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3,69

sur 1851 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce livre aborde le terrible sujet de la sujétion psychologique d'une femme à son mari, un homme pouvant être qualifié de pervers narcissique, cruel et manipulateur.

Funeste et sombre, ce livre a le mérite de mettre en avant un sujet majeur et de tenter de dépeindre les difficultés des victimes à comprendre leur situation, et à s'en extraire.

En revanche, le style de ce livre est à mon sens particulièrement déplaisant. Aucune poésie, des phrases au style pompeux et lourd. le narrateur est antipathique, et que dire du nom du personnage principal (« Bénédicte Ombredanne »…), qui a le don d'ôter toute trace de la fluidité déjà résiduelle du texte, à chaque mention.
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J'ai commencé à lire" Sarah, Suzanne et l'Écrivain " de Éric Reinhnart quand il a été primé,  mais je l'ai lâché au bout de 70 pages. Alors comme on me dit beaucoup de bien de cet écrivain, notamment de "l'Amour et les Forêts", et ne voulant pas rester sur une impression négative, je me suis lancé dans la lecture de celui-ci.

Pour faire bref : "L' Amour et les Forêts" ce roman écrit en 2014, m'a intéressé sur le fond mais il m'a totalement ennuyé sur la forme. Non pas que Éric Reinhnart écrit mal, bien au contraire, son style est recherché et il s'en délecte lui-même. Mais il est incapable de synthétiser une scène ou un sentiment, alors il décortique l'action ou délaye son texte, et ça devient pompeux. Cela dure ainsi sur des pages et des pages. C'est tout cela qui m'a gêné dans son roman au point que j'ai sauté plusieurs fois des paragraphes pour m'apercevoir plus loin qu'on était toujours au même endroit du récit.

Comme l'écrit Amelie Nothomb :"Il y a des gens qui vous envahissent avec leur logorrhée : on a la pénible impression d'être prisonnier de leurs mots". 
Éric Reinhart n'en finit pas de couper les cheveux en quatre pour expliquer une situation, un sentiment, ou pour décrire quoi que ce soit. C'est effectivement une interminable logorrhée !

