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EAN : 9782262081195
1360 pages
Perrin (27/08/2020)
4.51/5   60 notes
Résumé :
La meilleure biographie de Churchill, abondée de documents inédits.
De Churchill, croit-on, tout a été dit – en premier lieu par lui-même. Et pourtant, Andrew Roberts est parvenu à exhumer des articles de presse, des correspondances privées, des journaux intimes – le moindre n'étant pas celui du roi Georges VI, jusque-là sous clé – qui ne figurent dans aucune des mille biographies environ déjà consacrées à ce personnage essentiel de la Grande-Bretagne et du X... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Andrew Roberts commence son livre en citant le « Vieux Lion » parlant de sa biographie : « c'est moi qui l'écrirai ». le ton est donné : on a affaire à un ego assez surdimensionné ! Mâtiné d'humour comme il se doit de l'autre côté de la Manche.
Car Sir Winston Churchill, qu'il agisse ou qu'il écrive, fabriqua simultanément son histoire et l'Histoire tant chez lui tout fût démesure : exploits de jeunesse, extravagance, excès de langage, grandiloquence, corpulence, train de vie de nabab, capacité alcoolique, kilomètres parcourus par tous les moyens de transport possibles et imaginables (180 000 km à l'étranger en tant que premier ministre). Et écrits autobiographiques et biographiques of course : 6 volumes, 4200 pages...rien que pour la seconde guerre mondiale ! N'oublions pas son prix Nobel de Littérature de 1953 . . .
Tout cela nous donne un récit trépidant, dont les chapitres s'ouvrent sur des citations « classiques » ou moins connues et même inédites. Ce personnage emblématique de l'Angleterre du vingtième siècle est ainsi abondamment décrit dans toutes ses contradictions, humainement. Pas d'hagiographie ici : on commente les faits rien que les faits, sans complaisance, pour le pire mais aussi pour le meilleur.
Les premiers chapitres par exemple, racontant ses aventures coloniales résonnent bizarrement aujourd'hui si on ne contextualise pas. Heureusement l'auteur le fait très bien grâce à la cascade de citations, de lettres qui mous rappellent que l'on est au début du vingtième siècle.
Ses doutes sont mis en exergue : par exemple en fin de livre , alors qu'une nouvelle bombe atomique était larguée sur Nagasaki, tuant plus de 40 000 habitants et forçant le Japon à capituler il expliqua aux Communes que la seule autre issue aurait été de « sacrifier un million de vies américaines, et 250 000 vies britanniques », en ajoutant : « La décision d'avoir recours à la bombe atomique a été prise par le président Truman et moi-même à Potsdam, et nous avons donné notre aval aux plans militaires pour déchaîner ces redoutables forces dormantes».
Mais plus tard, en Juillet 1946, il reconnaissait devant premier ministre canadien Mackenzie King que la décision de déclencher la bombe atomique était peut-être la seule chose pour laquelle l'Histoire lui demanderait sérieusement des comptes. « Il se peut même que mon Créateur me demande pourquoi j'y ai eu recours, mais je me défendrai avec vigueur en disant : “Pourquoi nous avez-vous laissé accéder à cette connaissance au moment où le genre humain se déchaînait au milieu de furieuses batailles ?”
Le livre fait le récit de toutes les prises de positions, prises de paroles (ce ne sont que citations de multiples sources) et on parcourt ce vingtième siècle anglais avec la faconde de ce géant qui semble en être le symbole vivant.
Car s'il ne fallait retenir qu'une seule idée, c'est que ce Monsieur (sorry, Lord !) croyait en sa destinée : il écrit dans « l'orage approche » : « J'avais l'impression d'être guidé par la main du destin, comme si toute mon existence préalable n'avait été qu'une préparation en vue de cette heure et de cette épreuve… On ne pouvait me reprocher ni d'avoir fomenté la guerre ni d'avoir négligé de la préparer. Je pensais connaître pas mal de choses sur la question, et j'étais sûr que nous n'allions pas défaillir. »
Un très beau livre sur un personnage hors normes.
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Cette biographie très fouillée mêle la grande et la petite histoire, les anecdotes sur le quotidien de Churchill et, par exemple, sa stratégie militaire durant la seconde guerre mondiale . C'est d'ailleurs la période qui m'a le plus intéressé. Mais il est vrai que Churchill a mené une vie aventureuse, a visité les Etats-Unis, s'est battu dans les tranchées en Flandre durant la Grande Guerre, a connu l'échec d'une offensive militaire avec les Dardanelles,...Toute cette vie bien remplie avant qu'à 65 ans, alors que beaucoup le considéraient comme un has been, il revienne héroiquement comme premier ministre dans les temps les plus sombres que l'Empire britannique ait eu à affronter et se révèle le plus grand homme d'Etat de son siècle. Cette lecture exigeante a été un défi personnel car il a exigé de moi de ne pas entamer trop d'autres lectures en parallèle au risque de ne jamais terminer cette brique...
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Ils ont beau faire ces historiens…
Andrew Roberts est pourtant bien moins problématique qu'un Kersaudy, il s'efforce de relever aussi le passif du personnage, il s'attache à faire valoir les critiques des contemporains. Il livre une biographie (une vraie) renseignée certes… mais peut-être trop, précisément, ou plutôt symptomatiquement.
Qu'est-ce qui fait qu'un personnage mérite qu'on lui consacre une biographie ? Sa vie publique ! Sa vie privée nous aide-t-elle à mieux saisir sa participation à la cité ? C'est possible : mais pas tout. Aussi, savoir que Churchill a fumé tant de milliers de cigares dans sa vie ou tant de tonneaux d'alcool… qu'il appelait sa femme « chat » et s'en faisait appeler « cochon » trahit plus, je pense, une soif de tout savoir et tout révéler de celui qu'on… admire. Andrew Roberts, aussi objectif (factuel) tente-t-il d'être, n'est pas neutre ; et son admiration pour son « sujet » transparaît le plus souvent.

