AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
2,76

sur 23 notes
5
1 avis
4
3 avis
3
9 avis
2
4 avis
1
3 avis
La Norvège a Jo Nesbø. La veinarde. Va-t-elle aussi se la péter avec Tore Renberg ?

Affreux, sales et méchants !

Du pétrole c'est ce qu'ont du boire certains des protagonistes du livre tellement ils sont perchés.
Une vraie bande de doux dingues.
Les dialogues au premier abord sont excellents ! Bravo au traducteur. Ça n'a pas dû être qu'un moment de plaisir. Car ça jacte beaucoup dans "Les Rois du Pétrole". Ça jacte, ça jacte, ça jacte... Et au final ça jacte de trop.

Dès le début, l'écriture est électrique, fait dresser les poils des avant-bras avec son énergie statique. Mais les fait retomber aussi vite par un verbiage incessant et répétitif qui alourdit l'ensemble. En fait, 600 pages pour raconter aussi peu de choses, ça fait beaucoup. L'action est étalée sur trois journées. Et elles sont vraiment très longues ces 3 journées. Sans fin…
De ce genre de moment que tu passes chez le dentiste parce que tu as une carie qui t'assassine et que le bruit de sa fraise de maniaque résonne dans ton oreille, s'approche de ta bouche et qu'il t'hurle "mais ouvrez grand la bouche mon vieux !". Hé bien 600 pages ici c'est comme avoir une palanquée de caries à soigner. C'est presque interminable.

"Trop de sucre gâte les dents", disait grand-maman !

C'est dommage parce que ce livre à des atouts. Et on sent un réel talent d'écriture chez ce garçon.

Les chapitres sont très courts et changent de personnage principal systématiquement ; l'auteur nous propose de vivre une même situation avec différents regards selon les protagonistes.
Ça dynamise l'ensemble et ça permet aussi de faire avancer des situations en parallèle mais qui se recouperont ensuite évidemment.

En point positif, ce roman est truffé de références et de morceaux Rock avec de grosses oeillades à Motorhead, Aerosmith, Led Zeppelin, Nick Cave, Evanescence, Metallica entre autres. Et il faut avouer que ça fait pétarader l'ensemble. La musicalité des dialogues semblent s'en inspirer. Ce mélange de paroles de chansons et de tchatche hardcore est du miel pour les oreilles. Mais à petite dose. Pas au détriment d'une bonne intrigue.

Petit aparté cochon : Ça parle beaucoup de chattes, de bites et de culs. Ça baise beaucoup aussi. On referme l'aparté. Bon en même temps, tout est bon dans le cochon.

Les personnages sont des rêveurs inconscients, insatisfaits, tous abîmés, losers, et sans repères. Ils sont écrits au vitriol et le bouquin est vraiment amusant par moment.
« Les filles c'est de la dynamite. On ne peut pas leur faire confiance, elles vous poussent à commettre les pires bêtises, L'héroïne ? le terrorisme ? Ce n'est rien à côté des filles. Les filles dominent le monde et elles le savent. Elles tiennent le gouvernail. »
Mais sur la durée, ces personnages deviennent balourds, prévisibles et moins intéressants.

Et quand arrive le climax, le grand final, le lecteur se surprendra à penser au bout de 600 pages : tout ça pour ça !!! Non mais sérieux !

Ouf la Norvège est sauvée, elle a quand même Jo Nesbø ! 2,5/5

ps : un grand merci néanmoins à Babelio et aux Editions Presses de la Cité pour l'envoi de ce roman dans le cadre de ses opérations Masse Critique. Si c'est pas sur celui-là, ce sera sur le prochain les amis…

Lien : http://cestcontagieux.com/20..
Commenter  J’apprécie          388
Merci à Babelio et aux éditions Presses de la Cité pour cette découverte.

