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4,2

sur 794 notes
Un roman fleuve sur l'identité et la passion, à la fois émouvant et érudit. Se déroule devant nos yeux toute l'histoire de la famille Strom durant la deuxième moitié du XXème siècle. Jonah, Joseph et leur petite soeur Ruth naissent d'un père blanc juif allemand exilé à New York, physicien, et d'une mère afro-américaine, passionnée de chant. Les trois enfants métis naissent dans une Amérique où le racisme est toujours violent et où la ségrégation s'est institutionnalisée, séparant blancs et noirs dans des communautés bien étanches. Exclus de chacune des deux communautés, dont la communauté noire qui rejette idéologiquement toute mixité et dont une partie fait preuve d'un activisme violent, ils vont tenter de construire leur propre identité à partir de la passion de la musique que leurs parents leur ont transmis.

L'auteur maîtrise son sujet, ou plutôt ses sujets : l'histoire de la ségrégation américaine, la musique, le chant, et même la théorie de la relativité. Il fait succéder les époques d'une manière non chronologique mais toujours cohérente et il parvient même à ménager un certain suspense. Les personnages sont attachants et leur passion est communicative. Certaines descriptions — références musicales, paradoxes de la physique du temps, ... — sont parfois ardues à suivre pour le profane, mais le fond est percutant et, en évitant très justement tout raisonnement qui serait faussement simple, l'auteur parvient à retranscrire de manière très lisible la complexité des relations sociales et de la question identitaire.
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Lire ce texte c'est s'immerger dans un fleuve ,un flot qui entraîne avec lui l'histoire contemporaine, la physique quantique , les Etats-Unis et la question noire, la gloire et la douleur du métissage ,la gloire et la douleur d'être humain et la MUSIQUE , de John Dowland au rap .Roman fleuve , roman Mississipi , roman Jourdain (celui des gospels) .Et tout cela part de la rencontre d'un juif allemand et d'un jeune femme noire américaine. « L'oiseau et le poisson peuvent tomber amoureux .Mais où vont-ils construire leur nid ? » . Voilà de la littérature ! Et nous donnons ce nom aux productions de Houellebeque ou d'Angot …Ah Misère !
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Le sujet principal de ce livre est le racisme crasse aux Etats-Unis. L'auteur, qui est un écrivain blanc, a réussi à nous faire sentir de l'intérieur les profondes injustices de la société américaine. Il tisse une large toile autour de ce thème, comme s'il s'agissait de l'emprisonner.
Une famille dont le père est un physicien juif blanc qui a fui l'Europe en 1933, dont la mère est une chanteuse noire afro-américaine, ces deux-là se rencontrent lors du concert de Marian Anderson en avril 1939.
Cette rencontre est rattachée à un élément historique réel.
- Wikipédia : En avril 1939, Marian Anderson chante lors d'un concert organisé par Eleanor Roosevelt devant le Lincoln Memorial, après qu'il lui a été refusé d'accéder à la salle où elle devait chanter, par les Filles de la Révolution américaine. Après quoi la « première dame » des États-Unis démissionne de l'organisation féminine.
Le couple aura 3 enfants, ils vont leur faire l'école à la maison, pour les protéger de la violence extérieure. du côté du père il n'y a aucun survivant après la guerre, du côté de la mère il y a toute une fratrie.
Ainsi le roman balance entre l'intérieur (les liens qui se tissent dans la famille, les relations du couple, parents-enfants, mari et père, frères et soeurs, oncle et neveu, cousins-cousines, avec ses conflits, drames et ruptures), et l'extérieur (les émeutes raciales, les peurs permanentes, l'agressivité, la difficulté à être).
Il y a des retours vers le passé et des grands pas vers l'avenir, nous sommes dans un balai incessant entre les différentes époques, mais tout cela est fluide, bien construit et jamais nous ne sommes perdus.
L'histoire de la famille et les évènements historiques sont toujours entremêlés, ce qui rattache puissamment le sujet au réel, qui se situe entre1930 et 1980
Dans la famille Strom, tous sont musiciens, et se livrent à de longues joutes musicales quotidiennes qui sont une véritable ode à la musique.
Les thèmes abordés dans ce roman dramatique sont multiples, on y trouve de nombreuses références sur l'histoire de la ségrégation aux USA, depuis l'esclavage, la ségrégation, les luttes pour les droits civiques, le racisme, (Harriet Tubman, lois Jim Crow, James Mérédith, Hattie McDaniel, Emmet Till, Les 9 de Little Rock, Malcom X…..) sur la musique classique (Bach, le Négro Spiritual, le Gospel, l'opéra, Mozart, Schubert…..) qui a une immense place dans ce livre, les relations familiales sont omniprésentes, il y a une forte notion du temps, le temps historique (la bombe atomique, l'assassinat de Martin Luther King, le temps familial, le temps physique (la théorie de la relativité)
Sachant que le problème du racisme est loin d'être réglé, ce livre écrit par un auteur blanc, a toute sa place dans la bibliothèque de l'histoire de la communauté afro-américaine aux Etats-Unis. Dans l'état actuel de la société américaine, ce livre est un livre militant pour une vraie égalité des chances dans ce pays.
Une scène du livre : les parents Délia et David se rendent à New-York avec leurs enfants, le père est au volant, la mère est assise à l’arrière ; ainsi on la prend pour la gouvernante des enfants.
Une autre scène : Joseph dirige le cœur des enfants, et les emmènent vers des sommets lyriques, son frère Jonas apparait, Ruth est présente, la musique, les retrouvailles, il y a une émotion exceptionnelle dans ce chapitre.

