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Lady Julia Grey tome 1 sur 1
EAN : 9782811212018
528 pages
Milady (22/05/2014)
3.57/5   41 notes
Résumé :
Londres, 1886.
Après avoir reçu une lettre de menace, sir Edward Grey s'effondre et meurt en la présence de lady Julia, son épouse, et d une assemblée de convives. Quelque temps plus tard, Nicholas Brisbane, un détective privé au charme animal, rend visite à lady Julia et lui laisse entendre que son mari aurait été assassiné. Déterminés à démasquer le coupable, tous deux s'engagent dans une quête de la vérité qui se révélera aussi déplaisante que dangereuse.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (28) Voir plus Ajouter une critique
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Ce fut une lecture mitigée qui avait pourtant bien commencé. Enfin façon de parler parce que le roman s'ouvre sur le décès dans des conditions troubles de sir Edward Grey, époux de notre héroïne. Malgré ces circonstances tragiques et un texte à la première personne, le récit garde une certaine distance non dénuée d'ironie : la jeune femme tout juste veuve ne semble pas si triste d'avoir perdu son mari. Et sa famille, nombreuse et excentrique, apporte une note de légèreté supplémentaire...

Mais ensuite l'enquête démarre vraiment (quoique pas très efficacement) et l'intrigue s'étire longuement.

En plus, j'ai deviné très vite l'identité du coupable : c'était le seul personnage "disponible" pour le rôle. du coup, les tentatives de l'auteur pour orienter les soupçons vers d'autres suspects m'ont semblé bien vaines.

Et puis, Milady ce sont d'abord des romances et c'est quand même un peu pour cela que j'ai choisi ce roman. Or ici on a à peine l'esquisse d'un début d'histoire d'amour. On a bien des indices sur une attirance réciproque et son se doute quel tour prendra leur relation dans les prochains tomes... Sauf que ce n'était pas ce que j'attendais de ce premier tome de "Lady Julia Grey".

"Le silence de Grey House" a donc été une lecture décevante, et ce d'autant plus que les premiers chapitres m'avaient beaucoup plu....
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Une enquête se déroulant dans l'Angleterre du dernier quart du XIXe siècle, menée par une héroïne un peu décalée… il ne m'en fallait pas bien plus pour avoir envie de tenter la lecture de cette nouvelle série proposée par Milady.
Difficile de classer ce Silence de Grey House qui lie relativement bien le côté policier à la romance naissante, le tout sur fond historique assez développé et crédible. Si la première centaine de pages peut paraître un peu longuette car prend son temps, l'intrigue décolle finalement et les derniers chapitres surprennent largement. La mayonnaise a mis un petit peu de temps à prendre mais, après avoir tourné la dernière page, je sais que je serai au rendez-vous pour le tome suivant !

Le premier chapitre donne le ton : alors qu'une soirée guindée bat son plein à Grey House, le propriétaire des lieux - Edward Grey -, s'effondre, pris de convulsions et s'éteint dans son lit peu après. Fragile du coeur comme tous ses ancêtres et parents avant lui, personne n'est vraiment surpris par la tournure des évènements… sauf le détective Nicholas Brisbane, présent lors de cette triste fin. Il tente d'avertir Lady Julia Grey de la forte probabilité de l'assassinat de son époux, lui apprenant que celui-ci recevait des menaces anonymes, raison pour laquelle il avait fait appel au détective. La jeune veuve refuse cette hypothèse, préférant se raccrocher à la santé fragile du défunt. Elle change pourtant finalement d'avis, un an après le décès, et se tourne vers Brisbane afin de mener l'enquête.
C'est le début de la chasse aux indices, pas toujours évidents à rassembler étant donné les longs mois passés depuis le meurtre, mais les deux protagonistes - Lady Julia et Nicholas Brisbane - avancent pas à pas. Chaque découverte apporte une nouvelle perspective à l'enquête et, lors des derniers chapitres, lorsque la résolution approche, on se rend compte que jamais nous n'aurions pu imaginer une telle direction pour l'intrigue ! J'ai vraiment été agréablement surprise par le dénouement, n'ayant à aucun moment soupçonner le coupable et surtout, le mobile du crime ! Les habitués des polars ne verront peut-être là rien d'extraordinaire, mais la lectrice bon public que je suis s'est laissée porter par les évènements et s'est laissée surprendre avec beaucoup de plaisir !