Une bonne première impression avec cette belle couverture colorée et un résumé alléchant. Mais ce dernier je ne le trouve pas à l'image de ce roman choral car il laisse entendre que le personnage principal est Pal. S'en est loin. L'histoire ne tourne pas autour de lui, ni autour d'un autre en particulier. C'est plein de vies qui s'entre croisent. Des vies quotidiennes bouleversées par un événement, plus ou moins insolite. On y croise dans ce roman, Pal un homme qui a beaucoup d'ennuis, ses deux filles adolescentes qui vivent différemment la séparation de leurs parents, leur amie amoureuse un beau délinquant, ce beau délinquant perdu entre deux filles, et bien sur toute la bande de Jani qui vivent comme ils peuvent. Tous ont leur angoisse, leurs interrogations, leur espoir... de beaux portraits.
C'est l'histoire qui pèche un peu. Alors oui on est vite plongé dans chaque vie mais il manque parfois un peu de fluidité, parfois un peu d'actions, on voudrait en savoir plus. La fin m'a laissé un peu perplexe. On se demande ce que tout le monde devient. Et on pourrait presque croire qu'il peut y avoir une suite. Ou alors l'auteur en fait exprès pour nous laisser imaginer les multiples possibilités de l'avenir.
Autre détail que j'ai moyennement apprécié c'est les dialogues ponctués de phrases en anglais, sans traduction. Ben oui on n'est pas obligé d'être tous doué en anglais.

Une bonne découverte tout de même.
Commenter  J’apprécie          120
Un grand merci à Babélio ainsi qu'à l'éditeur Presses de la cité pour la découverte de cet ouvrage.
L'auteur Tore Renberg m'était totalement inconnu, La Norvège m'était totalement inconnu, Aerosmith et Metallica ne sont jamais passés par mes cages à miel… Voilà pourquoi je m'inscris à masse critique car sans cela ce livre ne serait surement pas apparu dans ma bibliothèque.

Je parcours quelques pages et bon, ça m'a l'air de tranches de vie de personnages mit bout à bout...

Pal, un père de famille désabusé qui n'arrive plus à dire la vérité à ses deux adolescentes, Malène et Tiril, elles-mêmes en recherche d'identité. Un père qui masque ses sentiments, qui ne vit plus si ce n'est dans l'illusion qu'internet va le sauver d'une situation financière peu enviable. Il va tenter une dernière et curieuse tentative pour tenter d'inverser la tendance…
Daniel William Moi (oui Moi !), un jeune instable avec qui la vie s'est montrée cruelle va rencontrer l'amour avec Sandra, originaire d'une famille aisée catholique. Ces deux-là n'ont pas grand-chose en commun si ce n'est les questions propres à l'âge de l'adolescence.
Et le meilleur selon moi, Rudi, Jan Inge et Cécilie. Les trois piliers d'un groupe de délinquants qui avancent au jour le jour, au gré des bons coups à faire. Complètement barrés, fan de Heavy métal mais certainement pas dénué d'humanité.

Jusque-là des situations classiques pour un roman de ce genre je me dis que cette lecture va surement être longue mais c'est après quelques temps que je réalise le style d'écriture de l'auteur.

Tout ce petit monde va évoluer avec simplicité, les chemins vont évidemment se croiser et créer des scènes bien construites amenées par la plume subtile et authentique de Tore Renberg. Il ne s'embarrasse pas de mots ronflant il va droit au coeur de son sujet et mes yeux ont glissés sur les pages sans aucun sentiment d'ennui.

L'écriture est efficace, certains dialogues sont vraiment bluffant de consistance. Les chapitres défilent facilement et sont consacrés à chaque fois à un personnage ce qui m'a permis de bien les cerner et au moment des dénouements d'avoir une réelle empathie pour eux.

Je peux parler d'un coup de coeur ici. Pas de fioritures, pas de passages longs ou on est supposé y comprendre un message non l'auteur, sur 600 pages tout de même, épluche à merveille les sentiments de ses personnages si humains, si bêtes, si intelligents, si violents, si doux.
Un livre sans autre prétention que de raconter une histoire. A plusieurs reprises j'ai eu ce sentiment agréable que l'auteur y mettait du coeur, du vrai vécu, de l'authentique bref, tout ce que j'aime.

