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EAN : 9782889584109
146 pages
Salamandre (03/11/2020)
4.27/5   11 notes
Résumé :
Partagez un bout de chemin avec cette scientifique attachante ayant une sensibilité artistique profonde. Laissez-la vous raconter pourquoi elle se plonge dans la nature, ce que cela fait naître comme réflexions personnelles et ce que cela lui apporte en expérience de vie.
A travers ce récit intimiste qui mêle connaissances scientifiques et regard poétique sur la nature et l'histoire de l'Univers découvrez une approche originale qui permet un autre regard sur... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Blandine Pluchet apporte sa contribution de physicienne à la collection « Marcher avec » dans des récits de balades, au fil des saisons, des régions, des heures du jour et de la nuit. Elle aborde tous les aspects du contact avec la nature et les éléments que procure la marche, thème par thème, de la forêt à la mer, de la rivière à la montagne, de l'Allemagne à l'Espagne.
Ce sont des expériences de balades, seule ou en famille, qui lui font ressentir la place qu'elle occupe dans l'Univers. Un regard global, mêlant la science à une approche philosophique.
L'auteure a la tête pleine de savoirs scientifiques sur l'histoire de l'Univers avec l'envie de contempler la beauté du monde qui nous est offert, le besoin d'approfondir les sensations procurées par la marche dans la nature, de ressentir la présence des autres êtres vivants et, beaucoup plus loin, l'interaction avec les étoiles qui nous entourent.
Elle fait le parallèle entre l'histoire de l'Univers et le déroulement d'un cycle de 24 heures : la nuit étoilée, puis l'aube « l'heure bleue » où l'on distingue des ombres et la journée où le décor se met en place, inondé de lumière.
En quelques mots les phénomènes physiques nous apparaissent, simplement mais explicitement.
Des couleurs de l'aube observées sur les chemins forestiers, l'auteure nous fait sentir l'intensité de la lumière et l'étrange phénomène dont elle est issue.

Ses réflexions, toujours liées à une de ses sorties foulant l'espace naturel de notre planète, prennent différentes directions. Elles peuvent être hautement sensorielles, toucher à une dimension cosmique ou se pencher plus précisément sur le rapport au temps et à l'espace qu'elle a éprouvé selon les étapes de sa vie. C'est ainsi que, selon notre âge, l'on se reconnaîtra immanquablement dans l'intérêt changeant porté aux balades en extérieurs : l'extase de la découverte enfantine est remplacée à l'adolescence par l'ennui et l'agacement. Jusqu'au jour où elle écrit cet ouvrage et où j'ai spécialement aimé qu'elle parle alors de la marche comme cadence naturelle, salutaire et riche en sensations.
Plus accès sur le côté scientifique, elle nous donne les éléments de l'Univers qui ont abouti au développement de la vie sur notre planète et nous sensibilise à la rareté de l'eau et la chance d'en bénéficier.

Ce livre apporte des explications scientifiques mais il soulève également bon nombre de questions sur la part de mystères qui demeurent et qui motivent notre réflexion. L'auteure fait preuve d'une grande humilité malgré son savoir immense.

Je suis ravie d'avoir porté mon choix sur cet ouvrage lors de la Masse Critique que je remercie. Merci aux belles éditions Salamandre pour ce passionnant regard scientifique sur la nature.
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Quelle belle surprise que ce livre !!!
Alors, pour commencer, je dois dire qu'avec ce que nous vivons ces derniers temps, j'ai ressenti après les grandes vacances, lors de la reprise de mon travail fin août, le besoin de marcher. Marcher m'aide à m'aérer l'esprit, à prendre du recul sur ce que je vis, et à profiter de l'instant. Lorsque Ben Mazué a sorti « Quand je marche » en octobre, cela avait réellement fait écho à mon besoin de marcher, d'oublier le quotidien et de renouer avec la nature. Lors de la dernière édition de masse critique « non fiction », lorsque j'ai vu les titres de la collection « marcher avec », j'ai eu envie de les découvrir, alors un grand merci aux éditions "La Salamandre" et à Babélio pour la réception de ce livre dans le cadre de masse critique !
Lorsque j'ai vu que j'allais recevoir « l'Univers sous mes pieds », j'étais super heureuse, et en même temps, avouons-le, très intriguée de savoir ce que j'allais y trouver. Et j'avais peut-être même un peu peur que ce soit écrit par une scientifique, physicienne de surcroît. Parce que « sous mes pieds », oui, je vois bien ce que je peux y trouver, mais quel lien avec « l'univers » ou la physique ?
Et bien, ne cherchez pas, et plongez-vous dans cette magnifique balade avec l'auteur. A chaque chapitre, une nouvelle marche, un nouvel événement, un nouveau souvenir permet à l'autrice d'explorer « l'univers » et ses phénomènes naturels. Elle nous emmène avec elle voir un lever de soleil, une éclipse de lune, on s'extasie devant un ciel étoilé, on frissonne lorsque passe une brise, et l'on apprécie même lorsque tombe la pluie… Avec un langage simple et épuré l'autrice parvient à nous expliquer des phénomènes scientifiques et tout en marchant. Elle s'interroge, sans vouloir nous convaincre, sur des phénomènes physiques tels que l'apparition des étoiles, de l'univers, le cycle de l'eau, … Personnellement, cela m'ouvre de nouvelles perspectives, de nouveaux horizons.