Outre le côté policier, j'ai également apprécié l'aspect historique mis en place par Deanna Raybourn. L'auteure installe en effet son histoire dans l'Angleterre victorienne, en 1886 à Londres précisément, et offre un contexte soigné et précis. Elle n'hésite pas à glisser des détails visuels (les tenues, les objets et meubles habillant les différentes pièces), des informations historiques (le nom d'une actrice célèbre par exemple) mais fait également référence à des termes et inventions qui venaient tout juste d'apparaître. En voyant les mots « stylo » et « préservatif en caoutchouc », j'ai douté et suis allée vérifier si leur utilisation était vraiment pertinente. Mais oui, selon Wikipédia (ça vaut ce que ça vaut !), les deux ont leur place dans ce contexte précis.
C'est grâce à de tels petits détails qui peuvent paraître sans importance au milieu des 522 pages du texte, que l'inconscient du lecteur se met dans l'ambiance et qu'il parvient à s'imaginer et à se projeter aussi bien dans l'intrigue, au milieu d'une atmosphère typiquement british, un peu grise à cause du « fog », un peu froide à cause des convenances et de la bienséance de l'époque… et c'est finalement tellement agréable pour toutes les personnes appréciant l'Angleterre victorienne !

Enfin, et je vais peut-être en décevoir certain(e)s, mais malgré la publication de cette série dans la collection romance (Pemberley) de Milady, l'histoire d'amour n'est vraiment pas au centre de l'intrigue. Je pense que beaucoup peuvent être désappointés par cet état de fait, pour ma part, j'ai été plus que ravie en constatant que la romance ne serait pas la priorité de Deanna Raybourn et que l'auteure s'inspirerait plutôt des titres classiques anglais (Jane Austen évidemment !) pour nous offrir une histoire naissante certes un peu désuète (XIXe siècle oblige), toute en retenue mais surtout crédible.
Point de scènes de sexe ici, à peine quelques effleurements, mais sous ses non-dits, beaucoup d'émotions et de passion. Et vraiment, je préfère largement un échange de regards et la mise en place d'une profonde tendresse entre deux personnages, plutôt qu'un « hop je te saute dessus dès le premier regard ». C'est juste ce qu'il faut, ni trop rapide ni trop lent entre Lady Julia et Nicholas Brisbane, pour qu'on y croit. Et étant donné les dernières pages, j'ai vraiment hâte de découvrir ce que nous préparent ces deux-là dans le tome suivant !

Si je dois avancer un petit bémol (ou deux), il s'agirait surtout de la distance que j'ai pu ressentir envers les héros, notamment Lady Julia. Malgré la rédaction à la première personne du singulier (le lecteur est donc constamment dans la tête de la jeune femme), une petite barrière a persisté tout au long de ma lecture. J'ai aimé suivre cette jeune veuve affublée d'une famille d'originaux, qui commence à se poser des questions sur ses choix et son avenir. Mariée très jeune par raison à un jeune homme qu'elle estimait comme un frère, elle va découvrir les sentiments amoureux. La suivre est très agréable et encore une fois, particulièrement crédible ; mais il m'a manqué un petit truc pour que je m'attache complètement à elle et pour qu'elle m'émeuve vraiment. Je pense que le contexte très guindé de l'Angleterre de la fin du XIXe siècle y est pour quelque chose car il apporte une certaine retenue mais j'espère bien être complètement happée par le deuxième tome !
Quant au héros masculin principal, à savoir Nicholas Brisbane, là aussi, je suis intriguée et intéressée… mais pas complètement convaincue et sous le charme. Il se révèle au fil des pages, gardant un brin de mystère et de « sauvagerie » (apparemment c'est le truc qui fait craquer les nanas à coup sûr !) tout en ne manquant pas d'apparaître brillant, charmeur et même assez tendre. Un combo plutôt bien tourné et qui ne manque pas d'attiser la curiosité et l'intérêt de la lectrice que je suis mais… il manque un truc. J'espère que l'auteure creusera davantage ce personnage par la suite car il a du potentiel, j'en suis sûre !

Ce premier bémol (qui n'en est pas vraiment un puisque fait logiquement suit au contexte) est rejoint par un deuxième, là aussi qui n'en est pas vraiment un, au niveau de la narration cette fois. J'ai en effet trouvé que la première centaine de pages assez longuette pouvait se justifier par la mise en place du contexte, de l'intrigue et des personnages… mais vraiment, il n'aurait pas fallu attendre vingt pages de plus pour que l'ensemble décolle, sinon ça aurait été trop. Deanna Raybourn a tiré la corde juste à la limite et je pense que certains lecteurs ont pu décrocher et ne pas aller plus loin. Ce qui est vraiment dommage car la suite est excellente et, je ne l'ai pas encore clairement dit, mais l'auteure écrit assez bien (ou la traduction est très soignée).
Le récit (aux temps du récit - passé simple et imparfait - c'est appréciable !) à la première personne du singulier fonctionne parfaitement, les descriptions visuelles et les introspections de l'héroïne sont juste assez nombreuses, régulièrement entrecoupées par quelques passages de dialogues qui rythment l'ensemble. Et je me répète mais l'auteure parvient à créer une atmosphère propre au contexte grâce à des éléments descriptifs et des détails qui peuvent passer inaperçus mais qui apportent le petit truc en plus. le lecteur est facilement projeté dans l'Angleterre victorienne, ce qui n'est pas toujours le cas. Il ne suffit pas d'indiquer une date au début du texte, de placer les personnages dans un ou deux bals et de leur faire porter un corset pour qu'on se croie à une époque précise. Deanna Raybourn l'a bien compris et propose quelque chose d'assez riche et maîtrisé.

