tous les chapitres commencent de manière identique ; Pérec nous présente les caractéristiques précise du lieu, dans ses moindres recoins, ainsi que de tous les objets qui s'y trouvent, dans les moindres détails de forme, de style et de couleur.

Quant au format du roman, c'est un « presque » huis-clos. le lecteur est amené à explorer un immeuble haussmannien du XVIIème arrondissement de Paris. Tout est inspecté de la cave aux chambres de bonne sous les toits, de la machinerie de l'ascenseur jusqu'à la moindre pièce de chaque appartement. Pérec a joint un plan de l'immeuble à la fin du livre ! Chaque lieu est un chapitre qui pourrait s'apparenter à une nouvelle et raconte un événement personnel de ceux qui y vivent ou qui y ont vécu. Ces histoires sont dépendantes les unes des autres, même si elles se présentent dans le désordre. A la fin, elles s'assemblent comme les pièces d'un puzzle, le lecteur comprenant ainsi les propos du préambule mystérieux de Pérec.

Georges Pérec emprunte pour écrire ce roman toute forme d'écriture : celle des romans policier ou d'aventure, scientifique ou financière, érotique voire pornographique, celles des ouvrages d'art et même celles des catalogues d'outillages. L'auteur s'amuse ainsi à changer le rythme de la lecture pour troubler son lecteur. Telle la personne qui reconstitue un puzzle, nous pouvons progresser très vite en associant les pièces et parfois buter, incapable de trouver les liens entre elles.

La Vie mode d'emploi est un livre difficile à classer. Je dirai que c'est un patchwork littéraire qui donne une originalité à ce roman qui mérite d'être découvert.
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Attention OLNI ! Objet Littéraire Non Identifié – Ce que ce livre n'est pas : un roman, une histoire, un récit, une narration ordinaire. Ce qu'il est : un chantier, un entreprise minutieuse, un exercice de mathématique, un jeu passionnant, la caverne d'Ali-Baba revisitée, une lecture épuisante, ce vous y trouverez.
Muni de votre patience, d'un brin de curiosité, d'un peu de mémoire vous arriverez au bout de des 99 chapitres.
Quelques conseils préliminaires, cependant : Ne cherchez pas de liens mais sachez que vous en trouverez, ne vous demandez pas comment Perec s'y est pris avant la fin du livre, dites vous chaque fois que vous flanchez que vous avez le droit de le poser, de le reprendre, de le lire dans le sens que vous voulez mais lisez-tout ! Et puis si vous doutez, dites-vous que ce qu'on dit sur ce livre est vrai, c'est un truc époustouflant. Et tant pis si ce n'est pas ce que vous attendiez. Au fond la vie c'est ça, on n'a jamais ce que l'on attend.

Pour comprendre cet objet artistique, il faut se rappeler que Perec est un membre de l'Oulipo (ouvroir de littérature potentielle) qui – dans les grandes lignes – se fixe des contraintes formelles dans l'objectif de générer de la créativité. Dans La vie mode d'emploi, Perec a pour projet de saisir, à travers la vie d'un immeuble parisien, la totalité du monde, de son incohérence, de son inutilité. Projet impossible à l'instar de celui conduit par le personnage central qui échouera à conduire son déprimant projet. Pour cette écriture, Perec va se fixer une série de contraintes notamment, l'immeuble découpé en 10 cases x10, la description méticuleuse de chacune de ces cases (appartements, escaliers, caves, chambres de bonnes, machinerie, etc…) en n'omettant aucune dimension : les murs, le sol, les tableaux, les livres, la nourriture, les personnes qui l'habitent, leurs actions, leurs histoires familiales et personnelles, sans oublier les choses perdues dans l'escaliers, les mouches mortes ou la poussière. Cela va très loin et au fond ce n'est jamais suffisant pour parler de la vie (mais largement assez pour le lecteur !).