Une couverture peut donner envie de lire un livre ? Ce n'est pas le cas ici, clairement. Les couleurs sont… comment dire… paranormales ! Lunettes de soleil obligatoire pour la parcourir.

Hormis mis cela c'est un ouvrage que je vous conseille. Hell yeah ! Brother of books ;)
Commenter  J’apprécie          110
Un grand merci à Babelio et aux éditions de la Presse de la Cité pour cette découverte.

Il est vrai que le résumé des "Rois du pétrole" avait l'air alléchant, et al couverture assez intrigante: très coloré, avec un style de roman pour adolescents. Alors pourquoi ne pas tenter sa chance, et élargir son horizon littéraire.

Le livre est un roman choral ou la voix des différents protagoniste s'enchevêtre pour former une oeuvre rock n' roll, dans un monde ou se rencontre petits voyous, père de famille désoeuvré et jeunes ados aux hormones en ébullition.

Je pensais vraiment accroché, car tous les ingrédients étaient présents pour passer un bon moment. Malheureusement, il n'y a pas eu d'atomes crochu entre Tone Renberg, son livre et moi. Peut-être que je n'étais pas dans un moment propice pour ce roman, ou pas assez "open", mais je ne suis pas rentrée dedans. Certes le style littéraire est punchy, avec des chapitres assez courts, qui donne du rythme au récit, et l'écriture est très rock ... mais cela n'a pas suffit.

J'ai trouvé que le livre était assez long a commencé, la vie des personnages pas forcément hyper passionnante. Je suis restée complètement extérieur, et chose extrêmement condamnable: je ne l'ai pas terminé. (C'est horrible, j'ai l'impression d'avoir fait de se livre un orphelin qui va resté sur mes étagères, et qui va se morfondre).

Peut -être que le manque de culture musical n'arrange pas les choses (je ne suis pas un fan de rock métalleux).

J'essayerai de m'y remettre dans quelque temps, mais pour l'instant, je ne peux lui mettre que deux étoiles.
Commenter  J’apprécie          80
Avant tout chose, je voudrais remercier Babelio et les éditions Presse de la cité de m'avoir envoyé ce livre via l'opération masse critique.

Parlons du bouquin...Et bien je ne suis pas mécontente de l'avoir fini! Pour un flop c'est un flop !

Pour ainsi dire j'ai absolument tout détesté de ce roman à commencer par la couverture.

Le contenu ne m'a pas semblé mieux.
L'histoire est lente mais lente! Tellement lente pour au final bien peu de choses! Cette trame de fond est complètement vide et j'ai eu l'impression que l'auteur radotait à l'infini le même discours via des personnages différents.
Les personnages tiens, parlons-en. Des clichés sur patte sans aucune subtilité. L'auteur semble essayer de fouiller les personnalités, de leur donner de la profondeur mais c'est un échec et le récit n'en devient que plus long et lourd .
Le style d'écriture est imbuvable. J'ai eu l'impression de lire le texte d'un adolescent aux hormones en ébullition. Je n'ai pas compté le nombre de fois où j'ai rencontré les mots "bite" et "chatte", c'est pourtant pas faute d'avoir un nombre incalculable de synonymes pour désigner les deux sexes (il me semble même que ce sont les mots ayant le plus de synonymes, en tout cas dans la langue française). Tout est plus ou moins rapporté au cul et de manière assez crue. de sexe cru oui, si au moins il était imaginatif...mais même pas.
Quand aux références musicales, on nous en balance toutes les deux lignes comme une espèce de récompense à donner au lecteur. Mais finalement elles n'ont pas grand intérêt.

Bref je ne vais pas m'étaler davantage je crois que mon opinion est claire. Ce livre a été une vraie plaie à finir, je vais maintenant pouvoir retourner à une lecture un peu plus agréable.
Commenter  J’apprécie          50
Lorsque j'ai reçu la proposition masse critique de ce livre, je me suis tâtée : un livre avec une couverture étrange, un résumé faisant état d'un polar rock qui plaira aux spécialistes du genre, et en plus norvégien, ça vend pas du rêve.