Je n'ai pas toujours été très tendre avec la collection Milady et je suis rarement convaincue par les titres classés en « romance historique » (pas que chez Milady d'ailleurs), mais pour le coup, je trouve que ce Silence de Grey House est un bon cru du genre ! Mêlant assez finement polar, historique et romance, Deanna Raybourn offre un premier tome bien pensé et finalement assez addictif ! Vivement la suite !
Lien : http://bazardelalitterature...
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Une romance sur fond d'intrigue policière qui malgré quelques petites longueurs fini par être addictive. Avec ce premier tome, l'auteure nous plonge au coeur de Londres au cours du règne de la reine Victoria. Lady Julia perd son époux qui s'effondre lors d'une réception. Un détective, Nicholas Brisbane, qui ne l'a laisse pas insensible au fil des pages, va alors lui faire part de ses soupçons : son époux ne serait pas mort de causes naturelles mais il aurait été assassiné. Tous les deux vont mener l'enquête.

Comme je disais le roman traine parfois en longueur, surtout au début ou l'on assiste à tous les détails des journées de Julia. Par contre, les 100 dernières pages sont captivantes et riches en rebondissements. Je suis surprise et aussi contente de ce dénouement qui m'a bien plu et je dois dire que j'ai hâte de lire la suite d'autant que je viens de voir qu'il y a, à ce jour, 5 tomes et 2 "demi-tomes".

Bref, c'est une bonne lecture qui allie le roman policier et la romance historique.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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C'est un énorme coup de coeur, un roman jubilatoire, à savourer sans plus attendre !

J'ai tout aimé dans ce livre, du contexte à l'intrigue, en passant par les personnages truculents et surtout la plume si raffinée de Deanna Raybourn. Elle nous offre un portrait fidèle de la société anglaise du XIXème. Les costumes, le décor, les mets, les boissons, en passant par le mobilier et la bienséance, tout est méticuleusement détaillé. A titre d'exemple -un parmi tant d'autres-, l'auteure va même jusqu'à nous décrire le motif d'un pommeau de canne. Il est difficile avec une telle précision de ne pas se sentir transporter en pleine Angleterre victorienne. Vous me direz que dans un polar, les détails sont plus que jamais primordiaux. Or, ici, on voit clairement que l'auteure maîtrise son sujet et qu'elle a une vaste connaissance de l'époque. L'atmosphère en est presque palpable. Les personnages, les lieux et les situations sont criants de réalisme.

Le silence de Grey House joue sur le même registre que La curiosité est un péché mortel de Ann Granger. Ce sont tous deux des polars qui prennent place dans l'Angleterre victorienne. Pourtant, Lady Julia se démarque à bien des égards. L'héroïne elle-même m'a parue un brin plus piquante et étonnante que la Lizzie Martin d'Ann Granger. L'intrigue est également plus prenante et captivante ici puisqu'elle touche de très près l'héroïne principale. Cela dit, les romans policiers d'Ann Granger restent tout de même excellents et je vous les conseille au passage.

Lady Julia est de loin l'héroïne la plus intéressante que j'ai pu rencontrer au fil de mes lectures. Fille d'une fratrie de 10 enfants, plus excentriques les uns que les autres, elle mène finalement une existence assez conventionnelle. Elle a un caractère bien trempé, et n'hésite pas à tenir tête à des hommes, même lorsqu'il s'agit de son frère aîné, - héritier de la famille -, qui détient l'autorité juste après leur père. Julia met un point d'honneur à rester indépendante et autonome, même après la mort de son époux. Persuadée que ce dernier a été victime d'un meurtre, elle cherche à démasquer le coupable et va tout mettre en oeuvre pour y parvenir. Cependant,elle ne connaît absolument rien en enquêtes policières et tâtonne beaucoup sur le sujet. le mystérieux et séduisant Nicholas Brisbane, détective de profession va l'initier et l'aider à aiguiser ses talents de déduction. Il lui apprendra - avec plus ou moins de succès – la méfiance et la discrétion. Entre eux s'installe une relation des plus singulières. Ils sont liés par un pacte de confiance à l'égard de l'enquête qu'ils se sont promis de mener à bien. Malgré de la bonne volonté, les erreurs de Julia vont freiner cette confiance mutuelle et donner lieu à des situations bien délicates...
Si au début du récit, lady Julia reste assez impassible face à la tragédie qui la frappe, sa personnalité va évoluer au fur et à mesure de ses découvertes. La relation qui l'unissait à Sir Edward était complexe, et les troublantes révélations excusent le manque d'empathie de Julia. Je dirais qu'elle est touchante à sa façon. La mort de son époux et l'enquête dans laquelle elle se lance, lui permettent également de poser un autre regard sur sa demeure et ses domestiques. Elle apprend à s'ouvrir aux autres. Nicholas Brisbane quant à lui, reste bien mystérieux. Malgré un tempérament impulsif, il sait faire preuve de patience, voire de douceur... Difficile de ne pas être à la fois charmée par son personnage et intriguée par ses secrets.