Ah oui, l'histoire ! J'allais oublier...( elle est tellement noyée dans ce brouhaha) le personnage principal, cette Bénédicte Ombredanne, qui subit l'insupportable harcèlement de son mari, est un bateau perdu à la dérive dans les flots tumultueux de sa vie conjugale, et elle ne sait comment s'en échapper. Une tentative, par une rencontre amoureuse, lui donne une occasion qu'elle ne prolonge pas; et cet écart lui vaudra une violence conjugale décuplée. Bien sûr.
Malgré tout, je n'ai pas réussi à partager une quelconque empathie avec ce malheureux personnage torturé.
Il a manqué quelque chose à ce roman pour me faire vibrer.
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Ce livre est imbuvable et pourtant je l'ai lu jusqu'au bout. Les phrases sont interminables et pédantes (cela ressemble à de la masturbation intellectuelle où seul l'auteur prend son pied). Quant à Bénédicte, l"héroïne", celle-ci semble peu crédible , et l'empathie qu'on devrait avoir envers elle, est complètement anesthésiée par l'écriture. J'ai un peu de mal à comprendre la notion de "prix littéraires "
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J'ai lu ce roman pour le sujet traité. Je n'ai pas été convaincu par la plume de l'auteur, pas vraiment mon style, ni par la construction de l'histoire. Mon plus gros reproche concerne la figure du mari. Si l'auteur voulait vraiment dépeindre un pervers narcissique, alors la première scène de la repentance n'aurait jamais dû figurer dans le roman. Un pervers narcissique ne peut pas avoir conscience de sa maladie, c'est la raison pour laquelle ils ne sont généralement pas soignables. Par contre, la réflexion sur la maladie m'a renvoyé à ma propre histoire, en miroir: c'est moi qui ai accompagné à la mort un pervers narcissique.
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Des critiques élogieuses, lauréat de trois prix, ce roman avait tout pour plaire.
Dès le premier chapitre, mise en abyme de l'auteur qui se met en scène et raconte ses rencontres avec sa lectrice admirative, Bénédicte Ombredanne.
« J'avais senti qu'elle avait besoin de me raconter sa vie. J'entretenais ses confidences par des questions et des encouragements affectueux, il me semblait primordial qu'elle puisse évacuer ce que j'ai compris qu'elle gardait pour elle seule depuis des années. »
Et nous lecteur, un peu voyeur, entrons dans l'intimité de cette femme qui raconte ce mari pervers et harceleur qui l'humilie et la surveille sans cesse. Voulant prendre un peu de recul, elle s'inscrit sur un site de rencontres et là, bingo ! Elle tombe sur l'homme idéal, l'opposé de son pauvre mec de mari.
Ils se retrouvent et le conte de fée continue. Tout est idyllique et la passion est au rendez-vous. On comprend alors le titre du roman puisque la rencontre amoureuse se déroule en lisière d'une forêt
« Elle entendait, provenant des arbres qui entouraient la maison, des oiseaux qui chantaient, c'était un poudroiement sonore continuel autour du lit et de leurs corps enchevêtrés. »
C'est bien joli, cet amour qui tombe du ciel et cette orgie de sexe, mais le retour à la réalité est plutôt duraille. Sans alibi bien ficelé, (elle tente bien le coup de la panne d'essence !) Bénédicte Ombredanne est victime de la jalousie perverse et du chantage odieux exercés par son mari. Sa vie devient un enfer.
L'écrivain réapparait dans l'histoire, comme un guide touristique guidant nos pas à travers les méandres de cette histoire quelque peu tarabiscotée. Car cette Bénédicte Ombredanne, pour laquelle malgré ses malheurs, je n'ai pas éprouvé une grande compassion, cette Bénédicte donc n'est peut-être pas celle qu'on croyait.
L'écrivain va découvrir qu'elle a une soeur jumelle (jamais mentionnée par l'intéressée) Et cette soeur va faire un portrait très différent de Bénédicte, racontant ses dépressions, ses cancers, et sa souffrance autant physique que psychologique auprès de ce mari toxique. Bénédicte lui aurait avoué son fantasme d'un rendez-vous secret avec un homme inconnu. Tiens donc ! L'écrivain et nous avec, aurions donc été manipulés à notre tour par une femme victime ? Où s'arrête la vérité, où commence le fantasme ? Et si l'auteur avait interprété et réécrit l'histoire de Bénédicte ? Un peu comme dans un conte (on a déjà la forêt profonde et le prince charmant !) Et donc nous manipule à son tour (facile quand on écrit l'histoire !)
Bon, je n'ai pas la réponse, et je m'en contrefiche car je me suis bien perdue dans cette histoire un peu tordue, il faut le dire. Je ne sais pas où l'auteur voulait m'emmener, et il a dû bien s'amuser avec ses personnages Playmobil. Mais moi, j'ai trouvé cela bien longuet et je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages.
J'ai attendu, en vain, que l'auteur s'empare de la violence conjugale et développe davantage ce thème de façon plus réaliste. Hélas ! On passe à côté (ou bien c'est moi qui suis passée à côté du roman !)
Un roman que, malgré ses trois prix, j'oublierai bien vite.