Je n'ai jamais aimé Churchill : un fat imbu de lui-même, imbuvable avec bien des petites gens, à commencer par son personnel, imbibé d'idées racistes qui devraient le ranger définitivement dans les rangs des hontes de notre patrimoine, impardonnable (en ce qui me concerne) dans le rôle qu'il a bien joué dans la répression des ouvriers, des indépendantistes irlandais, dans la maintien, coûte que coûte de la domination impériale de la Grande Bretagne, anti communiste bien plus qu'anti nazi tant il a plus en horreur l'horizon d'une égalité de tous que celui de la domination d'une « race » sur les autres (lui qui croit en la supériorité de la race anglaise), pas si clairvoyant que cela (quand on dit tout et son contraire… même une horloge cassé donne l'heure exacte deux fois par jour), pas si spirituel que cela non plus (il a plus l'art du dernier mot que du mot juste)… Et la biographie de Roberts ne m'a pas fait changer d'avis.

Bien sûr il s'agit d'un travail remarquable, de compilation et de croisement d'archives. Et qui ne manque pas d'honnêteté ni de faire de la place aux critiques. Mais ce souci de « tout » livrer comme si tout était aussi digne d'intérêt, de « tout » citer comme si tout était digne d'être entendu, comme si tout était admirable, ce souci de faire un bilan quasi comptable d'une vie comme si tout était également comparable – et cet inventaire digne d'un cabinet de curiosité – me semble relever encore d'une démarche qui veut nourrir le culte du « grand homme ».

Or j'ai toujours pensé qu'il n'y avait pas de grands hommes : tout juste parfois, pour reprendre la formule de Bernard de Chartres, « des nains sur des épaules de géants » ou, pourrait-on aussi dire, au sommet d'un foule immense. Churchill, était ce nain que la providence à servi par une belle naissance (même si son enfance ne fut sans doute pas heureuse). Il était de la caste des « seigneurs » qui, le plus souvent, marque l'histoire par un destin de « saigneur ». Et son rôle dans le second conflit mondial n'en fait pas un héros, en ce qui me concerne (pas plus que le rôle de Pétain pendant la première). Churchill était un foutu impérialiste doublé d'un raciste de la pire espèce. Tout son projet n'a jamais été rien d'autre que de perpétuer l'immonde domination d'un monde sur les autres, de maintenir un ordre des plus injustes. Et tous ses prétendus traits d'esprits ne l'en rendent nullement plus sympathique ni excusable. S'esbaudir devant sa verve c'est précisément un des pires maux dont nous souffrons : « Humanum genus vivit paucis ! », autrement dit : « le genre humain vit en fonction d'un petit nombre », idée ô combien aristocratique que des êtres d'exception DOIVENT servir d'exemples aux citoyens ordinaires.
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Andrew Robert est un éminent spécialiste britannique de la biographie historique. Il enseigne au King's College de Londres et à la Hoover Institution de Stanford. Ses ouvrages rencontrent à chaque fois un véritable succès. Il est devenu au fil des années un spécialiste de Winston Churchill. Il a également commis une biographie consacrée à l'un des grands héros de Churchill intitulée Napoleon the Great qui a reçu le Prix du Jury de la Fondation Napoléon. le présent livre est traduit par Antoine Capet professeur émérite de civilisation britannique à l'université de Rouen. Celui-ci a beaucoup travaillé sur le lointain descendant du Duc de Marlborough en analysant ses Mémoires de la Grande Guerre et la Correspondance qu'il a entretenue avec son épouse Clémentine.