On chemine avec l'auteur, sur des chemins escarpés, dans l'eau, en forêt, à pieds nus ou chaussés, et l'on traverse avec elle, toute une palette d'états et d'émotions : la joie, l'attente, le découragement, l'étonnement, le ras-le-bol, la curiosité, … de l'enfance à l'âge adulte, des souvenirs se mêlent à la perception du monde par l'autrice. L'univers qui nous entoure, ce n'est pas seulement la terre, la nature, mais aussi tout le cosmos, les étoiles, les planètes qui nous replacent dans notre condition d'être humain. Ces moments précieux qu'elle a su recueillir et qu'elle parvient à nous partager sont des sources d'émerveillements et d'apaisement.
Il y a tellement de passages qui m'ont plu ! J'ai énormément apprécié tous les endroits où Blandine Pluchet nous explique les couleurs, les ombres et les lumières.

Je n'ai lu qu'un titre de la collection « marcher avec », mais je trouve que l'idée et le titre de cette collection est très bien choisi ! Cela donne envie de prendre l'air, et d'écouter quelqu'un nous raconter ses marches, comme si l'on cheminait avec lui ou elle sur les chemins. Moi qui aime écouter des audiolivres, je me dis que peut-être cette collection pourrait être adaptée en audio car j'imagine bien écouter le titre que j'ai lu !
L'autrice nous partage ses expériences les plus simples pour nous faire ressentir simplement que nous sommes vivants. Cela me donne très envie de lire d'autres titres de la collection « marcher avec » !
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Les promenades décrites me rappellent le temps où j'ai appris à explorer ce monde inconnu. Se baigner dans une rivière d'eau douce, dans l'eau salée, faire des excursions à l'aube ou dans le noir, explorer des chemins creux.... Ces descriptions incitent à aller se promener. Pas en groupe - là l'interaction sociale prédomine - mais seul, pour rencontrer vraiment la nature et le silence qu'on rencontre. le livre est fortement conseillé aux « débutants », en revanche ceux qui connaissent les joies des promenades / randonnées et de la nature ne découvriront sans doute pas grand-chose de nouveau.


Ensemble avec les découvertes de la nature, l'auteure nous parle d'un point de vue scientifique et nous transmet sa fascination pour l'univers, et comment les planètes, le soleil, la terre, l'eau et la première vie sur terre sont apparus. Elle explique aussi la théorie du temps selon Einstein et dans la physique quantique. Ce n'est pas difficile, c'est même sympa de se voir rafraichir la mémoire, mais au fond j'ai déjà appris tout cela à l'école. Et, à part le chat de Schrödinger, le livre s'en tient entièrement à la physique mécanique, ce que j'ai trouvé dommage.


L'auteure nous parle également de toutes les réflexions qu'elle se fait pendant ses ballades. le ton est doux, honnête et intime. Elle se laisse transporter par la beauté de la nature. Elle recherche ce qu'est cet inexplicable et inexprimable qu'elle ressent. Mais dans la majeure partie du livre la profondeur est limitée à des mots comme "profond" et "mystère".


J'ai ressenti comme une contradiction que l'auteure mentionne que nous sommes l'univers, et non une partie de celui-ci, et que pourtant elle en parle en des termes comme si elle était séparée de cet univers. le livre est écrit à la première personne - l'auteure est ainsi une entité séparée de la nature par le style aussi - et lorsqu'elle fait des réflexions sur cette nature, elle parle de quelque chose de plus grand qu'elle-même, de l'univers qui nous a engendrés - mais comment une chose que nous sommes déjà peut-elle être plus grande que nous ou nous engendrer ?
Et pourtant, cette ambiance contradictoire semble changer vers la fin du livre. L'auteure semble avoir fait non seulement des promenades dans la nature, mais en même temps un voyage qui mène à des explorations plus profondes du monde et de ce que sont la vie et la conscience.

