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3,37

sur 1128 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Relecture de ce livre que j'avais lu il y a quelques années et que je n'avais pas apprécié. N'allez pas croire que j'aime souffrir en relisant des livres qui ne m'ont pas plu, mais parfois on peut passer à côté d'une lecture et réessayer quelques temps plus tard, peut faire varier un opinion. Ca ne sera pas le cas cette fois-ci, mon avis n'a pas changé. L'écriture est nerveuse, agressive, vulgaire. Je ne sais pas si c'est autobiographique, mais concernant le personnage d'Hell, je lui renvoie volontiers le mépris qu'elle ressent pour les gens qui ne sont pas de sa catégorie. Pour moi c'est une paumée qui est pitoyable, j'ai plus eu d'empathie pour Andréa qui bien que lui ressemblant apparaît plus humain. J'ai un autre titre de cette autrice d'un genre très différent, mais en voyant les critiques très mitigées, je vais attendre un moment avant de m'y risquer.
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Dans ce livre, on suit Hell, une ado bourge et méprisante. Elle renvoie une image de fille cool et bourrée de fric. Cependant, la vérité est tout autre. Elle boit pour oublier ; se défonce à la beu, à la coke ou encore aux ecstas pour se sentir exister ; couche avec le premier venu pour dominer ; et se pavane à longueur de journée avec ses fringues Prada, Gucci, Chanel… En bref elle se cache derrière l'allure de garce afin de cacher ses faiblesses et son état dépressif, jusqu'au jour où elle rencontre Andréa. Ce beau garçon riche est son double masculin. Vont-ils se tirer vers le haut, ou au contraire s'entraîner dans leur descente aux enfers ?

Je n'ai franchement pas aimé ce livre. Je m'attendais à une belle description des troubles mentaux, alors que le personnage d'Hell n'est que méprisant. Les troubles n'ont pas été approfondis, l'autrice n'est pas parvenue à retranscrire les émotions qu'une dépression insuffle. Tout ce qu'elle a réussi à me faire éprouver, c'est du dégoût pour ce personnage odieux qu'est Hell, même si l'on sait pourquoi elle se comporte ainsi. C'est une cruelle déception pour moi, que de décrire dans un ouvrages, les personnes atteintes de dépression comme des êtres dépourvus de pitié, d'âme et absolument infectes.
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Ce Livre est vraiment nul l'histoire n'as pas de sens, débile comme livre.

Certes il est rapide à lire mais je n'ai vraiment pas aimer j'ai même trouver certains passage très vulgaire.

L'histoire est male tournée, il y a certains passages de bien mais l'histoire n'a aucun sens
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Aïe aïe aïe par où commencer? Premièrement c'est sur les conseils d'une amie que j'ai décider de lire ce livre. Malheureusement je n'ai pas du tout accroché. le bouquin ne contient qu'une centaine de pages et pourtant l'auteur à réussie à m'ennuyer de la première à la dernière page.

Le ton est beaucoup trop provocateur, trop trash, à la limite du ridicule. Il n'y a que très peu de dialogues, les actions sont répétitives, chaque jour c'est shopping, chaque soir c'est la défonce, l'ivresse, le sexe. Ça tourne en rond et l'histoire perd de son sens. Il n'y a aucune intrigue, et ont ne peux s'attacher à l'héroïne qui rejette d'emblée toute possibilité d'empathie et du coup, on ne peut s'empêcher d'être indifférent à son sort.