Une scène du livre : les parents Délia et David se rendent à New-York avec leurs enfants, le père est au volant, la mère est assise à l’arrière ; ainsi on la prend pour la gouvernante des enfants.
Une autre scène : Joseph dirige le cœur des enfants, et les emmènent vers des sommets lyriques, son frère Jonas apparait, Ruth est présente, la musique, les retrouvailles, il y a une émotion exceptionnelle dans ce chapitre.

Une scène du livre : les parents Délia et David se rendent à New-York avec leurs enfants, le père est au volant, la mère est assise à l’arrière ; ainsi on la prend pour la gouvernante des enfants.
Une autre scène : Joseph dirige le cœur des enfants, et les emmènent vers des sommets lyriques, son frère Jonas apparaît, Ruth est présente, la musique, les retrouvailles, il y a une émotion exceptionnelle dans ce chapitre.

Une scène du livre : les parents Délia et David se rendent à New-York avec leurs enfants, le père est au volant, la mère est assise à l’arrière ; ainsi on la prend pour la gouvernante des enfants.
Une autre scène : Joseph dirige le cœur des enfants, et les emmènent vers des sommets lyriques, son frère Jonas apparaît, Ruth est présente, la musique, les retrouvailles, il y a une émotion exceptionnelle dans ce chapitre.

Une scène du livre : les parents Délia et David se rendent à New-York avec leurs enfants, le père est au volant, la mère est assise à l’arrière ; ainsi on la prend pour la gouvernante des enfants.

Une autre scène : Joseph dirige le cœur des enfants, et les emmènent vers des sommets lyriques, son frère Jonas apparaît, Ruth est présente, la musique, les retrouvailles, il y a une émotion exceptionnelle dans ce chapitre.

Merci à Donna22 pour sa playlist dans résumé membres.

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Comment résumer ce roman tellement il est dense et riche ? Il est comme un kaléidoscope qui renvoie une infinie de facettes de lui-même.
Des années 30 jusqu'à la fin du siècle, l'auteur raconte l'histoire de sa famille : ce sont des passionnés de musique talentueux mais c'est aussi une famille mixte, née d'une mère noire et d'un père blanc et juif. Comment, alors, trouver sa propre identité dans une société qui ne laisse pas sa place à l'individualité, une société raciste et intolérante ?
Si vous n'êtes pas effrayé par le nombre de page, vous découvrirez une famille divisée par les aléas de la vie et par le racisme. Mais c'est aussi une famille unie par la musique, omniprésente dans ce roman : au point qu'il faudra le lire avec une playlist à côté. La musique classique y côtoie le rap ou la musique pop. Tout y est, comme un reflet de l'époque. Une fresque magistrale, construite avec des flash-backs racontant la genèse de la famille et ce leitmotiv qui parcourt le texte : "L'oiseau et le poisson peuvent tomber amoureux. Mais où vont-ils construire leur nid ?"
Lien : http://troisouquatrelivres.b..
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S'il y a une chose que je regrette, c'est de ne pas avoir sorti ce roman plus tôt de ma pal. Parce que franchement, mais quel régal quoi !!
Ce roman c'est quoi au juste ?
C'est une fresque sur l'histoire américaine depuis 1939. L'Amérique avec ses luttes contre les ségrégations raciales, pour ses droits civiques. Une Amérique qui, derrière ses allures de Grande puissance mondiale, semble se chercher une identité propre… L'auteur a mélangé faits réels et connus – comme celle d'Emmett Till, ce jeune noir battu à mort, jusqu'à le rendre méconnaissable, pour le simple fait qu'il avait dragué une jeune blanche – et faits inventés, mais s'inscrivant totalement dans la mentalité et s'inspirant de l'Histoire.
C'est l'histoire de la famille Strom. Lui, juif venu d'Europe pour échapper au nazisme, elle noire américaine à la recherche d'un monde meilleur. Leur passion commune : la musique. Passion qu'ils auront à coeur de transmettre à leurs trois enfants : Joseph (le narrateur), Jonah et Ruth. Joseph et Jonah sont très proches, 1 an d'écart seulement, et semblent même ne former parfois qu'une entité. Pour preuve, leur mère qui les appelle JoJo, comme s'ils étaient indissociables. L'un ne va pas sans l'autre, l'un est le fair-valoir de l'autre. Encore une fois, c'est la question de l'identité qui est mise en avant. Deux garçons métissés, pas tout à fait blancs, mais pas vraiment noirs non plus. Des garçons qui ne trouvent leur place nulle part, et vont se créer un cocon hors du monde. Une bulle où la musique règne en maître. Tout d'abord cette musique découverte en famille, au rythme des improvisations, des défis musicaux, puis celle des grandes écoles, plus carrée, plus académique. Et puis il y a Ruth, la petite soeur, qui va renier cette culture musicale, et se rebeller contre sa famille qui, selon elle, renie ses origines noires.