De nos jours, nous savons, comme elle le dit, que le cerveau ne peut pas tout comprendre. C'est bien que cette atmosphère apparaisse déjà dans les derniers chapitres, même si elle est plutôt hésitante, prudente.
Dommage que l'auteure ne soit pas allée plus loin avec les nouvelles théories en philosophie. Elle écrit que les anciens philosophes sont à la base de la science. Il est peut-être temps d'examiner ce que disent les philosophes actuels comme Thomas Metzinger, philosophe théoricien, que je recommande vivement.


Conclusion
Le livre est une belle introduction aux promenades et incite à sortir seul dans la nature. Il décrit ce qu'on peut y découvrir, les aventures qu'on peut y vivre, aussi bien physiquement que mentalement. C'est un livre idéal en période de coronavirus, où la marche à pied est parfois le seul sport que nous pouvons pratiquer.
Le livre est aussi très bon pour les citadins qui ne connaissent pas la nature et se demandent si la marche est quelque chose pour eux, et est à recommander aux personnes habituées à marcher en groupe. C'est une belle incitation à sortir seul et découvrir ce que cela fait.
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Une douzaines de chapitres pour nous présenter autant de promenades/balades/marches que ce soit à la mer, à la montagne, en forêt, tôt le matin, à l'heure bleue ou tard le soir, pour observer les astres.

L'autrice est une marcheuse, pour le plaisir de marcher mais aussi pour celui de l'observation du monde qui l'entoure et qui la passionne. Elle avoue rechercher la solitude même si parfois elle peut lui peser. Elle évoque ici des marches solitaires mais aussi des marches réalisées avec de petits groupes d'amis, étudiants comme elle, parfois bien meilleurs marcheurs qu'elle. Elle aborde aussi les promenades qu'elle faisait quand elle était petite, quand marcher n'était pas une activité plaisante, à quoi bon marcher comme ça, sans but? le subterfuge paternel était de lui proposer de partir à la rencontre de fées et d'elfes. Marcher à la recherche de Mélusine, tous les sens en éveil a probablement développé chez elle enfant le plaisir et l'envie de marcher et de continuer à aller à la rencontre des arbres, des fleurs, du vivant.

Ses textes sont descriptifs, poétiques, introspectifs, elle ne manque pas d'humour et reconnait que parfois elle aurait préféré rester au lit plutôt que se retrouver dès potron minet dans le froid et le brouillard dans une forêt dense.
Mais au final c'est toujours le plaisir de la beauté du paysage, de l'effort physique récompensé par le moment de méditation qui l'emporte.

J'aimerais avoir son talent pour écrire mon ressenti quand je me balade, quand je marche le nez en l'air et que j'observe mais sans intellectualiser, juste ressentir l'instant présent. Mes marches à moi sont à mi-chemin de la démarche sophrologique et de l'exercice physique.
Elle ne se contente pas de nous narrer poétiquement ses promenades, auquel cas je n'aurais pu classer ce livre dans la catégorie essai. Elle profite de ses marches pour parler de ce qu'elle étudie, vit et ne cesse de découvrir: la science, la physique.

Et j'avoue que c'est là où moi je l'ai lue à saute-mouton pour rependre une expression lue dans un critique sur le site Babelio. Bien que je lui reconnaisse la grande érudition et la facilité pédagogique de nous parler de la terre, des étoiles, du cosmos, etc ... ce sont ces textes là qui m'ont le moins intéressée.

Bref, un ouvrage que j'ai apprécié dans sa globalité, et que je pense j'aurais pu apprécier plus encore si je l'avais découvert en livre audio. J'ai l'impression que ces remarques sur le big bang, la création de la terre, du cosmos et toutes ces données scientifiques dans lesquelles je me perds à la lecture m'auraient été plus agréables à écouter. J'en veux pour preuve la petite capsule de présentation du livre par son autrice sur le site de la maison d'édition Salamandre.

