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Avec un titre pareil, pas besoin de résumé, vous avez tout de suite compris que le grand Sherlock Holmes va s'attaquer à l'énigme de Jack l'éventreur, le mystérieux tueur de Londres de 1888.
Je ne connaissais pas Ellery Queen, qui est à la fois le pseudonyme de deux auteurs et celui d'un personnage récurrent.
La lecture fut sympathique, le roman se lit avec plaisir et rapidité, mais bien que lu il y a seulement quelques jours, le souvenir s'en estompe déjà.
La résolution de l'énigme m'a toutefois semblé assez peu crédible.

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Je m'attendais à un "pastiche", pour ce petit bouquin, quelque chose d'assez farfelu, mais en fait, ce n'est pas du tout ça. A dire vrai c'est mon tout premier "Ellery Queen" (il fallait bien un défi pour me faire découvrir cet auteur, lol !) donc je ne connaissais pas du tout ni le style, ni le genre de bouquins écrits par ce duo d'auteurs.

Et bien c'est plutôt sympathique, comme lecture ! Une enquête tout ce qu'il y a de plus "classique", avec beaucoup de dialogues, beaucoup d'action, un respect des personnages d'origine de Conan Doyle tout à fait remarquable, qui plus est. C'est parfois un brin tiré par les cheveux, mais ça se laisse lire agréablement. Ici le personnage Ellery Queen est en retrait, donc je n'en sais pas beaucoup plus sur lui et sa façon de procéder normalement, mais j'avoue que la curiosité risque de me faire monter la PAL d'un volume rien que pour "voir" qui il est, un peu...

Le twist qui permet aux auteurs de mettre en scène à la fois Ellery Queen et Sherlock Holmes est bien trouvé, et puis rien que le fait de lire une nouvelle aventure de Sherlock au ton résolument moderne, c'était un très chouette moment ! du coup je suis réconciliée avec mon défi ABC, lol !
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Un des premiers pastiche concernant Sherlock Holmes et l'on peut dire que c'est plutôt réussi.

Il faut d'abord comprendre que ce pastiche a été écrit suite à la sortie d'un film reprenant Sherlock Holmes et Jack l'Éventreur. Les critiques étant très positives, Ellery Queen obtint l'autorisation d'en faire un roman.


Nous avons ici une enquête en deux temps et avec deux tons différents.
Ellery Queen, romancier peine à trouver l'inspiration afin de boucler son prochain roman policier. Il reçoit d'un ami un "journal" écrit de la main de Watson où il est de Sherlock Holmes et de Jack l'Éventreur. Dans un premier temps, très soupçonneux, il doute de la véracité du document, mais se décide cependant à le lire. Au fil de sa lecture, l'enquête de Sherlock Holmes dans le passé conduit Ellery Queen à la poursuivre dans le présent....


Fan absolue de l'univers Sherlock Holmes, je suis tombée par hasard lors d'une brocante aux livres sur cette pépite. Un vrai bonheur. le livre est court, l'ambiance à la Conan Doyle est totalement respectée sans que l'auteur ait besoin de nous vendre l'histoire par des descriptions sanglantes. Ellery Queen a su reprendre les codes de Conan Doyle comme les effets de manches invraisemblables qui paraissent évidentes lorsque Sherlock nous les relate son évasion aisée d'une maison en flamme :D
L'auteur a également su y ajouter sa touche personnelle en entrecoupant par moment le récit de Watson par des interludes le mettant en scène et se posant des questions sur ce qu'il est en train de lire. le fait de proposer également un dénouement autre que celui de Watson est également rusé : Watson pourrait avoir tort ? :D
Cette narration à deux tons est vraiment agréable : d'un côté, le récit posé et très détaillé de Watson et de l'autre, les facéties d'Ellery Queen et de son père apportent une vraie fraîcheur au récit. Moi qui craignais un roman avec hémoglobine, surnaturel bref... trop de trucs inutiles, j'ai été totalement séduite.