Il existe de nombreuses biographies dédiées à ce monument de la politique anglaise et internationale. On ne compte plus les ouvrages qui traitent de cet homme si particulier. Plus de mille biographies sont déjà publiées, c'est dire la fascination qu'il exerce depuis presque toujours : « Churchill est la personnalité du XXe siècle qui a bénéficié, sinon du plus grand nombre de biographies ou d'ouvrages à vocation historique, du moins de la biographie la plus volumineuse, avec les huit tomes de la biographie officielle de sir Martin Gilbert parus entre 1968 et 1983 ». N'oublions pas que l'intéressé lui-même a publié son autobiographie en six volumes et qu'il reste l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages et de milliers d'articles. Sa faconde et son sens de la répartie sont connus grâce à ses nombreux discours et à ses joutes oratoires à la Chambre.



Cependant, comme nous le lisons dans la préface « tout n'a pas été dit. Andrew Roberts a réussi à déterrer des articles de presse, des correspondances privées, des journaux intimes - le moindre n'étant pas celui du roi Georges VI, jusque-là partiellement sous clé, mais aussi celui de l'ambassadeur Maïski, qui n'avait pas encore été publié lors de la parution des biographies antérieures de Churchill ». Cet ensemble de documents, inédits ou non, les fameuses répliques de Churchill, des connues, des méconnues, des inconnues, permettent d'apporter un « éclairage parfois convergent, parfois contrasté, sur le personnage de Churchill ».



En lisant cette magistrale étude, nous comprenons très vite que Churchill est habité par une idée motrice : un destin exceptionnel l'attend car il est persuadé de jouer les premiers rôles pour son pays. Dès ses plus jeunes années, il confirme jour après jour qu'il a confiance dans sa bonne étoile, qui pour l'heure ne brille pas encore bien haut dans le ciel britannique. Sa naissance le place dans la famille aristocratique Spencer, dont il deviendra la plus brillante figure depuis son ancêtre John Churchill, auquel il consacra une monumentale biographie. le père de Winston appartenait au parti conservateur, mais en dépit d'une réelle volonté et d'une assise sociale puissante ses succès politiques restèrent lettre morte. Très vite, le jeune Churchill désire réussir en politique comme son illustre aïeul… de son point de vue, nous pouvons dire qu'il a atteint son objectif.



Nous découvrons avec intérêt le propos suivant qui figure dans l'introduction : « Il croyait en son destin depuis au moins l'âge de seize ans, lorsqu'il dit à un ami qu'il allait préserver la Grande-Bretagne d'une invasion étrangère. L'admiration qu'il porta toute sa vie à Napoléon et à son propre ancêtre, John Churchill, nourrissait sa conviction que lui aussi était l'homme du destin ». L'auteur ajoute avec intérêt « qu'être né au sein de l'aristocratie et porter deux noms célèbres, Spencer et Churchill, lui donnait une colossale confiance en lui, qui le rendait indifférent aux attaques personnelles » qu'il subira tout au long de sa vie.



L'auteur développe l'analyse suivante : « Car s'il est vrai qu'il a été guidé par la main du destin en mai 1940, c'était un destin qu'il avait consciemment passé sa vie à forger ». La thèse de Roberts est la suivante : « Toute la vie de Churchill antérieure à 1940 a été en fait une préparation à son grand oeuvre des années de guerre ». Capet dit encore : « Il est loisible d'y souscrire ou non, mais après lecture de cette remarquable biographie, il est bien difficile de ne pas y adhérer ».