Déjà parce que la couverture, qu'on croirait dessiné par C.Audigier, ne donne pas le moins du monde d'indication sur le livre. Ensuite parce que je suis loin de me considérer comme spécialiste du rock. Et enfin, parce que même si j'apprécie en partie la littérature nordique (du moins, ce que tout le monde en connait...), j'ai toujours un problème avec les noms des personnages, et ça me bloque dans la compréhension d'un polar. Mais, curieuse, j'ai accepté.

Et j'ai fini le bouquin en deux jours. Deux jours pendant lesquels j'ai oscillé entre j'aime et j'aime pas. le style est particulier, c'est un livre cinéma, ça pourrait être un scénario, avec ces courts chapitres qui suivent en parallèle tous les personnages sur une échelle de temps réduite (6 jours). Et pourtant, il s'en passe, des choses, et on veut aller au bout pour savoir! C'est pour ça que je lui accorde '4 étoiles.

En revanche, pour le côté "spécialiste du rock", pas d'inquiètude, c'est accessible à tout le monde, honnêtement, entre Metallica, Motorhead, Led Zeppelin, en passant par Coldplay et Evanescence, ça va, on va pas dans les bas fonds du genre, et quand bien même, les paroles ne servent qu'à illustrer l'action. D'ailleurs, un reproche pour les gens qui sont monolingues, beaucoup de paroles sont en anglais ou allemand, on aurait apprécié des traductions...

Pour finir, un mot sur la galerie de personnages : étranges, et parfois difficiles à saisir. On glane ça et là des informations, et chapeau pour avoir réussi à m'avoir donné envie d'en étouffer un et d'en secouer un autre (j'aime les livres qui font vivre les personnages).

Pour tout dire, je ne sais toujours pas si je conseillerais ce livre. Mais c'est un bon divertissement, et qui m'a donné curiosité de livre d'autres livres d'auteurs norvégiens, pour savoir si c'est le style norvégien ou le style de l'auteur...
Commenter  J’apprécie          40
Ce qui m'a frappé au premier abord est le fait que ce livre est un mélange de styles, de Jonas Jonasson et de Katherine Pancol.
L'organisation du livre, l'attraction créée, et le genre d'intrigue me font, en effet penser à leurs romans.
Ce qui le différencie tout de même est le coté Rock, thriller, voire un aspect vulgaire.

Ce roman ne m'a pas énormément emballé, même si il a su attiser ma curiosité pour connaitre le déroulement de l'intrigue.
C'est un bon livre, mais qui ne m'a pas marqué et qui ne marquera pas.