Un roman court fort divertissant, mais Conan Doyle reste le maître. Certains éléments de l'intrigue comme les mobils de Jack l'Eventreur reste vraiment flou... mais bon, la fiction rejoint la réalité puisque nous l'ignorons toujours :D
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Tremblez, Jack L'Éventreur est de retour ! Rassurez-vous, Sherlock Holmes est sur sa piste ! C'est toujours rassurant de savoir que Holmes est sur le coup, isn't it ?
Chaque fois que je lis un roman mettant en scène le Ripper et Holmes, je regrette que Conan Doyle ne se soit pas emparé lui-même de l'affaire. Je suis sûre qu'il aurait pondu une histoire sensationnelle. Tant pis, on doit se contenter des pastiches.

Comme celui-ci qui est particulièrement réussi. Cela a été une bonne surprise car je n'aime pas du tout le film (antérieur au roman). J'aime beaucoup John Neville qui est un Sherlock Holmes correct mais l'histoire est assommante. Aussi je ne cessais de reculer la lecture du bouquin d'Ellery Queen.

Mes doutes sur la qualité de l'ouvrage ont vite été balayés. La partie holmésienne est très réussie, le style et les personnages de Conan Doyle sont respectés (c'est remarquable !) et la partie contemporaine apporte du peps et de l'humour.

Le roman est très court, les auteurs vont à l'essentiel. Tellement que l'on pourra regretter certaines approximations et une absence de mobile pour le Ripper. En même temps, je préfère ça à des mobiles stupides ou un coupable tiré par les cheveux (Coucou Bob Garcia ! Coucou Alan Moore !).

Même s'il ne révolutionne pas la littérature holmésienne, ce roman a le mérite d'être divertissant et de faire passer un bel après-midi en compagnie de Holmes et de Watson (avec une bonne tasse de thé brûlant, s'il vous plaît Madame Hudson !).


CHALLENGE MAUVAIS GENRE
CHALLENGE LES DÉTECTIVES LITTÉRAIRES
CHALLENGE LE TOUR DU SCRABBLE EN 80 JOURS
CHALLENGE MONOPOLY
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Nombreux sont les apocryphes offrant une confrontation entre Sherlock Holmes et Jack l'éventreur. Certains retiennent davantage l'attention que d'autres, ce qui est le cas de ce court roman proposé par le duo Ellery Queen.

Il s'agit ici d'un roman qui s'inspire directement d'un film et non l'inverse. Il ne s'agit pas non plus d'une novélisation. Pour ceux qui ont vu le film, le récit suit assez bien l'histoire générale. L'ennui n'est pourtant pas au rendez-vous. le style est fluide, facile d'accès et surtout l'histoire est courte, se concentrant sur l'essentiel.

Le duo bien connu des amateurs de polars introduit ici une nouveauté par rapport au film en composant une histoire qui va ouvrir une mise en abîme sur un récit de Watson découvert de manière fort simple… mais hautement efficace ! Il fallait y penser… Ellery le romancier sera aidé d'un ami haut en couleur et de son père, le détective Queen, pour mener l'enquête à son tour. le scénario offre quelques surprises permettant de lier l'intrigue principale qui se déroule à Londres 1888 au récit secondaire, qui lui se tient au XXème siècle aux Etats-Unis.

Les différents intermèdes contemporains peuvent être jugés lassants, dans le sens car ils retardent le déroulement de la chasse à l'éventreur. L'artifice est habile car il permet de placer des séquences plus légères qui tiennent surtout à la personnalité de Grant Ames. le dénouement expliquera l'intérêt de ces parenthèses. Il est toutefois regrettable que la préface, sans faire de révélations intempestives, en suggère beaucoup et celles et ceux qui auront lu le livre, sauront rapidement de quoi il en retourne.