L'identité au coeur de ce livre donc. Identité d'une nation, d'une famille, d'un individu. Chacun cherchant la sienne en tant qu'individu, mais aussi dans un ensemble.

Et pour lier tout cela, il y a la musique, présente à chaque page, à chaque événement. La musique comme point de repère, comme dénouement, comme introduction… Et pourtant, malgré le titre du livre, malgré son omniprésence, je n'ai pas perçu la musique comme étant le thème principal du livre, mais plutôt comme étant le moteur autour duquel vont s'articuler tous les sujets importants de ce roman. Les descriptions sont complètes, des techniques de chants, aux premiers opéras, en passant par les vocalises, l'auteur nous embarque dans un univers musical à la fois grandiose et intimiste. Et on se plaît à immiscer dans cet univers, comme le font les deux frères Jonah et Joseph. Mais ces chapitres font échos aux passages axés sur les événements historiques, nous rappelant rapidement à la réalité, souvent bien difficile.

S'il s'agit bien d'une fresque historique sur la seconde moitié du XXème siècle aux Etats-Unis, celle-ci n'a rien de linéaire. En effet, le narrateur passe d'une époque à une autre, multipliant les flash-back, tissant une toile du temps entremêlée. Chaque événement présent est un prétexte pour retourner dans le passé. Chaque événement passé augure un événement à venir. Les uns s'imbriquant avec les autres. Mais c'est également notre vision des choses qui est amenée à faire des aller-retours. Car en jouant ainsi avec le temps, l'auteur nous donne à reconsidérer chaque chose dans son intégralité. Connaître un fait de départ, en voir les conséquences quelques décennies plus tard, jusque là ça va. Mais le contraire ? Se baser sur un fait actuel, et repartir en arrière pour en comprendre la raison. L'exercice semble plus périlleux… Ainsi, l'auteur nous rappelle que l'Histoire n'est pas linéaire, que le présent dépend du passé et forge le futur, que l'un n'est rien sans les deux autres.

Alors voilà, le temps où nous chantions, c'est un gros pavé, mais c'est surtout un sacré roman, avec des personnages d'une sensibilité rare et une histoire terriblement touchante.
Lien : http://voyageauboutdelapage...
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Magnifique ! En passe de devenir ma meilleure lecture de l'année.
J'avais beaucoup aimé le livre The Overstory (l'Arbre-monde) du même auteur, qui traitait d'un tout autre sujet (quoique...on y parlait de l'incroyable solidarité entre les arbres). Mais alors là, j'ai A-D-O-R-E !
Ce livre est un pavé (671 pages écrites en toute petite police) et constitue une épreuve de lecture. le niveau de langue est choisi (souvent soutenu) et chaque mot est pesé pour trouver sa juste place. Ce livre traite de toutes les formes de racisme (faisant écho à la triste actualité) et constitue une formidable ode à la tolérance.
Le style d'écriture est vraiment fin, subtil et érudit. A travers l'histoire d'une famille américaine, l'histoire nous emmène très loin dans la perception philosophique de la vie, à travers moult références musicales et scientifiques pointues. Les musiciens vont se régaler, mais les autres aussi.
Un livre d'un humanisme rare, très émouvant, que j'ai refermé la larme à l'oeil. Dans une société où nous sommes tous de plus en plus traités comme des numéros ou de simples entités manipulables, ce livre splendide est à conseiller à tout lecteur en quête d'humanité retrouvée.
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Difficile de chroniquer ce pavé de 1000 pages retraçant l'histoire d'une famille américaine atypique de 1940 aux années 1990.

Ce couple impossible, un juif allemand et une afro-américaine catholique décident de fonder une famille et permettre à leurs enfants de devenir ce qu'ils veulent. Une utopie vite rattrapée par la réalité d'un pays et d'une époque foncièrement raciste traversée par la haine et la violence.