A lire selon moi pour la détente, ou faire passer le temps.
Commenter  J’apprécie          30
Merci à Babelio et à l'opération Masse Critique de m'avoir envoyé ce livre...assez inclassable ! contrairement à certains avis, je n'ai pas eu la sensation de lire un thriller, encore moins un polar...juste une tranche de vie ! celle de Pal, divorcé, père de 2 ados...et qui s'est mis dans une situation inextricable ! celle d'une bande de gentils malfrats complètements déjantés et qui ont LA solution pour sortir Pal de sa situation. Voilà pour l'essentiel.
D'autres personnages gravitent autour, leur destin se croisent...c'est assez agréable à lire, composé de courts chapitres racontant le déroulé de l'histoire par l'ensemble des protagonistes, le tout saupoudré de références à la musique "metal", aux films d'horreurs...quelques passages crus (utiles ? inutiles ?) viennent pimentés le tout...et puis des dialogues assez surréalistes genre "dialogues de film" qui amènent le sourire, l'émotion quelquefois !
Finalement, j'ai tourné les pages en attendant la fin, qui pour le coup, m'a un peu déçue ! une légère sensation d'inachevée...on aurait aimé en savoir plus sur le destin des personnages principaux. On arrive à la dernière page et on se dit comme Georges Clooney "so...what else" ! c'est un peu dommage !
c'est donc un avis mitigé en ce qui me concerne mais ça n'a pas été non plus une lecture "calvaire" !
Commenter  J’apprécie          30
J'aime bien la Norvège, j'aime bien découvrir les auteurs norvégiens ..
Ma curiosité m'a entraîné jusqu'à Tore Renberg !
Après survol des critiques babilioniemes, je ne suis pas sûre d'avoir choisi un auteur qui va m'enchanter.
C'est effectivement bavard, très bavard, l'essentiel du roman est une suite de dialogues entre les différents personnages. On s'y perd un peu car il y a beaucoup d'intervenants. Les échanges ne sont pas d'une nature très intellectuelle. Nous sommes plutôt dans le banal, dans la vie de tous les jours, les obligations familiales, les rituels des uns ou des autres, dans l'histoire de chaque protagoniste, ce qu'ils ont fait ou ce qu'ils auraient voulu faire ou auraient dû faire.
Mais le bavardage des uns et des autres nous permet de nous immiscer dans leurs vies privées, leurs amours, leurs désirs et leurs espoirs.
Une autre forme de narration ne nous aurait certainement pas permis une telle immersion dans cette banlieue de Stavanger.
L'intrigue en elle même n'a, je l'avoue que peu d'intérêt, les dysfonctionnement des sociétés scandinaves sont bien mieux décrites dans d'autres romans, c'est juste un portrait pas très flatteur ni très enjolivé de la ville de Stavanger qui a pu profiter pleinement de l'arrivée du pétrole .... juste un divertissement....
Commenter  J’apprécie          20
Quel plaisir de recevoir gratuitement un roman de Babelio avec pour seule mission d'en faire une critique. Aussitôt reçu, aussitôt commencé, comme d'habitude.

Ce roman très long de plus de 600 pages paraît de prime abord original, d'autant que j'ai un plaisir certain à découvrir les écrivains norvégiens ou suédois très à la mode en ce moment…

L'histoire est assez simple. Des pieds Nickelés vont monter une arnaque à l'assurance au profit d'un type assez minable qui s'est ruiné au jeu. A partir de ce fil conducteur, l'auteur va nous entrainer dans la vie de ses personnages souvent très déjantés, comme on a coutume de dire. Il en résulte une suite de petits chapitres mettant en scène les points de vue des différents acteurs, le tout avec force détails et circonvolutions pour la plus part inutiles, à seule vocation d'alourdir le propos.

Certes, certains passages sont assez cocasses et le style parfois alerte voire joyeux. La maternité de Cécilia est adroitement traitée ainsi que ses rapports avec les hommes… Les jeunes sont bien typés et les interrogations réalistes et parfaitement rendues dans les dialogues et monologues intérieurs. Mais je me suis ennuyé à mourir… Ce qui aurait tenu en 200 pages est délayé en 600 !

Que dire de la fin ? Elle est assez pitoyable, mal arrangée et peu crédible. Que devient réellement l'assassin qui a renversé la jeune fille hormis s'accoquiner avec les fameux Pieds Nickelés ? Que devient ce pauvre Pal victime et instigateur de l'arnaque ? On ne sait pas… Ou alors je n'ai rien compris !

Voilà. Résultat, quatre semaines de lecture laborieuse et des rappels à l'ordre concernant mon retard à poster la critique. C'était au-dessus de mes forces et j'ai dû batailler fort pour arriver au bout. Que Babelio m'en excuse et me pardonne pour cette fois !



Michelangelo 2015
Lien : http://jaimelireetecrire.ove..
Commenter  J’apprécie          20




Lecteurs (31) Voir plus



Quiz Voir plus

Etes-vous incollable sur la littérature scandinave ?

Qui est l'auteur du roman "Bruits du cœur" ?

Herbjørg Wassmo
Jens Christian Grondhal
Sofi Oksanen
Jostein Gaarder

15 questions
149 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature scandinaveCréer un quiz sur ce livre

{* *}