L'intérêt de l'ouvrage est multiple parce que Roberts démêle le vrai du faux dans cette carrière hors norme riche en rebondissements multiples. Il remet en cause les légendes dorées et noires qui collent à la peau de Churchill. Il revient sur les erreurs de ce dernier en les replaçant toujours dans leur contexte historique et révèle en définitive un portrait du « Vieux Lion » qui en surprendra plus d'un…





Franck ABED
Lien : http://franckabed.unblog.fr/..
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Il m'a fallu pas moins de 9 mois pour lire cette énorme biographie de Winston Churchill. Bon, évidemment, entre temps j'ai lu d'autres trucs. J'ai eu la confirmation de ce que je pensais déjà: Churchill est l'homme le plus admirable du XXème siècle. Andrew Pieters narre sa vie passionnante en se collant au plus près de l'homme: au moins un quart du récit est constitué de citations. Churchill est un mec qui a vécu 90 ans: de 1875, sous le règne de Victoria (!) à 1965, sous les règne des Beatles.
Tout n'est pas passionnant dans cette bio de 1200 pages: le détail des résultats des diverses élections législatives des années 20 m'a profondément ennuyée ainsi que le loooong début sur le culte que vouait Churchill à son père. Je n'ai pas été fan non plus des détails tactiques pendant les 2 guerres. Sinon, c'est vraiment passionnant: la jeunesse de cet homme, soldat, journaliste, aristo rebelle, est un roman d'aventures. Ses prêches sans relâche pour alerter sur le danger nazi dès 1935 sont édifiants. le récit de la chute de la France (vu de l'extérieur) est très intéressant. Les appels incessants et désespérés aux Etats-Unis, le besoin de se concilier Staline, l'acharnement à conserver et protéger l'empire, les relations avec les Grands de ce monde, les réformes sociales, la guerre froide, la curiosité intellectuelle et scientifique, le sens de l'histoire, le populisme, l'humour, l'amour absolu et inconditionnel de l'Angleterre, les relations avec Georges VI et Elizabeth II. J'ai été très surprise de lire que Churchill détestait De Gaulle, qu'il trouvait chauvin, rigide et chiant mais qu'il aimait bien Staline. Qu'il détestait Gandhi (par certains aspects à juste raison), qu'il était sioniste et philosémite. J'ai été choquée d'apprendre que l'Irlandais de Valera avait signé le registre funéraire d'Hitler et que, lors de la mort de Churchill, seuls 2 pays en avaient boudé l'hommage: l'Irlande et la Chine communiste. Bref, malgré des longueurs, je referme ce livre à regrets.
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critiques presse (4)
Actualitte
01 décembre 2020
Voici un livre sublime, éclairant, parfois drôle, parfois contrariant mais toujours passionnant.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Bibliobs
19 octobre 2020
Dans un livre monumental à la dimension du géant, l'historien britannique Andrew Roberts fournit mille détails qui éclairent d'un nouveau jour la psychologie d'un personnage paradoxal.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Lexpress
16 septembre 2020
Les chapitres sur ses débuts dans la vie se lisent comme un roman d'aventures.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeMonde
16 septembre 2020
L’historien britannique a construit son récit à partir d’une conviction profonde du « Vieux Lion » : dès sa jeunesse, Winston Churchill est persuadé qu’il a devant lui un destin extraordinaire.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
La critique est toujours bénéfique. J’ai toujours tiré profit des critiques tout au long de mon existence, et je ne me souviens pas de période où j’en aie jamais été privé.
Churchill, Chambre des communes, novembre 1914
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Churchill avait compris qu'une victoire allemande à l'Est se serait ensuite avérée catastrophique pour la Grande Bretagne, et que signer une paix déshonorante aurait démoralisé les Britanniques et détruit leur crédibilité auprès des Américains et fait un mauvais effet devant l'histoire. Il n'avait pas de plan réaliste à proposer aux Britanniques avant qu' Hitler n'envahisse la Russie, que les Japonais n'attaquent Pearl Harbor et que l' Allemagne ne déclare la guerre aux États-Unis en 1941, mais il a maintenu la Grande Bretagne dans la guerre. 1206.
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Churchill a dit : "ce que j'ai vu de nos amis et alliés russes pendant la guerre m'a convaincu qu'il n'y a rien qu'ils admirent plus que la force, et qu'il n'y a rien qu'ils respectent moins que la faiblesse, surtout la faiblesse militaire " p. 1101.
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Ses attitudes et ses convictions au cours de la Seconde guerre mondiale avaient de profondes racines. Il avait expliqué sa stratégie pour la Grande Guerre dans un discours de mai 1916 : encerclement, blocus, pilonnage, et , finalement, surclassement de l'ennemi par le nombre...Il répétera à peu près la même chose en poursuivants ses différentes stratégies en Afrique, en Méditerranée et dans les Balkans, dans les conférences alliées de 1943 et 1944. P. 643-644.
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Alors qu'Hitler n'a pas une seule fois visité une zone bombardée, passant devant de telles scènes avec les rideaux de sa Mercedes-Benz fermés, Churchill se rendait constamment dans les quartiers de l'est pendant le Blitz pour remonter le moral des habitants. 734.
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