Une collection qui est riche de 4 ouvrages et qu'il me tarde de découvrir.
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C'est un livre très intéressant que j'ai néanmoins lu à saute-mouton. Car, si les parties d'explications scientifiques m'ont passionnées, celles sur les impressions de l'auteure, immergée dans la nature, m'ont moins intéressé. Question de goût de chacune et chacun, simplement.
Les éclairages sur l'évolution de l'Univers, la formation des étoiles, de la Terre, de la fonction régulatrice de la Lune, de l'eau liquide, etc. sont sensationnels. À eux seuls, il vaut vraiment la peine de parcourir cet ouvrage de grande qualité. J'en aurais demandé plus encore sur ces thèmes de vulgarisation scientifique.
L'auteure est émerveillée par la beauté de notre petit monde fragile, oasis dans l'infinité hostile. Mais elle passe sous silence sa cruauté.
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critiques presse (1)
Actualitte
08 avril 2021
Un réveil assez époustouflant qui lui aura été soufflé par l'observation d'une nuit à la « belle étoile ».
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Je me demande ce qu'il adviendra de la matière de mon corps quand je mourrai. S'il est difficile de reconstituer son passé, est-il possible de prévoir son avenir ? La société humaine dans laquelle je vis met les morts dans des cercueils ou des urnes. Moi, je n'aime pas l'idée que mes poussières soient enfermées dans une boîte. Je préfèrerais qu'elles continuent d'exister dans l'histoire du monde, qu'elles participent aux cycles universels. Je pourrais par exemple me faire enterrer sous un arbre, comme celui sous lequel je me trouve maintenant. L'arbre étant un écosystème en lui-même, vivant en symbiose avec les autres arbres, avec des champignons, des herbes, des insectes, des petits mammifères et plein d'oiseaux, la matière qui me constitue, en se décomposant, participerait à la vie de ce petit mode. D'une certaine manière, je contribuerais ainsi au développement des racines et à la montée de la sève de l'arbre vers les étoiles.
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Ainsi, au fin fond du bocage, je voyage à chaque pas en posant un regard neuf et curieux sur chaque être que je croise. Il y a ici même des mondes à explorer, des cultures à deviner, ceux et celles de chaque être vivant, qu'il soit végétal ou animal, sans besoin d'aller de l'autre côté de la Terre. L'altérité et la découverte de nouvelles contrées se trouvent à chacun de nos pas : des plantes de nos jardins aux arbres de nos parcs, des insectes dans les hautes herbes aux mammifères des forêts, des êtres peuplant un chemin séculaire à nos voisins auxquels nous ne parlons jamais. Le voyage et l'exploration d'autres mondes n'impliquent pas nécessairement la distance matérielle, mais bien plutôt l'ouverture de notre regard.
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La science n'est ainsi qu'une petite bulle de connaissance dans l'univers infini de l'ignorance que nous avons du monde. Sans le mystère, il ne pourrait y avoir de science, dont la vocation est de percer les énigmes du monde, il n'y aurait pas non plus de raison d'être pour l'humain qui aspire à comprendre et à découvrir. Il est d'ailleurs un constat que font aujourd'hui tous les scientifiques : plus la connaissance du monde s’affine, plus la prise de conscience de l'immensité de notre ignorance est grande. L'avancement des connaissances ressemble à l'exploration d'un pays infini, celui des secrets du monde.
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la matière dans l'Univers est sujette à un éternel recyclage dont nous sommes issus et auquel nous participons à travers nos fonctions vitales. Toutes les structures créées par la matière apparaissent pour disparaître un jour, remettant en circulation les atomes et les molécules que la nature utilise pour inventer à nouveau. Toute chose dans l'Univers, des objets célestes aux êtres vivants, naît et meurt. Mais la mort dans l'histoire de l'Univers n'est pas une fin en soi : elle représente avant tout le recyclage de la matière pour créer du neuf. Un recyclage incessant mettant en œuvre une créativité débordante.
Entre mes orteils et sous mes plantes de pieds, au point de contact de mon corps avec la Terre, il y a ainsi des poussières qui ont erré dans les nébuleuses, des morceaux d'étoiles, des restes des premières formes de vie sur Terre, et plein d'histoires d'un temps révolu. Cette pensée me donne le vertige. C'est une drôle d'idée, jolie mais étrange, bien loin de notre court passage sur Terre, et fondant pourtant notre réalité.
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Je me demande ce qu'il adviendra de la matière de mon corps quand je mourrai. S'il est difficile de reconstituer son passé, est-il possible de prévoir son avenir ? La société humaine dans laquelle je vis met les morts dans des cercueils ou des urnes. Moi, je n'aime pas l'idée que mes poussières soient enfermées dans une boîte. Je préfèrerais qu'elles continuent d'exister dans l'histoire du monde, qu'elles participent aux cycles universels. Je pourrais par exemple me faire enterrer sous un arbre, comme celui sous lequel je me trouve maintenant. L'arbre étant un écosystème en lui-même, vivant en symbiose avec les autres arbres, avec des champignons, des herbes, des insectes, des petits mammifères et plein d'oiseaux, la matière qui me constitue, en se décomposant, participerait à la vie de ce petit monde. D'une certaine manière, je contribuerais ainsi au développement des racines et à la montée de la sève de l'arbre vers les étoiles.
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Vidéo de Blandine Pluchet
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