La confrontation entre Sherlock et Jack est plutôt intéressant, même si elle reste superficielle. Hormis le fait que Watson croise l'une des victimes, le récit n'utilise presque aucune des nombreuses péripéties bien connues de cette sinistre histoire. Il ne sera donc pas ici question des lettres, de l'inscription... Mais étrangement cette approche reste plaisante, puisqu'elle laisse la place à une intrigue propre.

L'intrigue en question est également simpliste… mais efficace. Il faudra ici se contenter d'une famille nobiliaire, d'un foyer et d'un bar assez mal famé. Il n'en faudra donc pas davantage pour créer une histoire sympathique qui aurait toutefois gagnée à se passer de certains détails macabres.

Simplicité et efficacité sont les deux mots qui caractérisent le mieux ce court roman. Sherlock Holmes contre Jack l'éventreur par Ellery Queen est donc un apocryphe plutôt léger et superficiel mais pourtant agréable. Les personnes passionnées par le mystère des meurtres de Whitechapel pourront toutefois passer leur chemin, car ils ne trouveront rien de véritablement palpitant ici.
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L'ingénieux Ellery Queen confronte son intelligence à celle de son brillant devancier: Sherlock Holmes.
L' énigme est à la mesure de ces cerveaux hors du commun: Jack l' éventreur, bubon criminel d'un 19e siècle anglais finissant, inégalitaire, injuste et dur aux miséreux.
Ellery reprend l' énigme avec l'avantage un oeil neuf et ses méthodes contemporaines.
Un polar aussi passionnant que palpitant.
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Au commencement était le livre… ensuite vient le film. Logique et élémentaire…

Oui mais, pas toujours et ce livre en est la preuve : au commencement était le film « A Study in Terror » (pour rendre hommage au premier livre de Arthur Conan Doyle mettant en scène Sherlock Holmes et qui s’intitule « A Study in scarlett ») et ensuite, Ellery Queen décida de le faire en livre en y insérant son personnage, Ellery Queen.

Et oui, on a un livre qui est l’adaptation écrite d’un film, comme ce fut aussi le cas pour « La vie privée de Sherlock Holmes » de Billy Wilder et mis en roman par l’holmésien Michael Hardwick… Pardon, je m’égare des ruelles sordides de Whitechapel.

Aaah, que ça m’a fait du bien de relire ce pastiche holmésien après quelques lectures peu transcendantales !

Que c’est bon de retrouver un Holmes assez proche de son modèle canonique, arpentant les ruelles sombres de Londres, nous gratifiant de quelques déductions au passage.

Je possède ce livre depuis longtemps dans ma bibliothèque holmésienne (je l’avais lu quand j’avais dans les 16 ans) et il fait partie des rares bons pastiches qui ont mis en scène Jack l’éventreur et Sherlock Holmes (un personnage réel et un de fiction – Conan Doyle n’ayant jamais osé le faire, les crimes étant encore trop présent dans les mémoires et vu qu’un prince avait été suspecté, valait mieux se tenir coi).

Mais fi des digressions, venez avec moi, je vous invite à boire un verre (sale) au fameux Ten Bell Pub… et je vous raconte tout.

Il était une fois, un manuscrit qui avait attérit sur la table du détective Ellery Queen. Une énigme non résolue depuis plus d’un siècle, celle de l’éventreur de Whitechapel… Jack, pour les intimes.

Queen ouvre le manuscrit et se plonge dans le récit que Watson n’a jamais publié, celui des meurtres horribles de cinq préripa… non, de cinq papéti… non, de cinq péripapétiputes ! Ouf, j’ai su le dire et l’écrire.

En 1888, une trousse chirurgicale est envoyée en stoemeling à Holmes (stoemeling : envoyée en douce, ici, c’est sans mention de l’expéditeur).

Il manque le grand scalpel (aussi nommé couteau à nécropsie) et cette boite anonyme va lui donner l’occasion de nous gratifier de brillantes déductions qui le mèneront jusqu’à la famille du propriétaire et ensuite, il pourra se lancer sur la piste du plus grand criminel de tous les temps : Jack l’Éventreur.