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J'ai acheté le livre dans une librairie d'occasion car j'avais vu le film récemment. D'habitude, je suis assez déçue des adaptations cinématographiques, mais ici c'est le contraire. le film est pour moi très bien joué et montre bien la souffrance du personnage, interprété par Virgine Efira. Je n'ai pas pu achever le livre et je déconseille de le lire si on a déjà le moral en berne. Pourtant c'est un sujet intéressant et je trouve particulièrement bien de la part d'un homme d'écrire l'histoire d'une femme victime de maltraitance de la part de son conjoint. Seulement voilà, je trouve que le personnage ne tient pas du tout la route dans le livre. Au départ, je m'imaginais une femme très réservée, très pudique, et puis voilà qu'elle se lâche sur un site de rencontre, avec une aisance incroyable, lâchant des insanités d'une grossièreté pas possible qui ne correspondent pas du tout à ce genre de femme. Cela m'étonne de la part d'un professeur de français. Vu son profil, elle aurait bloqué les harceleurs et les grossiers. Mais non, elle leur tient tête et par contre, à son mari elle n'arrive pas à lui envoyer un bon coup de massue au propre ou au figuré, semble soumise. Mais ce qui m'a le plus énervée c'est cette rencontre, le bol pas possible, d'un homme merveilleux lors de cette inscription sur le site (pour la première fois) beau, qui lui plaît énormément, à qui elle plaît énormément, qui habite dans une maison loin de tout (ce qui fait qu'ils peuvent y aller franco au niveau des ébats sans que personne ne les entende), il parle bien, il est seul sans une femme dans sa vie, il est gentil, attentionné, il veut la revoir et à peine quelques minutes après la rencontre, il l'emmène dans sa chambre et la fait grimper aux rideaux. Je ne critique pas les personnes qui aiment une aventure pour un jour, c'est juste que je trouve que cela ne tient pas la route. Après, je n'ai plus pu continuer lorsqu'elle a une discussion avec sa fille, que je trouve très mûre pour son âge. Enfin, voilà, le sujet est intéressant mais le livre je le trouve très lourd et pénible.
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La violence psychologique est au coeur du roman et de cette relation de couple néfaste. On ressent une envie de se sortir de cette emprise mais le pervers narcissique est fort et ne laisse rien au hasard.
Le souhait de se sortir de ce marasme est bien présent mais l'auteur, commence son roman, avec un autocentrisme flagrant et dérangeant, il s'écoute écrire et narrer, tout en nous prouvant qu'il a une manière d'écrire exceptionnelle. Un manie un style pompeux, tout comme il manie son héroïne d'une manière totalement improbable et poussive.
S'en suit une écriture lourde, répétitive, avec des passages sans aucun intérêt pour l'histoire étant même assez décousus par moment.
Alors bien sur, le sujet se veut intéressant mais la manière de le traiter, la foultitude de détails nous enlisent en me laissant en bouche qu'ils sont là pour donner un répit à cette vie qui part en lambeaux.
De manière générale, j'ai trouvé cela assez fade. Outre le fait que les histoires d'amour ne sont pas pour moi, celle ci avait l'avantage d'aborder un sujet sensible et psychologiquement cruel mais la promesse n'a pas été tenue, je me suis ennuyée et j'ai eu hâte de finir ce livre rapidement, même si la dernière partie était plus "pêchue".
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C'est le récit d'un écrivain, l'auteur de ce livre, qui touché par la lettre d'une lectrice, entame une correspondance avec elle avant de finir par la rencontrer. Si la première rencontre n'a pas un intérêt particulier, la seconde quelques semaines plus tard, va le bouleverser.