En bref, je suis extrêmement déçue de cette lecture et je ne recommande pas du tout.
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On a déjà établi précédemment que **Bret Easton Ellis** était le meilleur dans sa catégorie. Tous ses bouquins (ou presque, parce que oui, je n'aime pas tout, de BEE, je blasphème, je souffre, argh...) sont des chefs-d'oeuvre instantanés et justement, ne cessent de poursuivre un unique objectif: le laisser en haut de sa catégorie, c'est-à-dire, toujours décrire avec plus de justesse une génération perdue, choisissant toujours le chemin conduisant au cul-de-sac et préférant sempiternellement la fuite, une solution de facilité comme une autre à laquelle on peut accéder par la drogue (par exemple).
On savait que **Beigbeder** était un grand fan. Tentant de reproduire son oeuvre à l'écrit comme dans sa vie mondaine, Frédo a brillé par son échec mais a, au détour d'une défaite, découvert que son semblant de style pouvait être drôle et avoir un échantillon de succès. C'est pour ça qu'il reste, à mes yeux, un bonhomme assez sympathique. En revanche, on a avec **Lolita Pille** un numéro bien différent. J'avais de vagues souvenirs d'adolescence du film *Hell*, qui m'avait je crois un peu chamboulé. En voyant donc le bouquin sur un rayon caché d'une librairie non moins cachée, je me suis dit qu'il serait criminel envers moi-même de ne pas tenter l'expérience... Surtout que depuis, il y a eu **Ellis**.
Je m'étais déjà préparé à vous faire l'éloge de ce bouquin, en y glissant quelque phrase-choc, mais il n'en sera rien. Car *Hell* est à mon sens une bouillie infecte, un calvaire gréco-tragique que je me suis imposé pour simple vérification de mon courage, de mon abnégation et mon dévouement envers le genre humain sous toutes ses coutures. Franchement, quelle horreur. Déjà, partons sde la constatation la moins élaborée mais pourtant la plus frappante: on se fait chier comme un rat mort avec ce bouquin qui est pourtant relativement court (150 pages tout au plus). C'est assez impressionnant, et cela défie même la logique: comment compiler autant de baillements, de soupirs d'ennui, de paupières lourdes dans une centaine de pages? J'ai quelques éléments de réponse. Ce bouquin est tout d'abord aussi fin qu'une poutre. Hell est une connasse, comme elle se plait à nous le rappeler toutes les deux pages, vit dans la superficialité la plus totale, etc... Ceci est en soi déjà très agaçant. C'est peut-être fait exprès, mais cela parait si vain et si futile que même le propos final du bouquin ne vous fera ni chaud ni froid. On se branle de ce qui arrive à Hell et Andrea. On est complètement indifférent face à leurs péripérties destinées à finir mal. Et du coup, l'espèce de prise de conscience par flash, ces éclairs de lucidité dont Hell est victime sont juste à mourir de rire. Ce procédé est si grossier, si peu nuancé que c'est réellement rageant de lire **Lolita Pille**.
En gros, les personnages ne sont pas attachants. On se branle des personnages. L'intrigue est inexistante et futile. On se branle de l'intrigue. le propos est grossier et agaçant. On se branle du propos. le style de l'auteur est pompeux et tout le bouquin est écrit avec des moufles, même si l'on peut relever ici ou là quelques jolies phrases. Mais globalement, on s'en branle aussi.
Alors je n'aime pas descendre gratuitement un livre que je n'ai pas apprécié, mais là, je ne vois pas vraiment ce qu'il y a à sauver, même si, comme je le répète à chaque fois, je peux concevoir que certains apprécient, je n'imagine simplement pas les raisons derrière un geste aussi sacrificiel.
Vous l'aurez compris, je vous recommande chaudement de ne pas toucher à *Hell*, parce que ce n'est pas cool, mais alors vraiment pas cool. **Lolita Pille**, je suis navré de te livrer une critique aussi définitive, tu as peut-être fait de belles choses depuis! Mais là, nan, nan et nan. Donc lecteurs, si vous ne connaissez pas **Bret Easton Ellis**, jetez-vous sur *Les Lois de l'Attraction*, par exemple. Et débarrassez-vous de *Hell*. Ceux qui ont déjà lu **Ellis**, eh bien contentez-vous de vous débarrasser de *Hell*.
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Pourquoi ai-je donc lu ce livre, et à sa sortie en plus ? C'est un mystère parce que ce n'est pas du tout le genre d'histoire qui m'intéresse. Mais on ne sait jamais, le hasard peut nous surprendre. Lecture. Verdict... et bien je n'ai pas aimé du tout. L'héroïne est antipathique donc pas question d'avoir un peu d'empathie à son égard, d'identification ou quoi que ce soit d'autre d'ailleurs: on s'en fout de toi, de ta vie et de ton Audi TT !
Et pourtant je me suis accroché, je l'ai terminé. Je n'en ai rien retiré. Mais ce n'est pas le style que j'aime alors je ne suis peut-être pas entièrement objectif.
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Livre emprunté à ma belle-maman car j'en avais entendu parler sur Babelio !