Aussi, suivi de son fidèle Watson, plonge-t-il dans les bas-fonds de Londres de cette fin de siècle où, dans l’épaisseur du fog, se dissimule la misère la plus noire.

Mais les pièces du puzzle ne se trouvent pas que dans les taudis et l’insaisissable Jack l’Éventreur tiendra plus d’une fois le célèbre détective en échec. Oui, Holmes n’est pas infaillible, il est humain, aussi.

Avis ? Génial, excellent ! Quelques petites « adaptations » interviennent, pourtant : les meurtres se succèdent à un rythme « non réel » comparé aux dates des vrais crimes. On n’attend pas deux mois que le crime ait lieu et celui de Mary Jane Kelly n’est pas mentionné (le plus gore).

Dans ce super pastiche, il y a de l’action, du suspense, pas de descriptions horribles des crimes (vous échapperez aux rapports d’autopsie – zut !), les personnages sont fidèles et l’enquête ne se perd pas en circonlocutions inutiles.

Bémol ? Dans le livre – comparé au film – c’est Watson le narrateur, donc, pas de scène avec un cab noir, tiré par un cheval noir de chez nwar, déambulant dans les ruelles étroites en quête d’une préri… d’une papéti… d’une protsi… oh, et puis merde, d’une pute !

En ce qui concerne l’explication finale, elle est correcte, bien que Watson se laisse avoir. Moi pas, j’avais capté le message de Holmes.

Malgré toutes ces éloges, il y a un problème et il se trouve dans la partie écrite par Ellery Queen. Alternant le récit de Watson et le sien, Queen m’a pompé l’air.

Heureusement, les parties où il intervient sont très courtes et on revient vite au récit de Watson, bien plus intéressant !

Quenn nous expliquera à la fin d’où provient le manuscrit et pourquoi Watson s’est trompé en relatant les faits.

Un bon roman policier holmésien, pour les fans ou les non connaisseurs.

Juste entre nous, le film est excellent et John Neville campe un Sherlock Holmes plus vrai que nature et Donald Houston est un Docteur Watson fidèle. Le film n’a pas du tout « mal vieilli » et je l’apprécie toujours autant.

Pour les cinéphiles : A Study in Terror est un film britannique réalisé par James Hill et sorti au Royaume-Uni en 1965. John Neville y incarne Sherlock Holmes.

Le film a été tourné aux studios de Shepperton à Londres, et quelques scènes à Osterley House (toujours à Londres).

Le scénario du film est inspiré d’une histoire écrite par Adrian Conan Doyle (le fils d’Arthur Conan Doyle) et intitulée « Fog ». Adrian Conan Doyle a par ailleurs été co-producteur du film avec la société Sir Nigel Films qui lui appartenait.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Ce livre d'Ellery Queen (deux cousins écrivains qui ont choisi le nom de leur héros comme pseudonyme) m'a fait découvrir à l'âge de 10 ans l'Holmésologie et a fait naître en moi une certaine fascination pour les romans parodiques de Conan Doyle. Je viens de le relire quelques décennies plus tard et je peux vous certifier que ce roman (réédité une seule fois en France), n'a pas pris une ride. le principal tour de force - imité depuis - consiste à situer l'action dans deux époques différentes, avec deux héros presque mis en concurrence pour résoudre une seule affaire : découvrir l'identité réelle de Jack l'Éventreur !
Ellery Queen (le détective des années 60, pas l'auteur) entre mystérieusement en possession d'un manuscrit inédit et peut-être apocryphe du Dr Watson. Il se plonge dans sa lecture, et nous découvrons, chapitre après chapitre, l'enquête qu'a menée Sherlock Holmes en 1888 pour mettre fin aux agissements de Jack l'Éventreur dans le quartier de Whitechapel. En parallèle, Ellery Queen et un comparse, entre la lecture de deux chapitres, tentent de découvrir qui leur a transmis ce mystérieux manuscrit et pourquoi.
Le style du récit du Dr Watson est un parfait pastiche "à la manière de" Arthur Conan Doyle, les personnages principaux et secondaires sont crédibles et l'enquête, qui se poursuit et trouve son épilogue dans les années 60, parfaitement cohérente. La rencontre d'un témoin âgé ayant vécu les deux époques est une scène empreinte d'émotion et de nostalgie. Un excellent cru pour une aventure maintes fois imaginée : Sherlock et Jack ayant sévi au même moment à Londres, il était en effet tentant et logique de les faire se rencontrer, et c'est Ellery Queen (l'auteur, pas le héros) qui en 1966 montre la voie.
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Le mythe de Jack l'Eventreur, et surtout le secret de son identité, aura fait, et continue encore de nos jours, fantasmer bon nombre de romanciers, d'écrivains de littérature policière. La tentation de proposer à Sherlock Holmes de résoudre ce problème étant un attrait supplémentaire.