Tout commence et se termine au 11 de la rue Simon-Crubellier. le fil conducteur de l'ensemble c'est le projet de Bartlebooth qui « décida un jour que sa vie tout entière serait organisée autour d'un projet unique dont la nécessité arbitraire n'aurait d'autre fin qu'elle-même. » - Un projet qui mobilisera son auteur, son homme à tout faire Smauft mais également Wrinkler (un faiseur de puzzle), Valène (un peintre) et Morellet (un scientifique) tous habitants dudit l'immeuble. L'objectif de ce projet est… qu'il ne subsiste rien, strictement rien du travail que ces hommes auront accompli durant 50 ans. Terrifiant ! Dès le début du livre, Perec nous précise que Wrinkler - un des acteurs principaux du projet qui meurt dès le premier chapitre- avait ourdi une vengeance terrible. Et on va se taper 99 chapitres pour savoir de quoi il s'agit, et ensuite chercher un moment pour comprendre où se situe cette cruelle vengeance. On finit par comprendre !

Dans cet immeuble, vu en coupe, un peu comme si on avait enlevé la façade, va être décrit la vie des habitants actuels et passés. Ces vies vont nous conduire à travers le temps et le monde avec une pléiade de personnages tous aussi séduisants les uns que les autres : des milliardaires ruinés, des collectionneurs, des escrocs, des brocanteurs, des artistes, des danseuses, des magiciens, des amoureux, des enfants, des morts à la guerre, des constructeurs d'immeuble… Chaque appartement recèle d'une foule de ramifications avec un ensemble plus grand : l'universel. Certaines histoires sont réellement passionnantes, d'autres s'étirent sans nous captiver mais bon c'est la règle du jeu.

Au final, je m'aperçois que je devrais le relire pour mieux le saisir mais je sais que je n'en aurais pas le courage. J'ai raté des tas de choses mais ce que j'ai compris du message de Perec c'est que la vie… n'a pas de mode d'emploi.
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C'est un véritable ovni que G.Pérec a jeté dans le monde de la littérature en 1978. On n'avait rien fait d'aussi étrange depuis le "Voyage autour de ma chambre", de Xavier de Maistre. Et là, il y a 560 pages......
On a coutume de parler des "inventaires à la Prévert": ils ne sont pourtant rien, à côté des descriptions sans fin des intérieurs des appartements de l'immeuble (parisien) de la rue Simon Crubellier, des histoires qui s'entortillent à partir de la description d'un tableau, de la petite vie étriquée d'un locataire, ou de la folle vie d'un autre, aventurier celui-là, parfois chanceux, parfois perdu. Tout cela nous donne le tournis: nous sommes emportés dans la vertigineuse cascade verbale construite - avec grand soin - par l'auteur.
Inutile de chercher une intrigue. Il n'y en a pas, ou plutôt il y en a cent, mais de si petites....
Que trouver donc?
De l'humour, sans aucun doute. De la philosophie aussi: derrière ces vies souvent maladroites, on mesure le dérisoire de nos existences. C'est presque un constante: malgré la variété des personnages, il y a peu d'élévation, peu de forts caractères, plutôt des gens emportés par le rythme que la vie leur impose, et qui font ce qu'ils peuvent, parfois de façon mesquine, pour surnager. En l'absence de grand dessein, on peut accoler à l'ensemble l'adjectif "pessimiste": on vit comme on peut, mais au fond, on survit, et on ne fait que se préparer à la mort. Pérec voulait-il dire cela? Probablement, mais pas seulement: chacune de ses histoires dit autre chose, et il faut s'investir dans cette longue lecture pour en mesurer la complexité, et aussi la richesse
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Je ne sais pas ce qui fait que j'ai finalement aimé ce livre, un pavé de 600 pages constitué pour l'essentiel de descriptions des nombreuses pièces d'un appartement parisien. J'ai été frappé, comme à peu près tout le monde je pense, par la précision des descriptions, ce qui m'a permis d'ajouter plusieurs mots au carnet de vocabulaire que je tiens... Au final, les chapitres se sont succédé, sans que je me sois particulièrement ennuyé.
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Avec « La vie mode d'emploi », Georges Perec a réalisé un véritable tour de force littéraire. Rien d'étonnant pour ce membre de l'Oulipo (OUvroir de LIttérature POtentielle), mouvement littéraire (bien qu'il s'en défende) expérimental qui se propose d'écrire en s'inventant des contraintes, bien souvent fondées sur des problèmes mathématiques, faisant de l'auteur oulipien « un rat qui construit lui-même le labyrinthe dont il se propose de sortir ». Fondé par Raymond Queneau et par un mathématicien, Marcel Duchamp et Italo Calvino, pour les plus connus, en ont également fait partie.