Ce qui est sûr, c'est que la chick-lit n'est pas fait pour moi. Pour un bouquin de 150p, j'ai mis 3 jrs pour en lire 90, une honte. Donc conclusion, pas la peine de lire la fin car je ne le dévore pas...

Le résumé est plutôt simple : une fille de « riches » (on ne sait pas trop ce que font ses parents), dont on n'apprend le prénom qu'au 4ème chapitre, nous décrit sa vie entre sorties, beuveries, drogues et coucheries. Et il y a, bien entendu, les copines et/ou ennemies suivant les situations et les petits copains. Tout ça est très futile et essaye de nous donner une vision de certains membres de notre « jeunesse dorée » car les différents évènements se déroulent à Paris. Mais finalement, dans le même registre, je préfère regarder « Gossip Girl » plutôt que de lire leurs frasques.

Comme vous l'aurez compris, cette lecture n'a pas été une réussite. Je vous conseille néanmoins de la découvrir pour vous en faire votre propre idée. Et pour ma part, je retenterais peut-être ce type de lecture avec un autre auteur mais je ne pense pas que cela deviendra mon style de prédilection.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Cet ouvrage a été classé parmi des best-sellers et le résumé au dos du livre m'a paru alléchant. Malheureusement, le contenu est très pauvre. L'auteur essaie de choquer, mais ses tentatives sont vaines. Ella, qui se fait appeler Hell, est une pauvre petite fille riche qui nous raconte les anecdotes insipides de sa petite vie : shopping ici, boîte par là, rencontre là-bas…Rien de très intéressant, et même tout cet étalage de richesse laisse indifférent et devient carrément lassant au fur et à mesure de la lecture. Quant à la personnalité du personnage principal, je trouve que l'auteur lui a donné volontairement des traits de caractère antipathiques dans le but de provoquer. Si au début elle nous donne l'impression d'avoir une plume assurée, on sent que c'est assez superficiel et notre sentiment se confirme très vite vers le milieu du livre car l'auteur s'essouffle, et du coup se répète beaucoup. On a surtout un étalage ennuyeux des états d'âme de Ella, qui n'est qu'une jeune adolescente amoureuse. La fin est très décevante et bâclée, comme si l'auteur voulait à tout prix finir le livre.
Un conseil : à éviter, d'autant plus que le style d'écriture n'est pas fluide du tout !
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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MAUVAIS.
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Ah ! Quel livre que ce conte de petite fille riche !
Etalage de mépris qui ne raconte même pas, exhibe plutôt la décadence affichée d'une caste au-dessus des contingences de la vie, saupoudrant çà et là le récit de drames calibrés.
Cette « savoureuse » scène où, après avoir consommé un garçon des classes inférieures, l'héroïne le renvoie, telle une reine son valet, résume l'ambiance !
Raconter la grande bourgeoisie, d'accord, et c'est même un sujet récurrent dans la littérature, mais là nous n'avons affaire qu'à une exhibition sans consistance.
Et dire que c'est ça qui excite le goût de lire d'un grand nombre de lecteurs, abreuvés qu'ils sont de voyeurisme tabloïd !
On me l'avait chaudement conseillé : j'ai pris une douche froide.
Et si je concède une étoile c'est pour l'encre et le papier !
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