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« Avant de peindre un bambou, il faut que le bambou pousse en votre for intérieur. »

Ce que fait l'auteur, Afghan exilé en Inde puis en France, dans ses « callimorphies », esquisses très éthérées et sensuelles de corps et de représentations du monde, auxquelles l'ont mené ses cours de calligraphie reçus dans l'enfance.
« Moi je me suis embarqué dans cette voie par l'exil, la langue, le désir et l'absence » dit-il.

Un court texte aussi profond aérien sur l'intimité de la création dans l'exil, riche des valeurs immatérielles de la culture orientale de l'auteur.
Il me faudra en faire je pense une deuxième, voire une troisième lecture car, portée par le mouvement du calame, ce roseau-pinceau, je crains d'avoir glissé trop vite sur certains passages.

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Je suis bouddhiste parce que j'ai conscience de ma faiblesse, je suis chrétien parce que j'avoue ma faiblesse, je suis juif parce que je me moque de ma faiblesse, je suis musulman parce que je condamne ma faiblesse, je suis athée si Dieu est tout puissant. »

Un beau livre sur l'exil qui mélange calligraphie et poésie , l' écrit et le dessin
Atiq Rahimi est un écrivain franco afghan , reconnu après son prix Goncourt pour Syngé Sabour
Francophile depuis toujours , il fuit l' Afghanistan au moment de l'invasion soviétique, passe longuement par l'Inde avant de s'installer définitivement en France.Il est influencé par toutes les cultures: perses et arabes, bien sûr, mais aussi hindouiste , bouddhiste , japonaise ou chinoise, ce qui explique la citation qui précède cette critique
La Ballade du calame est un livre à part . Un texte avec de nombreuses calligraphies qui deviennent Callimorphies où se mélangent
les influences arabes, perses ou japonaises
Atiq Rahimi a sa vision personnelle de l'exil très différente de celle d'un des ses personnages : une plantureuse italienne pour qui » son sol , c'est son corps » et non pas ses racines au sens traditionnel du terme
C'est une belle histoire personnelle de l'exil à travers un livre qui ne se prête pas car il est conçu pour être relu
Il s' agit d'une vision assez élitiste et délicate car la grande majorité des exilés n'ont pas le parcours de vie privilégié de Atiq Rahimi, qui vient de l' élite afghane.
Malgré ce bémol , il émane de ce livre beaucoup de douceur malgré l' âpreté du sujet
Si vous avez , ne serait-ce qu'un peu, l' âme d'un poète, cette Ballade du Calame vous plaira
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L'auteur Atiq Rahimi se confie à nous lecteur, il nous livre son sentiment sur l'exil, de l'Afghanistan à l'Inde, puis la France, ou il demande l'asile culturel comme il le définit page.102 "Il y a trente ans, arrivé comme réfugié en France, j'ai demandé l'asile culturel et non pas politique. Culturel parce que je ne me reconnaissais plus ni dans l'idéologie communiste de mon frère, ni dans la foi musulmane de la résistance. J'étais toujours ailleurs. Las de la guerre. Hors du Verbe."
Il nous raconte son errance au travers d'autre moyen d'expression que l'écriture, cela peut être le cinéma mais aussi la callimorphie, expression propre à Atiq Rahimi «Les callimorphies, ce sont d'abord des formes arrachées au corps, qui deviennent des tracés noirs dans le vide blanc », entre la calligraphie et le dessin, des lettres en forme de corps, c'est magnifique le texte est illustré de callimorphies de l'auteur.
Un livre très intime, une très belle découverte, c'est très enrichissant, des réflexions sur les moyens d'exprimer l'errance, l'exil, la culture persane et musulmane, en partant de l'enfance avec le tracé de l'alef et arriver à cette expression la callimorphie.
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Atiq Rahimi, pour ce troisième livre écrit en français, annonce la couleur dès le titre.
Notre langue est riche, très riche de mots et de nuances; ballade, avec deux "L" signifie : "Petit poème narratif en strophe avec un refrain et terminant par un envoi, c'est-à-dire une strophe plus courte."
L'écriture de l'auteur a une musique particulière, celle de la complainte...Et à cela il ajoute des callimorphies, qui soulignent le propos, l'intention de l'auteur.

Ce n'est pas un roman, mais un chant sur l'exil, il narre ce qu'il a perdu mais aussi ce qu'il a trouvé.
Cette marche spirituelle autocentré sur la perte de son pays d'enfance pour savoir qui on est au bout du chemin...