Benedicte Ombredanne est professeure de français, agrégée de lettres modernes, une femme intelligente, cultivée qui vit sous l'emprise d'un mari qu'elle n'aime pas. Un jour où il a été particulièrement humiliant, sous l'effet de la colère, elle décide de s'inscrire sur Meetic. S'ensuit une rencontre avec un homme merveilleux, Christian, qui va la bouleverser au point d'en oublier son mari et même ses enfants ... le temps d'un après-midi. Cette demi journée dans le bras de cet homme sensible et délicat, elle va la payer cher.
Et là, nous allons avoir le récit des deux années qui ont suivi cette incartade, car elle décide de rester avec cet homme qui la rabaisse plus bas que terre, et avec ses enfants égoïstes. On aurait envie de dire à Benedicte Ombredanne de les abandonner tous et de foncer chez son amant, mais évidemment une femme sous emprise, si intelligente soit elle, a un discernement altéré.
Le sujet est sensible, mais j'avoue avoir trouvé le récit de cette situation de harcèlement et de violences conjugales froid et sans empathie particulière. Il y a des longueurs, des passages survolés parce que superflus et n'apportant pas grand chose. le récit, en fin de livre, par la soeur jumelle de Benedicte Ombredanne redonne un peu d'humanité à l'histoire de cette femme qui se rêvait un destin d'héroïne et qui finit par renoncements successifs à s'abandonner à un destin de victime de violences conjugales.
Bon vous l'aurez compris, ce livre ne restera pas dans les annales ! Cependant, au plaisir d'échanger sur le sujet, car visiblement les avis sont très partagés.
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Voilà bien un livre que j'ai vraiment trouvé long, trèèèès long à lire, peinant à y revenir à chaque fois (ou presque, mais j'y reviendrai plus loin) que j'ai dû en arrêter la lecture. Ça ne m'arrive pas souvent, heureusement.
Ainsi, je me suis fait violence, à la fin du premier chapitre, pour ne pas l'abandonner là, comme ça, sans façon, et le rendre à la bibliothèque en me réjouissant de ne pas l'avoir eu en cadeau (car il figurait depuis longtemps, sans que je me souvienne comment il y était arrivé, sur ma liste de livres que je souhaite lire et dans laquelle les personnes de mon entourage piochent à l'aveuglette quand ils veulent m'offrir un cadeau, à ma demande), tellement le style de l'auteur, que je découvrais en même temps que ce livre, me hérissait le poil tout autant que la sorte d'égocentrisme « écrivaintesque » (en « pensant » ce mot j'ai l'image du mot « gargantuesque » qui envahit mon esprit) qui l'alourdissait et me le rendait indigeste.
Dès le deuxième chapitre, je me suis dit que l' « histoire » commençait enfin, qu'un peu de consistance allait se glisser au fil des pages et happer la lectrice que j'étais pour l'extraire, par l'intermédiaire des mots, de son fauteuil si confortable, la bousculer, un peu. Mais, très vite, tout « retombait » comme un soufflé manqué, ou pire un « orgasme romanesque » avorté, dilapidé dans des phrases tellement alambiquées qu'elles finissaient soit par perdre tout sens, soit par sonner faux structurellement.
Le plaisir de lire voguait ainsi laborieusement, tantôt épuisé, tantôt émoustillé, tantôt coupé en plein élan, frustré... jusqu'à l'avant-dernier chapitre, arrivé comme une délivrance et, du style, et, de l'histoire, et, de mes attentes laissées tant de fois en suspens au creux de ces pages. Alors tout s'éclairait, tout ce qui m'avait rebuté se justifiait, enfin, appelant à une nouvelle lecture de ce roman, donnant envie d'y revenir, de tout recommencer rien que pour l'apothéose du final, mais cette fois-ci en savourant chaque recoin, chaque construction... Cet étrange revirement de sentiments vis à vis de ce livre s'est finalement retrouvé confirmé, tout en douceur, par le dernier chapitre.