Une lecture exigeante, dense, inégale mais bouleversante. La musique à la fois refuge et prison, liant les personnages est présente à chaque page : chef d'oeuvre d'écriture et d'érudition pour une expérience littéraire inoubliable.
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Je n'en suis pas fière mais j'ai abandonné à la page 220.
Tout avait bien commencé : belle écriture, personnages attachants et de caractères, périodes historiques engageantes entre la seconde guerre, les années 50, la ségrégation...
Un style narratif intelligent avec des flash back mais malgré tout je me suis surprise à m'ennuyer ; trop de descriptions et de longueurs.
Est-ce la fatigue, les journées qui raccourcissent qui expliquent que je n'ai pas accroché ?
Difficile à dire car je suis certaine que ce roman est une pépite.
Ce n'était peut-être la bonne période pour moi.
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Il y a des livres, on ne sait d'ailleurs pas trop pourquoi, que l'on redoute à lire, alors que l'on sait inconsciemment qu'ils nous plairont.
Le temps où nous chantions est de ceux- là, il ne pouvait pas ne pas me plaire, mais il fallait juste trouver le bon moment ; ce sera donc l'été 2018, le pavé de l'été !

Par la voix de Joey, et, dans un constant va et vient avec le temps, entrons sans hésiter au sein de la famille Strom ; et quelle famille. le père est un physicien de renom, un immigré juif allemand, marié à une jeune femme noire, fille de médecin. Délia a une voix magnifique, David, ne chante pas mais aime la musique. Ces deux –là que tout oppose dans les Etas Unis des années 40 se marient envers et contre tous et fondent une famille : Jonah, Joey Ruth la petite dernière.

Tout pour la musique ; tel pourrait être le slogan pour caractériser ce long roman dont le narrateur est Joey, et qui nous fait traverser50 ans d'histoire, 50 ans de lutte, 50 ans de création musicale.

Il y a d'abord cette famille façonnée par Délia, et sur laquelle Joey veille malgré lui parce que la mère, implicitement en a décidé ainsi. Cette fratrie disparate, où chacun finalement aura son rôle passe les années à se chercher, s'éloigner et se retrouver au gré des évènements.

L'identité, la culture, la question raciale est un thème omniprésent dans cette histoire. le rêve d'égalité, de fraternité ne cessent d'animer cette famille pour qui le métissage n'a jamais posé problème alors qu'elle vivait dans une société où c'était à contrario le Problème.

Mais que serait ce roman sans son personnage principal, la Musique. Richard Powers, à l'instar des deux frères chanteurs dans l'âme, fait chanter son ouvrage, et berce son lecteur, d'autant s'il est mélomane. L'érudition qui émane de ce livre peut rebuter le non connaisseur. Mais le mélomane se sent très vite pris dans ce piège mélodieux.


Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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L'histoire nous est contée par Joseph, issu d'un couple mixte : mère noire et catholique, père blanc et juif fuyant l'Allemagne nazie.
Joseph est donc métisse.
Né au sein des Etats Unis des années 50, il est difficile de n'être ni blanc ni noire dans ce pays qui fait encore l'objet de nombreuses discriminations (faut-il rappeler les affaires de Trevor Martin ou de Ferguson plus récemment?).
Joseph est doué, très doué, mais loin d'être aussi brillant que son frère aîné Jonah, doté d'une voix d'ange... Joseph et Jonah (Jojo comme les appelle leur mère) sont donc envoyés rapidement à Boston afin d'y suivre un cursus musical, dans la seule école de la côte est qui accepte ces deux enfants métisses.
Jonah se formera, écrasant par son talent tous les jeunes chanteurs de l'école, puis intégrera la Julliard de New York. Joseph le suivra, comme il le fera toute sa vie durant... pianiste dans l'ombre de son frère prodige qui fera le tour du monde...

Gros coup de coeur
Ce livre est un sacré pavé, mais quel plaisir, quelle merveille!
On y révise l'histoire de l'évolution de l'égalité raciale dans les Etats Unis de ces 60 dernières années. Et quelle histoire... Quelle évolution, et que de travail encore à réaliser aujourd'hui!
Ce livre est glaçant de vérité. Je ne crois pas avoir réalisé la difficulté d'être noir dans ce pays, et encore moins métisse, ce qui est peut être encore plus difficile.
Mais ce qu'il y a de plus beau dans ce livre, c'est la musique.
Pour faire simple, ce livre est une véritable symphonie, une saga familiale, un combat pour les droits civiques, un chef d'oeuvre...
Je tiens enfin à faire honneur au traducteur, car le livre en anglais est certainement une merveille, mais la traduction en français est absolument fabuleuse.
Lien : http://piccolanay.blogspot.f..
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