Les premières pages nous font vivre l'errance et l'impuissance de l'auteur à traduire ce qu'il veut nous faire partager. Il ne s'agit pas pour lui, seulement de narrer son propre exil, mais de nous faire partager ce que cet acte laisse de traces au plus profond de sa chair.
L'exil n'efface pas, ou bien elle efface comme les ardoises magiques, lorsque l'écriture de l'écran en plastique disparaît, les traces se voient en filigrane sur le fond gris.
Dès lors que l'auteur accepte de se laisser aller à écouter "ses sensations" plus que ses pensées, il nous entraîne dans un beau voyage.


«L'exil ne s'écrit pas. Il se vit.Alors j'ai pris le calame, ce fin roseau taillé en pointe dont je me servais enfant, et je me suis mis à tracer des lettres calligraphiées, implorant les mots de ma langue maternelle.
Pour les sublimer, les vénérer.
Pour qu'ils reviennent en moi.
Pour qu'ils décrivent mon exil.»

Lorsque je lis le texte ci-dessus, l'image qui se présente à moi est celle de celui qui veut porter "la parole" et pour cela prend son bâton de pèlerin qui pour lui est ce fabuleux calame.

Ce n'est pas une lecture facile car c'est un objet d'art donc à lire et relire pour y trouver à chaque fois quelque chose qui nous aurait échapper. C'est un objet d'art, à vivre.

Ce livre est une magnifique performance, pour faire entendre une voix, celle de l'exilé et de tous les exilés, en usant du métissage des mots, des formes, des images. Quelle plus belle représentation peut-on faire pour un sujet si lourd de sens à ce jour.
Le propos est d'une telle actualité, d'une telle acuité que l'on pourrait "rêver" à une réponse internationale qui ne soit pas uniquement dictée par l'intérêt.
"L'exil, c'est mourir ailleurs."