Alors, je ne saurais dire si livre m'a plu ou non. Jusqu'à cet avant-dernier chapitre, le seul intérêt que j'avais réussi à lui trouver était les allusions à Villiers de L'Isle-Adam, écrivain que j'ai découvert (par hasard, lors d'un de mes premiers achats personnels de livres avec mes maigres finances, grâce à une édition de poche bon marché) lorsque j'étais lycéenne : j'avais pu, alors, m'acheter 3  livres en même temps (les Contes cruels de Villiers de L'Isle-Adam, Là-bas de Huysmans et les Récits fantastiques de Théophile Gautier). 3 livres que je me souviens avoir adorés à l'époque, sans qu'il m'en reste quoique ce soit d'autre de bien définissable aujourd'hui, et que L'Amour et les forêts m'auront ramenés en mémoire, en quelque sorte. Il serait certainement intéressant pour moi de les relire, par curiosité.
Et, peut-être, relirai-je alors ce roman, avec encore un regard différent. Peut-être.
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Il m'arrive de temps en temps de consulter les listes des prix littéraires afin d'y piocher des idées. Ce n'est pas parce que je suis convaincue d'y trouver des pépites, c'est parce que je suis curieuse et que j'aime bâtir ma propre opinion sur des titres dont on parle beaucoup. C'est ainsi que j'ai choisi de lire il y a quelques jours L'amour et les forêts, sans rien connaître de l'auteur et sans avoir lu une seule critique. J'ai forcément dû en entendre parler un peu à sa sortie, mais comme il date de 2014, autant dire que les quelques informations que j'ai pu avoir sur ce roman se sont évanouies dans le tréfonds de ma mémoire…
D'abord, c'est un joli titre. On ne sait d'ailleurs pas vraiment s'il sera question d'amour ou de forêts dans ce roman quand on en commence la lecture, tant la figure de l'auteur occupe les premières pages. Il est là qui parle de lui et qui nous raconte sa rencontre avec une certaine Bénédicte Ombredanne, professeure agrégée de Lettres exerçant dans un lycée. Une « fan ». Ça a l'air de faire du bien à l'égo et c'est très moderne, cette intrusion de l'auteur dans une histoire qui aurait peut-être pu se passer de ce procédé. Je m'explique – et qu'on me hue si besoin – ce roman qui pourrait être considéré comme réussi par le thème qu'il aborde est un échec en terme de narration. L'histoire de Bénédicte est terrible, elle se suffit à elle-même. Je l'appelle Bénédicte, contrairement à l'auteur qui ne cesse de l'appeler Bénédicte Ombredanne – c'est insupportable – comme pour mieux la mettre à distance. C'est complètement réussi d'ailleurs ! Je suis une ultra-sensible et je crois n'avoir quasiment rien ressenti à l'égard de cette pauvre héroïne pendant les deux-tiers du roman. C'est parce que c'est mal raconté (oups, j'ai osé) : sa décision de chercher un homme sur Meetic et les discussions qui s'ensuivent… caricaturales à souhait, sa rencontre avec l'homme parfait (du premier coup, on repassera sur la probabilité), le long passage sur le tir à l'arc, les scènes de sexe sans intérêt majeur… Bon, ça c'est le début. Ensuite, viennent l'aveu et la description d'un véritable enfer psychologique vécu par la jeune trentenaire. On compatit un peu mais rien n'est fait non plus pour nous rendre le personnage sympathique. On peine aussi à comprendre l'enfermement de ce personnage dans sa situation, mais ça c'est un autre débat. La seule partie qui a trouvé grâce à mes yeux est la troisième : c'est la soeur de Bénédicte qui reprend le flambeau narratif si j'ose dire et c'est… glaçant. Là, on tient quelque chose de puissant. Mais le reste du roman… C'est décousu, ça manque d'unité. On passe d'une envolée lyrique à des propos d'une grossièreté affligeante. Et l'histoire… Non, vraiment, on n'y croit pas ! Quel dommage quand on sait que des Bénédicte Ombredanne, il y en a un nombre effrayant… Alors, on va peut-être me dire que je n'ai rien compris au livre, c'est ce qu'on a visiblement reproché à d'autres lecteurs qui ont livré des critiques négatives (je viens d'en lire quelques-unes). Or, je n'ai pas besoin de comprendre, j'ai besoin de ressentir et quand je ne ressens quasiment rien sur un sujet aussi douloureux, c'est le signe pour moi d'un naufrage romanesque.

Lien : http://aperto.libro.over-blo..
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