Aussi pouvoir incorporer le détective américain Ellery Queen à la geste holmésienne fut un pas que franchirent allègrement les deux cousins, Frédéric Danay et Manfred B. Lee qui signaient leurs oeuvres du nom de leur héros, et inversement.

Une rencontre qui s'effectue par manuscrit interposé et qui permet à Ellery Queen, le héros détective, de compléter et d'élucider l'enquête menée à l'origine par Sherlock Holmes lui-même.

Un manuscrit parvient donc anonymement à Ellery et, oh stupeur et jubilation, celui-ci s'aperçoit qu'il s'agit d'une aventure inédite du célèbre détective britannique relatée par son fidèle biographe, le bon docteur Watson.

Déchiré par son envie de découvrir cette enquête tumultueuse et historique et son devoir de rédiger un nouveau roman, Ellery Queen passe de l'un à l'autre, en privilégiant toutefois la lecture du manuscrit.

Tout à fait le genre d'enquête qui a le don d'exciter ses neurones, et dans laquelle il se délecte.

Il y apportera même la touche finale en clôturant l'enquête menée par Sherlock, celui-ci n'ayant pas tout révélé à Watson.

Un pastiche savoureux qui ne déparerait pas parmi les aventures rédigées par Conan Doyle.



Double pastiche même, car si ce roman porte le label Ellery Queen, le véritable auteur serait Paul W Fairman avec la collaboration des deux cousins ci-dessus nommés.

Ellery Queen était devenu une véritable entreprise, publiant le magazine Ellery Queen's Mystery Magazine et qui vécu de longues années en France sous le nom de Mystère Magazine, une revue de référence pour tous les amateurs.

Et Ellery Queen, auteur, embaucha quelques romanciers célèbres pour proroger les aventures d'Ellery Queen, héros de romans. Ainsi des romanciers, issus de la littérature populaire, policière et de science-fiction, se cachèrent-ils sous cet alias et l'on pourrait signaler : Jack Vance, Theodore Sturgeon, Stephen Marlow, Richard Deming ou encore Avram Davidson. Tous auteurs possédant par ailleurs une bibliographie imposante et digne d'intérêt.

Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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Tiens voilà un livre que je n'aurais jamais eu la chance de découvrir sans le challenge ABC. (Auteur avec une lettre Q...)
Et bien ce fut une découverte plutôt sympathique, je dois l'admettre. Faire rencontrer Sherlock Holmes avec l'Eventreur de Whitechapel quelle brillante idée !!
A la fois sans rien renier de l'oeuvre originale et tout en restant dans le respect des personnages crées par Conan Doyle, j'avoue avoir été très agréablement surpris par cette histoire.
C'est plutôt bien mené et on ne s'ennuie pas 1 sec. le fait de mêler à la trame principale une narration dans le présent, avec les enquêteurs Ellery et Queen, apporte une petite touche de fun et d'humour à l'ensemble.
En conclusion une lecture fort agréable, presque trop courte.
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