Lecteur, vous n'allez pas lire un livre mais vivre une expérience, qui va vous laissez désorienté et méditatif.
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Dans ce livre, le troisième de l'auteur écrit en langue française, l'auteur revient sur son enfance et son exil qui l'a mené bien loin de sa terre natale, l'Afghanistan.
Après que son père, juge de la Cour suprême, ait été arrêté puis emprisonné en 1973 pour avoir simplement fait un jeu de mot idiot avec les lettres de son pays, la famille s'exile en Inde. Au départ, les trois enfants restent avec les grands-parents, puis l'auteur les rejoint. C'est en Inde qu'il va découvrir le monde, une croyance différente de la sienne puisqu'il est musulman, et l'importance de l'art et de la culture dans ce pays. Tout cela l'oblige en pleine adolescence à se poser des questions autour du corps, de la sexualité, de la nudité.
Il migrera bien plus tard en France (en 1984). Il a aujourd'hui obtenu la double nationalité.
Pour écrire ce récit un peu particulier, il a eu du mal nous dit-il, sa page restant blanche et les idées absentes. Et puis, il s'est souvenu de son enfance et de ses premiers pas dans l'apprentissage de l'écriture, donc de la calligraphie. Il dit qu'il a eu besoin de son passé pour mieux raconter le présent.
En Afghanistan, c'est avec un calame (une plume taillée dans un roseau) que les enfants apprennent l'alphabet persan et arabe. Ils tracent les lettres les unes après les autres avec application sur une page blanche, et apprennent très vite la rigueur, mais aussi la poésie qui se dégagent de ces signes. Pour le petit garçon rêveur et déjà poète, c'est à la fois une écriture et un dessin, souvent formé de plusieurs autres signes juxtaposés. C'est à la fois l'histoire de la langue qui est écrite dans chacun de ces signes mais aussi une oeuvre d'art. le petit Atiq n'a que faire de s'appliquer, il préfère le dessin, aidé par sa mère qui enseigne les Beaux-Arts, qui est si fière de le voir développer ce qu'elle aime par-dessus tout.
Pour l'auteur l'important au delà du trait c'est la ballade de son calame. D'où le titre du livre !
C'est l'imagination qui prend le dessus, la poésie, la beauté du dessin, les formes féminines qui naissent sous sa plume. Ses créations qu'il appelle ses "callimorphies", parsèment le récit. Elles sont superbes, terriblement émouvantes, et tellement vivantes entre écriture et dessin.
Ses "callimorphies "au fil du récit deviennent autant de messages, qui prennent corps tout en ressemblant de plus en plus à de véritables corps, corps de femmes rêvées et fantasmées, corps interdits mais si beaux.
C'est donc un véritable récit autobiographique, poétique et léger, que l'auteur partage ici tout en nous incitant à réfléchir sur le monde, sur le sens de l'écrit qui reste et se transmet, de génération en génération. Ce qu'il écrit est un hommage à sa mère tant aimée qui lui a transmis cette envie de créer, et à son père qui a su lui donner la force d'avancer.
Il enrichit son récit de multiples citations d'auteurs, de poètes, de calligraphes, cinéastes, philosophes connus ou pas.
Il nous offre ici "une méditation sur ce qui reste de nos vies quand on perd sa terre d'enfance" et un livre à la fois littéraire, artistique, poétique et lumineux...qui nous parle de façon magnifique d'amour, de création et de religion.
Un livre riche et dense, mais qui se lit tout en douceur, en se laissant porter par la poésie des mots et des dessins. Il n'est pas facile à lire mais je l'ai beaucoup aimé.
Lien : https://www.bulledemanou.com..
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A peine lues les 8 premières pages, on tombe sur un trait vertical, le début de la lettre Alef, première lettre de la première écriture que l'humanité a su tracer. On est envoûté par cette « ballade » qui mène le narrateur de Kaboul en Inde puis en France, le texte court nous « balade » au grès des mots. La calligraphie est, étymologiquement, la belle écriture, l'art de bien former les caractères d'écriture manuscrite. La callimorphie, mot que l'auteur utilise tout le temps, donne plus de place, d'espace à la liberté. C'est en quelque sorte une écriture des corps féminins. le callimorphe est un papillon migrateur qui vole jour et nuit, aux ailes noires zébrées de lignes blanches, telle une oeuvre callimorphique. Un petit texte dans lequel je me suis laissée emporter sans analyser. YR
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Quelle idée splendide ! Née d'un double paradoxe. Sommé de ou désirant conter sa propre expérience de migration – il parle d'exil, mais j'ai un parti-pris absolu contre l'usage métaphorique de ce terme, lorsqu'il ne signifie pas le bannissement – et se déclarant incapable de le faire par des mots, l'auteur fait appel aux lettres de sa langue maternelle, le persan. Lettres calligraphiées bien que – deuxième paradoxe – il nous explique pourquoi il n'a pas aimé la calligraphie lorsqu'elle lui fut enseignée en milieu scolaire, et pourquoi il se sent incapable de l'usage de cet art qui a tant de connotations religieuses, et qu'il sait aussi inadapté à son but, qui a davantage trait au corps et au désir qu'à la spiritualité.
Magnifique idée, splendide réalisation, de commencer à conter des épisodes biographiques, dès l'enfance et donc bien avant la migration, avant même celle de son père vers l'Inde, suite à la persécution politique, par des lettres arabes de cet alphabet persan si merveilleux [et dont déchiffrer la complexité constitue l'une de mes bonnes résolutions pour cette nouvelle année.]
Idée extrêmement originale au sein de la littérature migrante qui est elle-même si novatrice et essentielle pour essayer de comprendre notre temps.
Mais hélas cette idée n'est réalisée, par des lettres et quelques mots, que jusqu'à la page 79 et à l'injonction « Va-t-en ! », suprême châtiment divin à l'adresse d'Adam et d'Ève chassés du jardin de l'Éden. Pas de quoi épuiser l'alphabet ni l'autobiographie. Et ensuite ? Ensuite les graphismes se poursuivent, tout aussi séduisants au demeurant, et les réflexions sur la migration-exil-déracinement aussi, tout aussi pertinentes au demeurant – quelques épisodes biographiques laissant de plus en plus de place à des instants de situations vécues.
Mais le reste du texte est caractérisé par la digression. Digressions sur le spirituel, sur la conception du corps, sur l'art indien et afghan, sur la calligraphie et le désir, sur mille autres sujets, intéressants au demeurant, mais décousus, dont je citerai et retiendrai en particulier : « Alef comme Âdam, Hé comme Havâ » (pp. 80-87), un monologue sur le péché originel narré par Havâ à la première personne, et « Douze mouvements pour inachever » (pp. 148-183) : une définition de la démarche de l'auteur de création de callimorphies – métonymies du corps – et non de calligraphies – métaphores du sacré.
Digressions, disais-je, et je vais me permettre, pendant un moment, d'imiter Atiq Rahimi avec une digression, parce que je l'aime beaucoup et que, s'il se penchait un jour sur ce que j'écris ici, il comprendrait que je le fais sans malice. Il faudra que quelqu'un écrive un essai long et circonstancié sur la migration et le malentendu. Franco La Cecla, dans son excellent travail sur le malentendu, a déjà donné pas mal de place au phénomène migratoire. Mais je suis persuadé qu'on peut aller plus loin, jusqu'à dire que l'exposé des motifs migratoires est consubstantiel avec le malentendu, entretenu à dessein par le migrant, afin de se protéger, de se mettre à l'abri dans sa propre condition qui est essentiellement vulnérable. Rahimi conte l'épisode suivant, sous forme de micro-dialogue avec une serveuse dans une brasserie parisienne :