Perec décrit un immeuble parisien de huit étages, au 11 rue Simon-Crubellier dans le 17ème arrondissement, tel qu'il se présente le 23 juin 1975 à huit heures du soir. Comme si la façade en avait été retirée et que son intérieur se dévoile à nos yeux, Perec nous raconte ce qu'il y voit à cet instant précis. Tout, des caves aux combles, en passant par le hall d'entrée, les escaliers et chaque pièce de chaque appartement, y passe : décoration, sols, meubles, tableaux, livres, le moindre objet, mais aussi les personnes qui s'y trouvent, leur physique, comment elles sont habillées, ce qu'elles font, leur attitude, tout est méticuleusement décrit. Mais fort heureusement pour le lecteur, cet inventaire maniaque alterne avec l'histoire de ses habitants actuels et de ceux qui les ont précédés. On trouve ainsi des nantis et des pauvres, des antiquaires, un médecin, une ancienne cantatrice, un artisan, un producteur de télévision, un expert international, un peintre, un chimiste, une concierge, un serveur, des domestiques, des retraités, et bien d'autres encore. Leur histoire personnelle ou celle de leurs ancêtres, l'évocation de leurs relations conflictuelles, amicales, amoureuses ou professionnelles se mêlent à des anecdotes, des légendes ou autres fictions tirées de livres ou de tableaux imaginaires, ou bien encore de l'esprit des personnages. le sous-titre du livre, romans (vous avez noté le pluriel) s'en trouve pleinement justifié, tant les récits qui le composent sont nombreux.

Perec fait également référence à tous ces jeux de l'esprit chers aux oulipiens : échecs, énigmes, devinettes, rébus, jeux de mots, anagrammes, mots croisés, puzzle. Ce dernier offre d'ailleurs une métaphore utile à « La vie mode d'emploi » : comme les pièces au départ éparses du puzzle, toutes les histoires éparses, tous ces romans dans le roman, une fois assemblés, reliés les uns aux autres, finissent par composer un tableau d'ensemble qui donne alors son sens à chacun des éléments. le puzzle achevé, c'est la vie d'un immeuble et de ses habitants depuis sa fondation en 1875 jusqu'à ce jour de juin 1975, les pièces, ce sont les hommes, les femmes, les animaux, les objets, les évènements, l'imaginaire, les actions, les pensées, toutes choses qui constituent la vie même.

On sent que Perec s'est beaucoup amusé avec cette oeuvre monumentale, érudite et unique. le jeu n'est-il pas, d'ailleurs, au coeur même du principe oulipien ? Cette lecture reste toutefois exigeante, on peut se perdre dans cette succession d'histoires et la pléthore de personnages. Mais cela vaut la peine de s'accrocher car on en sort avec la sensation d'avoir embrassé la totalité de la vie.

P.S. : sur le cahier des charges (les fameuses contraintes) qui ont présidé à la composition du texte (l'ordre des chapitres, les éléments, évènements, objets, personnages, histoires, etc. qu'ils doivent contenir), et pour ceux que ça intéresse, rendez-vous sur cette page : http://escarbille.free.fr/vme/vme.php?ind=lmn


Lien : http://plaisirsacultiver.unb..
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