Ici, la romance est tout en retenue, à peine effleurée. Les deux figures principales sont un peu comme chien et chat. Il n'y a pas vraiment de séduction au sens propre, c'est un lien intellectuel qui lie Julia et Nicholas. J'ai pour ma part énormément apprécié cette façon d'introduire la romance,. Malgré une légère attirance physique, Julia voit Brisbane comme le parfait opposé de son défunt époux, à la fois sur le plan physique mais également moral. Nous sommes très loin ici du roman sentimental classique, l'aspect polar prime sur le reste. Cela m'a beaucoup plu car je savais à quoi m'attendre. Si vous êtes en quête d'une romance pure, ce livre n'est malheureusement pas pour vous.

En jouant sur une histoire rythmée, non dénuée d'humour, une intrigue renversante, et en mettant en scène des personnages captivants, Deanna Raybourn a tapé dans le mile ! le fameux corbeau et l'allusion à peine frôlée à la mythologie scandinave avec la mention d'Hugin et Munin, ont fini de me rendre totalement fan de ce roman !

Voila bien longtemps que je n'avais pas eu une telle addiction pour un livre et l'attente va être interminable jusqu'au second tome !
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Lady Julia Grey vient d'enterrer son mari lorsqu'un détective privé, Nicholas Brisbane lui annonce que son mari n'est pas mort de cause naturelle. D'abord réfractaire à l'idée d'un meurtre, Julia découvre une lettre de menace qui l'obligera à accepter la vérité. Commence alors une enquête difficile qu'elle mènera avec Nicholas Brisbane. Entre secrets, trahisons, et sentiments naissants, Julia aura fort à faire...

Ce roman m'a plu dans les grandes largeurs. le cadre bien décrit, l'époque que j'affectionne particulièrement, les personnages bien décrits, une enquête criminelle, ...
Mais la mayonnaise prend trop de temps à prendre! Beaucoup trop longtemps. Ce volume fait 500 pages. L'enquête piétine souvent et se développe à la vitesse d'un escargot.

La relation entre Julia et Nicholas ne s'apparente pas vraiment à une romance. Ils apprennent petit à petit à se connaître, ne se font pas vraiment confiance. On sent vers la fin qu'ils ressentent quelque chose l'un pour l'autre mais l'auteure ne va pas plus loin. Je me suis sentie frustrée.

En résumé, un premier tome prometteur mais qui m'a laissé sur ma faim. Dommage que les autres tomes ne soient pas encore traduits en français. Je suis curieuse de découvrir ce qui attend nos héros...
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Les jours précédant les funérailles furent sinistres, comme ils le sont souvent. Trop de gens, disant trop de choses inutiles - les mêmes propos futiles que tout le monde tient toujours.
" Quelle tragédie, si inattendue, tellement, mais tellement atroce." Et peu importe à quel point vous avez envie de leur crier de partir et de vous laisser tranquille, vous ne pouvez pas vous le permettre, même si ce sont les membres de votre famille.
Surtout s'ils font partie de votre famille, en fait.
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Les enquêtes ressemblent fort à la chasse aux serpents. On retourne toutes les pierres, on sonde toutes les cachettes, et ce que l'on découvre est souvent corrompu, néfaste et gagnerait à rester dans la pénombre.
Il s'agit parfois d'un mal qui n'a rien à voir avec l'enquête, mais c'est simplement une chose noire et vicieuse qui n'aurait jamais dû voir la lumière du jour. Et des vies en sont bouleversées, milady.
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C'est amusant comme on passe toute notre adolescence à acquérir des compétences censées nous servir en société, et comme on passe toute notre vie d'adulte à les oublier.
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j'étais fermement convaincue que lorsqu'on ne croyait pas à sa réussite, on ne risquait pas d'y parvenir.
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Ma chérie, tu devrais savoir à présent que c’est la vie qui est terrifiante, pas la mort.
(p. 410)
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Vidéo de Deanna Raybourn
Interview de Deanna Raybourn (en anglais).
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