« EXIL […] Qu'il vienne de 'essil', signifiant ravage, destruction... ou de 'ex-solo', hors du sol, arraché au sol, il s'agit d'un état, d'un mouvement de séparation d'avec son espace vital. […]
La serveuse ["une dame magnifiquement italienne"] m'écoute, debout devant moi, poitrine remplie de fierté, qu'elle frappe de sa main charnue. Elle me dit : "Mon sol, c'est mon corps !"
Elle ne connaît pas Ovide. Elle n'a jamais lu ses lettres de l'exil. Mais elle sait, comme lui, dire que l'exil, c'est "laisser son corps derrière soi, un corps rompu, déchiré" dont s'empare la terreur politique, religieuse, sexuelle... » (p. 102-103)

Or j'affirme catégoriquement que Rahimi n'a rien compris aux mots de la servante. J'ai des bonnes raisons de l'affirmer, même si, en essayant à mon tour de les interpréter, je peux aussi tomber dans le malentendu. À mon avis, la serveuse ne connaissait sans doute pas Ovide mais elle exprimait ce qu'Amin Maalouf a énoncé avec beaucoup de force et d'à-propos : les arbres ont des racines, ils s'enracinent dans un sol (ou en sont déracinés), les humains ont des pieds, qui leur servent à se mouvoir. le territoire d'appartenance identitaire de cette femme, dit-elle avec une concision percutante, c'est son propre corps, ni plus ni moins, et excusez du peu...
Cependant le malentendu fonctionne de manière parfaite, un qui pro quo totalement plausible, lorsque Rahimi convoque Ovide, de manière sans doute projective. le malentendu devrait être calligraphié ou callimorphié par lui.

Une toute petite remarque conclusive : l'avant-dernier dessin de l'auteur (le dernier illustrant les mots « Et la suite »), est pourtant une vraie calligraphie, pas une callimorphie. La calligraphie – d'aspect un peu arabesque, assurément dans le langoureux style calligraphique perse – d'un mot français, admirablement décrit dans sa phonologie et dans sa composition alphabétique. Il s'agit du mot dont Simone de Beauvoir disait que « c'était un mot encore plus beau que les plus beaux noms » : « Ailleurs ». le livre commence donc par la calligraphie d'Alef et se termine par la calligraphie D Ailleurs (en français). Trop diablement perspicace pour être une simple coïncidence !
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Qu'est-ce que l'exil ? Comment l'écrire et tenter de le faire comprendre à ceux qui ne l'ont pas connu ? Mais ce n'est pas si simple parler de son exil. C'est accepter un retour sur soi. Mais comment parler de soi ? C'est toute la question de l'autobiographie. Alors parler de soi loin de ses racines, sans possibilité de retour, cela semble compliqué. Mais pas impossible, comme il essaye de nous le faire croire. Rahimi emprunte alors des chemins de traverse : la calligraphie qui se fait callimorphie, par la grâce de l'écriture arabe, très malléable. Ou parle biais de ses films, tentative de retour en Afghanistan, retour qui semble impossible.
Cela donne un livre de réflexion autour de la culture, de la famille, mais aussi de la relation ou non à Dieu (quelque soit le nom qu'on lui donne). S'il est athée, Rahimi puise sa spiritualité dans sa religion d'origine, mais aussi dans l'hindouisme qu'il a étudié lors de son exil en Inde, puis la religion catholique (et peut-être encore d'autres dont il ne parle pas ici), en prenant le meilleur de chaque : ce qui réuni et non ce qui divise. Mais aussi sur les origines de l'homme : sa mère. Eh oui ! On peut être adulte, avoir 60 ans et se retourner toujours vers sa mère, la première femme aimée.
Oui c'est très riche, ça se regarde autant que ça se lit (merci pour la reproduction des callimorphies). Et surtout ça se relit encore et encore.
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L'exil de l'auteur de l'Afghanistan, via l'Inde, puis la France. Portraits intimes entrecoupés de son enfance, de ses métiers, de pensées, des citations, de belles calligraphies, du coran. Pas vraiment accroché. Peut-être suis-je insensible à la poésie ?
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J'avais adoré Terre et Cendres, d'Atiq Rahimi, j'avais été touchée par la poésie et la tristesse qui émanait de ce roman. J'abordais donc La ballade du calame avec de grandes attentes, et je m'attendais à un récit très fort sur l'exil. Mais ce n'est pas ça, il s'agit surtout de poésie cette fois, et je suis passée totalement à côté. Incapable de mettre des mots sur cette épreuve de l'exil, l'auteur évoque la calligraphie de son enfance, puis ses callimorphies plus récentes (car cet auteur est également un artiste), et je dois avouer que cela n'a rien évoqué chez moi, d'où une certaine déception.
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